La foi en action RCF - page 2

Après un accident d’avion auquel il a survécu miraculeusement, Augustin Destremau se retrouve tiraillé par des questions existentielles. Pourquoi a-t-il survécu alors que d'habitude on meurt dans un crash? Pourquoi lui et pas les autres? Il devient hyperactif, remplit ses journées, ses soirées, multiplie les engagements sans pour autant combler la quête de sens qui le hante.  Et puis viennent les JMJ de Rio au Brésil. Une  expérience de foi qui le  retourne comme une crêpe,  ce sont ces mots.  Le jeune entrepreneur de 32 ans se laisse toucher par l’amour de Dieu. Sa vie prend une autre direction.

Augustin Destremau a 32 ans, il est entrepreneur. Il vient de cofonder "Rerum NovAIrum". Une plateforme qui invite les entrepreneurs chrétiens du monde entier à partager leurs bonnes pratiques et à réfléchir aux moyens de mettre l’IA au service de la dignité humaine. Car si la révolution de l'IA offre de vraies opportunités,  un vide éthique et spirituel pourrait bien menacer de détourner cette technologie de sa vocation au service du bien commun.  Et si ce jeune père de famille veut contribuer à faire de l’IA une révolution vertueuse, à la lumière de la doctrine sociale de l’Eglise, c’est sans doute parce que sa vie de foi et ses orientations professionnelles ont pris un tournant décisif après une terrible épreuve.
 

Augustin Destremau est un jeune entrepreneur de  32 ans. Il va nous raconter cette semaine son parcours, le jour où sa vie a basculé, sa véritable rencontre avec le christ mais aussi ses projets. Le dernier en date est ambitieux. Il  vient de lancer avec le mathématicien et entrepreneur Etienne de Rocquigny une initiative inédite : "Rerum NovAIrum". Son but : inviter les entrepreneurs chrétiens du monde entier à réfléchir aux moyens de mettre l’IA au service de la dignité humaine et du bien commun. Rerum NovAIrum c’est évidemment une référence à l’encyclique de  Léon XIII, Rerum Novarum, texte fondateur de la pensée sociale chrétienne sur la justice sociale et l’économie.

Tristan Chaplin vient de publier "Missionnaire à 100%", petit manuel d’évangélisation aux éditions Saint-Léger. Le parcours de Tristan Chaplin n’est pas banal. Agnostic jusqu’à 22 ans il va découvrir Dieu en poussant par hasard la porte d’une église.. Trois ans plus tard, le jeune savoyard reçoit le baptême. Ce sera pour lui un point de départ.  Tristan veut devenir un ambassadeur du Christ.  Car pour lui, si dans la vie tout est payant, Dieu peut lui changer une vie gratuitement. Et le rôle d’un chrétien c’est justement de partager la bonne nouvelle.

Tristan Chaplin vient de publier "Missionnaire à 100%", petit manuel d’évangélisation aux éditions Saint-Léger. Le parcours de Tristan Chaplin n’est pas banal. Agnostique jusqu’à 22 ans il va découvrir Dieu en poussant par hasard la porte d’une église.. Trois ans plus tard, le jeune savoyard reçoit le baptême. Ce sera pour lui un point de départ.  Tristan veut devenir un ambassadeur du Christ.  Car pour lui, si dans la vie tout est payant, Dieu peut lui changer une vie gratuitement. Et le rôle d’un chrétien c’est justement de partager la bonne nouvelle.

Agnostique jusqu’à 22 ans, Tristan Chaplin va connaître une conversion qu’il ne s’explique pas. Un dimanche matin, comme poussé par le vent, il entre  dans une église. S’il ne comprend pas grand chose à la messe, il est bouleversé par les chants, la liturgie et l’atmosphère de paix qui semble régner dans le cœur des fidèles. Il retourne à la messe régulièrement puis entame une démarche vers le catéchuménat. C’est au Québec qu’il va se préparer et recevoir le baptême à l’âge de 25 ans. Une journée gravée dans sa mémoire.
 

