La vie selon Benoît RCF - page 2

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes continue sa série d'émission sur la liturgie, plus précisément sur l'année liturgique, qui rythme la vie des moines, et plus largement de tous les chrétiens.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes continue sa série d'émission sur la liturgie, plus précisément sur l'année liturgique, qui rythme la vie des moines, et plus largement de tous les chrétiens.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes débute une toute nouvelle série d'émission sur la liturgie, plus précisément sur l'année liturgique, qui rythme la vie des moines, et plus largement de tous les chrétiens.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes continue de nous parler de la relation qu'il y a entre la prière liturgique et la prière personnelle. Deux prières très différentes, mais qu'il ne faut surtout pas opposer, bien au contraire.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes nous parle de la relation qu'il y a entre la prière liturgique et la prière personnelle. Deux prières très différentes, mais qu'il ne faut surtout pas opposer, bien au contraire.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, on continue de parler du chapitre de la règle de Saint Benoît, consacré aux frères malades. Un chapitre où Saint Benoît insiste sur la présence du Christ chez les plus faibles, chez les malades, et plus largement en chacun de nous. Un chapitre où il insiste également sur la qualité du soin apporter aux malades, et plus largement aux autres, et notamment en disant : " L'Abbé veillera avec très grand soin à ce que les malades ne souffrent d'aucune négligence ". Plus d'explications avec le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

On continue de parler de la patience, cette semaine dans la vie selon Benoît. Une patience de la part des soignants vs à vis des malades, mais plus largement de chacun de nous dans nos relations avec les autres, à laquelle Saint Benoît associe le mérite, ou récompense. Une récompense éternelle et démesurée, qui se traduit par la présence de Dieu, comme nous le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, on va parler de patience. De patience de la part des soignants, vis à vis des malades, mais plus largement de chacun de nous dans nos relations avec les autres. Saint Benoît qui d'ailleurs dans sa règle, invite les moines et plus largement tous les chrétiens, à porter les limites d'autrui. Plus d'explications avec le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Depuis quelques semaines maintenant dans la Vie selon Benoît, nous parlons de l'importance que Saint Benoît attache au soin des autres, et notamment à celui des plus faibles. Saint Benoît qui voit en eux la présence du Christ, et invite les frères, et plus largement chacun de nous à prendre soin d'eux comme si c'était le Christ. Un soin des autres, dont bien-sûr les malades et les plus faibles ne sont pas exempts. Comme nous le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, on continue de parler du chapitre de la règle de Saint Benoît, consacré aux frères malades. Un soin apporté aux malades, aux plus faibles, et plus largement à toutes les personnes que nous rencontrons, que cette personne nous soit agréable ou pas. Une invitation à faire le don de soi-même, pour le service de la personne, et ainsi révéler la présence de Dieu chez les autres, mais également en nous. Plus d'explications avec le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, on continue de parler du chapitre de la règle de Saint Benoît, consacré aux frères malades. Un chapitre où Saint Benoît insiste sur la présence du Christ chez les plus faibles, chez les malades, et plus largement en chacun de nous. Servir les malades, et plus largement les autres, c'est servir le Christ, comme nous le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, on continue de parler du chapitre de la règle de Saint Benoît, consacré aux frères malades. Un chapitre qui débute par cette phrase, déjà pleine de sens : " On prendra soin des malades avant tout et par-dessus tout ". Une attention aux plus fragiles, une sollicitude fraternelle, qui ne s'applique pas qu'aux malades ou aux plus fragiles, mais plus globalement aux autres. Plus d'explications avec le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes nous propose de nous arrêter sur l'un des plus beau chapitre de la règle de Saint Benoît. Un chapitre consacré aux frères malades, mais aussi à ceux qui les soignent, les frères infirmiers. Le soin des plus fragiles qui pour Saint Benoît est très important, car au delà du soin apporté aux malades, c'est plus largement du soin apporté aux autres dont il s'agit. Une attention aux autres qui bien-sûr ne doit pas se limiter aux frères infirmiers, mais à toute la communauté monastique... et même chez nous, dans notre cercle familial ou amical.

On continue de parler de la figure du Christ cette semaine dans la vie selon Benoît, le Christ qui bien-sûr tient une place très importante dans la règle de Saint Benoît. Et plus précisément de l'amour du Christ. Un amour de Dieu pour l'Homme qui se dit à travers la personne du Christ. Un amour, que les moines et plus largement tous les chrétiens sont invités à accueillir en retour, comme nous le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes continue de nous parler de la figure du Christ. Cette fois-ci en évoquant la royauté du Christ, mais également sur le fait que pour Saint Benoît, le moine entre au monastère pour servir sous le Christ, le vrai Roi.

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes continue de nous parler de la figure du Christ. Un parcours pour découvrir la place et le rôle occupé par le Christ dans la vie des moines, qui se prolonge par l'évocation de l'appartenance au Christ, qui pour Saint Benoît, est l'unique et vrai Seigneur.

En ce début d'année, et notamment en ce début d'année jubilaire, une année toute centrée sur la figure du Christ et sur l'espérance qu'il nous offre. Le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes, nous propose de débuter aujourd'hui un parcours dans la règle Saint Benoît, un parcours pour découvrir la place et le rôle occupé par le Christ dans la vie des moines, et plus largement dans celle de tous baptisés.

Honneur et amour, sont deux qualités particulièrement chères à Saint Benoît. Deux qualités fondamentales à toutes relations avec les autres, comme nous l'avons déjà dit la semaine dernière dans la Vie selon Benoît. Deux qualités de la relation qui prennent source dans le regard de Foi que nous pouvons porter sur l'autre. Un honneur mutuel, une attitude de bienveillance purement gratuite au sein de la communauté des moines, qui une fois de plus, peut très bien s'appliquer à la vie familiale, comme le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Honneur et amour. Deux qualités particulièrement chères à Saint Benoît. Deux qualités qui pour lui sont les fondements indispensables à toutes relations avec les autres. Et notamment au travers du verset " Que les jeunes honorent les anciens, et que les anciens aiment les jeunes ", comme le rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Dans sa règle, Saint Benoît invite tous les moines, et plus généralement tous les chrétiens à être les uns pour les autres des consolateurs. A donner ou plutôt offrir aux autres le réconfort de la consolation. Plus d'explications avec le Père Thierry Barbeau de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.