L'émission de référence de RCF ! Un format court et quotidien, complété par une version intégrale le samedi, pour engager une réflexion spirituelle profonde et accessible, autour d'une thématique d'actualité.
Le poème "Une rose effeuillée" a été écrit en 1897, l'année de la mort de sainte Thérèse de Lisieux. La rose effeuillée, c'est l'image, plutôt simple, que la carmélite a trouvée pour dire le fond de sa pensée. Mais une pensée d'une grande profondeur où il y est question de la vérité de l'Apocalypse et de ce que la sainte croit être le but de toute vie humaine.
À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.
Le poème "Comment je veux aimer" (1896), de sainte Thérèse de Lisieux, est un véritable aveu de faiblesse. Mais pour la jeune carmélite, il ne s'agit pas de supporter sa petitesse et sa fragilité : il s'agit au contraire de les aimer. C'est un appel radical à s'abandonner à la grâce divine.
À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.
Le poème "Mon Ciel à Moi !" a été écrit en 1896, soit un an avant sa mort. Dans ce texte, sainte Thérèse de Lisieux s'affirme : son union à Dieu n'est pas synonyme d'effacement de soi. Au contraire, la carmélite nous montre qu'il y a autant de manières d'aimer Dieu qu'il y a d'âmes...
À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.
"Vivre d'Amour, c'est garder en soi-même un grand trésor en un vase mortel..." Ce poème de Thérèse de Lisieux, intitulé "Vivre d'amour" (écrit en 1895), est celui d'une grande mystique. Pour Thérèse, il n'y a rien d'autre en dehors de ce cœur-à-cœur avec Jésus. Mais sommes-nous tous capables d'aimer Dieu avec la même intensité ?
À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.
Thérèse de Lisieux avait 21 ans quand elle a écrit "Mon chant d'aujourd'hui", le 1er juin 1894. C'est sans doute le poème le plus connu de Thérèse, dans lequel elle fait preuve d'un réalisme spirituel. Elle aborde le mystère qui ne cesse d'interpeller les philosophes, celui du temps. Mais c'est dans la fragilité du temps présent qu'elle comprend combien la rencontre avec Dieu est pour tout de suite.
À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.
Une théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
Une théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
Une théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
Une théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
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