Agnostique jusqu’à 22 ans, Tristan Chaplin va connaître une conversion qu’il ne s’explique pas. Un dimanche matin, comme poussé par le vent, il entre  dans une église. S’il ne comprend pas grand chose à la messe, il est bouleversé par les chants, la liturgie et l’atmosphère de paix qui semble régner dans le cœur des fidèles. Il retourne à la messe régulièrement puis entame une démarche vers le catéchuménat. C’est au Québec qu’il va se préparer et recevoir le baptême à l’âge de 25 ans. Pour Tristan Chaplin, le baptême n’est pas un aboutissement. Le jeune savoyard a soif d’aller plus loin et de témoigner. Aujourd'hui il publie  "Missionnaire à 100%", petit manuel d’évangélisation aux éditions Saint-Léger.

Pauline de Torsiac reçoit le couple de producteurs et réalisateurs engagés, Steven et Sabrina Gunnell. Leur neuvième film "Sacré-Cœur : Son règne n’a pas de fin” est au cinéma depuis le mercredi 1er octobre 2025. Un docu-fiction inédit, puissant, brûlant d’amour qui invite à redécouvrir le message du Sacré Coeur de Jésus révélé et propagé il y a 350 ans par Marguerite-Marie Alacoque à Paray-le-Monial. Sabrina et Steven espèrent que ce message d’amour inconditionnel du Christ ruisselle dans un monde fracturé. Ce Sacré Coeur de Jésus, Steven l’a longtemps désiré. Ancien membre du boy's band Alliage, il a connu la gloire puis la descente aux enfers, l’addiction, la solitude avant une conversion foudroyante. Aujourd’hui il produit et réalise des films avec sa femme Sabrina. Ils ont choisi de passer derrière la caméra pour transmettre le message du Christ.
 

Pauline de Torsiac reçoit le couple de producteurs et réalisateurs engagés, Steven et Sabrina Gunnell. Leur neuvième film "Sacré-Cœur : Son règne n’a pas de fin” sort au cinéma ce mercredi 1er octobre 2025. Un docu-fiction inédit, puissant, brûlant d’amour qui invite à redécouvrir le message du Sacré Coeur de Jésus révélé et propagé il y a 350 ans par Marguerite-Marie Alacoque à Paray-le-Monial. Sabrina et Steven espèrent que ce message d’amour inconditionnel du Christ ruisselle dans un monde fracturé. Ce sacré de coeur de Jésus, Steven l’a longtemps désiré. Ancien membre du boy's band Alliage, il a connu la gloire puis la descente aux enfers, l’addiction, la solitude avant une conversion foudroyante.

Il y a 350 ans, en France, à Paray le Monial, Jésus a fait connaître son cœur brûlant d'amour à Sainte Marguerite-Marie. Aujourd'hui, dans le monde entier, la puissance du Sacré-Cœur transforme encore des vies. C’est ce qu’ont voulu montrer Steven et Sabrina Gunnell dans leur neuvième film qui sort demain. “Sacré Coeur : Son règne n’a pas de fin”. Un docu- fiction bouleversant  qui allie histoire, reconstitutions, témoignages et qui  nous plonge au cours des siècles dans le mystère du Sacré-Coeur de Jésus.  Le couple de producteurs-réalisateurs a voulu transmettre le message "de ce cœur qui bat encore aujourd’hui".  Steven et Sabrina ont l'intention de “rendre amour pour amour” au-delà des  épreuves traversées pendant cette aventure humaine.

