Halte spirituelle RCF - page 38

Quel est le sens de la privation, de l'effort de jeûne, auquel nous invite le Carême ? Comment se désencombrer ? Réponses de Sœur Marie-Pierre, religieuse au Monastère Sainte-Claire à Haubourdin, dans le Nord. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine.

Quel est le sens de la privation, de l'effort de jeûne, auquel nous invite le Carême ? Comment se désencombrer ? Réponses de Sœur Marie-Pierre, religieuse au Monastère Sainte-Claire à Haubourdin, dans le Nord. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine.

Quel est le sens de la privation, de l'effort de jeûne, auquel nous invite le Carême ? Comment se désencombrer ? Réponses de Sœur Marie-Pierre, religieuse au Monastère Sainte-Claire à Haubourdin, dans le Nord. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine.

 

Il y a un risque à considérer le Carême comme un temps d'efforts, de privations, voire de mortifications : tout cela pour mériter ce qui va nous être donné avec la résurrection du Christ à Pâques, c'est-à-dire la vie. Or, il n'y a rien à mériter puisque tout est donné. Peut-être que s'il y a un effort à fournir durant le Carême, c'est d'arrêter de résister et accepter d'entrer en dialogue avec celui qui nous veut pleinement vivant. Ce dialogue n'est autre que la prière. On en parle avec Frère Jo Coz, religieux, membre des Frères mineurs capucins. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine 

Il y a un risque à considérer le Carême comme un temps d'efforts, de privations, voire de mortifications : tout cela pour mériter ce qui va nous être donné avec la résurrection du Christ à Pâques, c'est-à-dire la vie. Or, il n'y a rien à mériter puisque tout est donné. Peut-être que s'il y a un effort à fournir durant le Carême, c'est d'arrêter de résister et accepter d'entrer en dialogue avec celui qui nous veut pleinement vivant. Ce dialogue n'est autre que la prière. On en parle avec Frère Jo Coz, religieux, membre des Frères mineurs capucins. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine 

Il y a un risque à considérer le Carême comme un temps d'efforts, de privations, voire de mortifications : tout cela pour mériter ce qui va nous être donné avec la résurrection du Christ à Pâques, c'est-à-dire la vie. Or, il n'y a rien à mériter puisque tout est donné. Peut-être que s'il y a un effort à fournir durant le Carême, c'est d'arrêter de résister et accepter d'entrer en dialogue avec celui qui nous veut pleinement vivant. Ce dialogue n'est autre que la prière. On en parle avec Frère Jo Coz, religieux, membre des Frères mineurs capucins. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine 

Il y a un risque à considérer le Carême comme un temps d'efforts, de privations, voire de mortifications : tout cela pour mériter ce qui va nous être donné avec la résurrection du Christ à Pâques, c'est-à-dire la vie. Or, il n'y a rien à mériter puisque tout est donné. Peut-être que s'il y a un effort à fournir durant le Carême, c'est d'arrêter de résister et accepter d'entrer en dialogue avec celui qui nous veut pleinement vivant. Ce dialogue n'est autre que la prière. On en parle avec Frère Jo Coz, religieux, membre des Frères mineurs capucins. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine 

Il y a un risque à considérer le Carême comme un temps d'efforts, de privations, voire de mortifications : tout cela pour mériter ce qui va nous être donné avec la résurrection du Christ à Pâques, c'est-à-dire la vie. Or, il n'y a rien à mériter puisque tout est donné. Peut-être que s'il y a un effort à fournir durant le Carême, c'est d'arrêter de résister et accepter d'entrer en dialogue avec celui qui nous veut pleinement vivant. Ce dialogue n'est autre que la prière. On en parle avec Frère Jo Coz, religieux, membre des Frères mineurs capucins. 

 

Une émission proposée dans le cadre de notre programmation spéciale Vivre le Carême 2022 avec la famille franciscaine 

 

Le temps du carême nous prépare à célébrer le mystère de Pâques. C’est un temps d’intériorité, de sobriété, d’écoute de la parole de Dieu et de recul. Cette semaine allons au désert !

Le temps du carême nous prépare à célébrer le mystère de Pâques. C’est un temps d’intériorité, de sobriété, d’écoute de la parole de Dieu et de recul. Cette semaine allons au désert !

Le temps du carême nous prépare à célébrer le mystère de Pâques. C’est un temps d’intériorité, de sobriété, d’écoute de la parole de Dieu et de recul. Cette semaine allons au désert !

