Histoire de l'église en Franche-Comté RCF - page 3

On entame aujourd’hui une série de 3 émissions sur la vie d’une paroisse bisontine au 19è et 20è s. On a choisi celle de la Madeleine, caractérisée par sa situation excentrique et sa population de condition plutôt modeste.

Nous poursuivons avec notre évocation des cimetières de Besançon. Notamment ceux de Saint-Ferjeux et de Saint-Claude en perpétuel agrandissement.

Voici des endroits que l’on ne songerait pas à évoquer spontanément. Et cependant, les cimetières de Besançon ont beaucoup à nous apprendre sur les relations entre les usages, les rites de mémoire et la pratique religieuse.

Nous poursuivons avec l’œuvre de Jean Garneret. Mais cette fois-ci en mettant l’accent sur la vieille tradition de la crèche comtoise et son évolution au cours de siècle puis nous irons fouiller dans l’almanach Le Barbizier qui regorge de pratiques religieuses.

voici, après le père Chaillet, un autre franc-Comtois qui, a fait honneur à notre région et plus particulièrement au Doubs. Il s’agit de Jean Garneret, prêtre qui a fait beaucoup pour ressusciter et faire vivre le folklore comtois.

Nous restons pour deux émissions sur les plateaux et dans le Haut-Doubs en évoquant cette fois-ci, non plus la lutte contre l’ivrognerie mais les progrès de l’écriture et de la lecture à partir de 1750, avec son corollaire, les modifications des mentalités.

Dans le même ordre d’idée de missionnaires qui veulent régénérer la vie chrétienne dans les paroisses, voici une initiative bien originale : tenter d’éradiquer l’ivrognerie dans le Haut-Doubs. Un pari bien risqué.

Nous poursuivons notre narration de la Grande Mission de Besançon, commencée la semaine dernière.

Nous poursuivons notre narration de la Grande Mission de Besançon, commencée la semaine dernière.

On a vu se dérouler pendant des semaines la Grande Mission de Besançon en 1825. C’est cette dernière que nous voulons vous narrer par le menu en deux émissions.

C’est notre seconde émission sur l’histoire de la Maîtrise de Besançon qui, ces dernières années, a évolué pour prendre en charge la pastorale des jeunes »

Deux émissions qui retracent l’histoire d’une institution bien connue des Bisontins, la Maîtrise avec sa double vocation, de séminaire et de service de la cathédrale.

On en termine aujourd’hui avec l’évocation du recrutement sacerdotal jusqu’à nos jours, et le témoignage d’un prêtre qui a vécu comme enseignant dans un petit séminaire, celui de consolation.

La seconde émission sur le recrutement sacerdotal porte aujourd’hui sur le 19è s et jusqu’à la première guerre mondiale.

Avant d’évoquer le recrutement sacerdotal au 19ès, il serait bon de revenir sur la notion de « bons » et « mauvais » prêtres au sortir de la Révolution. Cela éclairera, en partie les problèmes qui se posent pour les nominations et indirectement pour le recrutement.

En nous appuyant sur la thèse soutenue par l’abbé Huot- Pleuroux nous évoquons le recrutement sacerdotale dans nos régions. Cette première émission - il y en aura quatre - décrit l’état du clergé au sortir de la Révolution et les efforts accomplis pour le renouveler.

Il est logique, après avoir, la semaine dernière, rappelé la naissance des séminaires, de nous arrêter sur celui de Besançon au moins jusqu’à la Révolution.

Nous entamons aujourd’hui une émission sur la naissance des séminaires, suite aux recommandations du concile de Trente. Elle sera suivie de celle sur la naissance de celui de Besançon.

Dans cette seconde émission sur la franc-maçonnerie, après l’avoir évoquée de sa naissance à la Révolution, on examine aujourd’hui son évolution du 19è s à nos jours.

Nous commençons aujourd’hui une série de deux émissions touchant à la franc-maçonnerie. Institution ancienne, bien vivante de nos jours, à Besançon comme ailleurs mais assez mal connue de beaucoup.