Pauline de Torsiac nous propose une rencontre rare, précieuse, lumineuse, celle d’un couple pas comme les autres : Steven  et Sabrina Gunnell. Ensemble, ils viennent nous parler de leur dernier film : “ Sacré-Cœur : Son règne n’a pas de fin”. Un documentaire inédit, puissant, brûlant d’amour, qui sort  en salle ce mercredi 1er octobre 2025. Le film distribué par Saje production invite à redécouvrir le message du Sacré Coeur de Jésus révélé et propagé il y a 350 ans par  Marguerite-Marie Alacoque  à Paray-le-Monial. Le docu fiction démarre au XVII ème siècle avec les premières apparitions de Jésus à cette jeune religieuse de la Visitation de Paray-le-Monial. De 1673 à aujourd'hui, il montre à travers des reconstitutions historiques et des témoignages bouleversants de quelle manière cette expérience de l’amour du Christ est venue  consoler, convertir les cœurs. Un message d'une grande actualité dans un monde fracturé.

On peut dire que le  Père Jean-Yves Ducourneau cumule les vocations. Prêtre de la Mission de Saint-Vincent-de-Paul, il a  toujours sur lui sa valise chapelle. Et pour cause, il a passé plus de 20 ans dans l’armée à célébrer la messe aux côtés des soldats sur des terrains de guerre. De l’Afghanistan à la  Côte d’Ivoire en passant par le Liban, la Centrafrique ou le  Kosovo, il est une présence discrète, un soutien fraternel auprès de ces hommes parfois confrontés au danger ou à la mort.. Pour lui les militaires comme d’ailleurs d’autres corporations comme les pompiers, les gendarmes, les policiers et les soignants ont en commun les vertus de l’uniforme : service abnégation sacrifice, générosité.. Il en a fait un livre voyage au pays des vertus chez Salvator.

Le Père Jean-Yves Ducourneau est prêtre lazariste et aumônier militaire. Il vient de publier voyage au pays des vertus chez Salvator. Le prêtre en treillis, béret vissé sur la tête a servi comme aumônier militaire pendant plus de vingt ans. Il accompagne les soldats notamment ceux de la Légion étrangère en opérations extérieures. Le père Jean-Yves Ducourneau est allé au Liban, en ex-Yougoslavie, en Afghanistan et sur plusieurs théâtres africains. Sans relâche, il partage le quotidien des hommes et des femmes qui l’entourent. Leurs joies mais aussi leurs peurs, la mort qui rode et parfois frappe lun des leurs.. Les drames qui se jouent sur les terrains de guerre. L'aumônier militaire joue le rôle de cette balise qui écoute, console, soutient.. Mais il n’aime pas qu’on limite sa mission à un “croque mort". Il se définit plutôt comme un “croque vivant". 

Le Père Jean-Yves Ducourneau est prêtre lazariste et aumônier militaire. Pendant vingt ans il a accompagné les soldats au front, du  Liban à la Côte d’Ivoire en passant par l’Afghanistan. Celui que les soldats appellent “Le Padre” assure une présence discrète, fraternelle solide. Le prêtre en treillis aime attribuer aux  militaires qu’il côtoie comme d’ailleurs aux pompiers, gendarmes, personnels de santé, les vertus de  l’uniforme : Ils ont en commun le sens du service de  l’abnégation du  sacrifice mais aussi la générosité. Des vertus particulièrement chères à son cœur car le père Jean-Yves Ducourneau a été rejeté par sa mère à la naissance. Et il a pu compter sur ce qu’il appelle  des balises de lumière qui lui ont donné les  premiers repères dans la vie. 

 Soeur Juliette est religieuse Xavière et humoriste. Elle vient de publier “Bréviaire du Métro aux éditions de l’Emmanuel”. Dans son petit guide de survie spirituelle dans la jungle des transports en commun, Soeur Juliette décrit avec humour et tendresse la réalité du métro : Les rames bondées, les bousculades aux heures de pointe, les odeurs qui vous submergent. En ce jour de grève, vous voyez sans doute de quoi notre religieuse parle. Alors évidemment l’intention de Soeur Juliette n’est pas de se moquer mais au contraire d’observer le concentré d’humanité qui l’entoure et de faire de ces trajets une liturgie des heures de pointe. Avant d’arriver à Paris, Soeur Juliette vivait à Marseille où elle montait régulièrement sur scène pour faire du stand up. Une autre façon de témoigner de sa vocation.. L’humour comme moyen de transmettre la foi.. Voilà ce qui guide soeur Juliette. A tel point qu’elle a décidé de faire un mémoire de théologie sur le rire comme chemin vers Dieu. Elle nous dit pourquoi.

