Présenté par
Guy Malbrancke
Autrefois… les anciens, les grands prêtres et les scribes…
sont des mots qui m’interpellent dans cet Evangile et me renvoient vers deux
passages de la Bible, l’un dans l’Ancien Testament et l’autre dans le Nouveau,
comme sur une frise chronologique : l’Ancien Testament, l’Evangile de Jésus
Christ, puis le livre de l’Apocalypse qui clôt le Nouveau Testament.
Dans le livre d’Isaïe (43, 16-19), il est écrit : « Ainsi parle le Seigneur, lui qui fit
un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes… ne faites plus
mémoire des évènements passés, ne songez plus aux choses d’autrefois. Voici
que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert. »
Et, dans le livre de l’Apocalypse (21,1-5), Jean écrit : « J’ai vu une terre
nouvelle… la Jérusalem nouvelle… voici le chemin de Dieu avec les hommes…
ce qui était en premier s’en est allé… voici que je fais toutes choses
nouvelles. »
Et si, être heureux au sens de la Bible, c’était suivre « le Christ, le Messie de
Dieu » en faisant chaque jour toutes choses nouvelles ? Chasser nos vieilles
habitudes, demander pardon pour nos péchés qui nous empêchent d’avancer,
prier Dieu de guérir nos blessures qui nous lient à notre passé.
Jésus n’est pas « un prophète d’autrefois », « il faut qu’il soit rejeté par les
anciens, les grands prêtres et les scribes », rejeté par les représentants de
l’ordre établi pour ouvrir « le chemin de Dieu avec les hommes ».
« Vous êtes l’aujourd’hui de Dieu » titre le troisième chapitre de l’exhortation
apostolique « Christus Vivit » du Pape François aux jeunes et à tout le peuple
de Dieu après le synode de 2018 sur « Les jeunes, la foi et le discernement
vocationnel ».
Etre l’aujourd’hui de Dieu, participer à l’avènement de la terre nouvelle,
prendre le chemin de Dieu avec les hommes. Comment puis-je aujourd’hui
répondre à cet appel ? Autrefois… les anciens, les grands prêtres et les scribes… sont des mots qui m’interpellent dans cet Evangile et me renvoient vers deux passages de la Bible, l’un dans l’Ancien Testament et l’autre dans le Nouveau, comme sur une frise chronologique : l’Ancien Testament, l’Evangile de Jésus Christ, puis le livre de l’Apocalypse qui clôt le Nouveau Testament.
Dans le livre d’Isaïe (43, 16-19), il est écrit : « Ainsi parle le Seigneur, lui qui fit
un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes… ne faites plus
mémoire des évènements passés, ne songez plus aux choses d’autrefois. Voici
que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert. »
Et, dans le livre de l’Apocalypse (21,1-5), Jean écrit : « J’ai vu une terre
nouvelle… la Jérusalem nouvelle… voici le chemin de Dieu avec les hommes…
ce qui était en premier s’en est allé… voici que je fais toutes choses
nouvelles. »
Et si, être heureux au sens de la Bible, c’était suivre « le Christ, le Messie de
Dieu » en faisant chaque jour toutes choses nouvelles ? Chasser nos vieilles
habitudes, demander pardon pour nos péchés qui nous empêchent d’avancer,
prier Dieu de guérir nos blessures qui nous lient à notre passé.
Jésus n’est pas « un prophète d’autrefois », « il faut qu’il soit rejeté par les
anciens, les grands prêtres et les scribes », rejeté par les représentants de
l’ordre établi pour ouvrir « le chemin de Dieu avec les hommes ».
« Vous êtes l’aujourd’hui de Dieu » titre le troisième chapitre de l’exhortation
apostolique « Christus Vivit » du Pape François aux jeunes et à tout le peuple
de Dieu après le synode de 2018 sur « Les jeunes, la foi et le discernement
vocationnel ».
Etre l’aujourd’hui de Dieu, participer à l’avènement de la terre nouvelle,
prendre le chemin de Dieu avec les hommes. Comment puis-je aujourd’hui
répondre à cet appel ?