Le temps du carême nous prépare à célébrer le mystère de Pâques. C’est un temps d’intériorité, de sobriété, d’écoute de la parole de Dieu et de recul. Cette semaine allons au désert !

Le temps du carême nous prépare à célébrer le mystère de Pâques. C’est un temps d’intériorité, de sobriété, d’écoute de la parole de Dieu et de recul. Cette semaine allons au désert !

La solitude est souvent mal-vue. Elle symbolise souvent, à nos yeux, la tristesse ou le mal-être. Pourtant les moments de solitude sont nécessaires pour nous recentrer sur nous- mêmes, marquer un temps de pause et laisser place à la contemplation mais surtout à la liberté. Pour en parler, Béatrice Soltner reçoit Jacqueline Kelen, historienne et écrivain, qui a écrit un ouvrage sur le sujet : "L'esprit de solitude" (éd. Albin Michel, 2005).

La solitude est souvent mal-vue. Elle symbolise souvent, à nos yeux, la tristesse ou le mal-être. Pourtant les moments de solitude sont nécessaires pour nous recentrer sur nous- mêmes, marquer un temps de pause et laisser place à la contemplation mais surtout à la liberté. Pour en parler, Béatrice Soltner reçoit Jacqueline Kelen, historienne et écrivain, qui a écrit un ouvrage sur le sujet : "L'esprit de solitude" (éd. Albin Michel, 2005).

La solitude est souvent mal-vue. Elle symbolise souvent, à nos yeux, la tristesse ou le mal-être. Pourtant les moments de solitude sont nécessaires pour nous recentrer sur nous- mêmes, marquer un temps de pause et laisser place à la contemplation mais surtout à la liberté. Pour en parler, Béatrice Soltner reçoit Jacqueline Kelen, historienne et écrivain, qui a écrit un ouvrage sur le sujet : "L'esprit de solitude" (éd. Albin Michel, 2005).

La solitude est souvent mal-vue. Elle symbolise souvent, à nos yeux, la tristesse ou le mal-être. Pourtant les moments de solitude sont nécessaires pour nous recentrer sur nous- mêmes, marquer un temps de pause et laisser place à la contemplation mais surtout à la liberté. Pour en parler, Béatrice Soltner reçoit Jacqueline Kelen, historienne et écrivain, qui a écrit un ouvrage sur le sujet : "L'esprit de solitude" (éd. Albin Michel, 2005).

La solitude est souvent mal-vue. Elle symbolise souvent, à nos yeux, la tristesse ou le mal-être. Pourtant les moments de solitude sont nécessaires pour nous recentrer sur nous- mêmes, marquer un temps de pause et laisser place à la contemplation mais surtout à la liberté. Pour en parler, Béatrice Soltner reçoit Jacqueline Kelen, historienne et écrivain, qui a écrit un ouvrage sur le sujet : "L'esprit de solitude" (éd. Albin Michel, 2005).

Passer à côté de l'autre sans le rencontrer, glisser, papillonner... Les rencontres superficielles, symptôme de notre société consumériste où tout va très vite. "On glisse, on ne laisse plus l'autre nous rejoindre comme on ne cherche plus à rejoindre l'autre dans ce qu'il a aussi de secret, de caché, de profond." Écrivain et poète, Philippe Mac Leod nous rappelle que la rencontre est "plus qu'un thème majeur" des Évangiles, "un axe" tout au long de ces récits. Il écrit "L'Évangile de la rencontre - Jésus et la Samaritaine" (éd. Artège) pour nous aider à retrouver, à la faveur des Évangiles, le sens - et la saveur - des rencontres authentiques.

Passer à côté de l'autre sans le rencontrer, glisser, papillonner... Les rencontres superficielles, symptôme de notre société consumériste où tout va très vite. "On glisse, on ne laisse plus l'autre nous rejoindre comme on ne cherche plus à rejoindre l'autre dans ce qu'il a aussi de secret, de caché, de profond." Écrivain et poète, Philippe Mac Leod nous rappelle que la rencontre est "plus qu'un thème majeur" des Évangiles, "un axe" tout au long de ces récits. Il écrit "L'Évangile de la rencontre - Jésus et la Samaritaine" (éd. Artège) pour nous aider à retrouver, à la faveur des Évangiles, le sens - et la saveur - des rencontres authentiques.