Soeur Juliette, religieuse Xavière et humoriste vient de publier “Bréviaire du Métro aux éditions de l’Emmanuel”. Avant de raconter les joies du métro parisien, Soeur Juliette vivait à Marseille où sa vie religieuse a pour décor la  scène. "Soeur Ju", c'est son nom de scène,  aime faire rire et voit dans le stand up une façon de témoigner de sa foi. Dans son spectacle, la religieuse raconte ce qu’elle vit, ses rencontres, les questions qu’on a l’habitude de lui poser sur la vie religieuse, le célibat, les interdits, le travail. Un exercice subtil où se mêle humour et profondeur.

Sœur Juliette Ploquin est  religieuse Xavière et humoriste. Elle vient de publier “Bréviaire du Métro aux éditions de l’Emmanuel” Et pour cause: Elle  a troqué la scène des comedy clubs marseillais  pour celle, tout aussi animée, des transports en commun. Soeur Ju qui avait l’habitude de tout faire à pied dans la cité phocéenne se retrouve contrainte de prendre le métro parisien plusieurs heures par jour, aux heures de pointe. Le métro qui sent mauvais ou les gens se retrouvent entassés, et où l’on se sent comme une chaussette dans une machine à laver. Soeur Juliette croque avec humour la réalité du métro, elle est surtout interpellée par les visages, attitudes, fragilités qui l’entourent, le concentré d’humanité croisé dans les couloirs du métro. Alors elle décide de faire de ce temps de trajet une liturgie. Car finalement comme à la messe dans le métro on fait toujours les mêmes gestes dans le même ordre,  à la même heure.

Cette semaine nous allons nous engouffrer  dans le métro parisien, ses rames bondées, ses bousculades, ses visages souvent fermés.. Sœur Juliette Ploquin est  religieuse Xavière et humoriste. Elle vient de publier “Bréviaire du Métro aux éditions de l’Emmanuel” Et pour cause: Elle  a troqué la scène des comedy clubs marseillais  pour celle, tout aussi animée, des transports en commun. Elle qui avait l’habitude de tout faire à pied dans la cité phocéenne se retrouve  contrainte de prendre le métro parisien plusieurs heures par jour, aux heures de pointe. Le métro qui sent mauvais ou les gens se retrouvent entassés, et où l’on se sent comme une chaussette dans une machine à laver.  Alors forcément, soeur Juliette, happée par ce qui l’entoure, a du mal à prier.

A 50 ans Aude-Reine et Régis Anouil ont quitté la banlieue parisienne pour changer de vie. Un pari un peu fou mûri à la cinquantaine.  Ils aspiraient à une vie loin du bitume et du tumulte d’une vie à 100 à l’heure. Parents de 7 enfants, le couple est en quête d’une vie plus sobre, en lien avec la terre. Après une année d’étude et un tour du monde des monastères viticoles, Aude-Reine et Régis reprennent un petit domaine de la côte roannaise au nom symbolique : “La Bénisson-Dieu”. Ils cultivent des plants de gamay saint-romain et de chardonnay dans une démarche d’écologie intégrale. Le travail au chai est méticuleux pour faire un vin naturel sans sulfites. Vin dont vous avez peut-être entendu parler car il a servi de vin de messe pour la réouverture de Notre-Dame. Mais ce changement de vie radical, ce pari fou aurait été impossible sans la foi qui les anime. Car le quotidien est rude, les aléas incessants et les raisons de baisser les bras sont nombreuses.