Dans son roman biblique « Au jardin des oliviers », Joëlle Randegger propose un évangile apocryphe de Marie, mère de Jacques. Par ce roman biblique, elle nous immerge dans l’environnement humain où est né Jésus, où il a grandi et où il a accompli sa mission. Solidement étayée par une documentation rigoureuse, cette œuvre de fiction nous éclaire dans la compréhension de certains passages des Évangiles.

Le livre est paru aux éditions Oliviétan.

Les enfants pressentent les secrets de famille.

Docteur en lettres, professeur agrégé de français, Sarah Parret publie le roman « La Petite » qui a reçu le prix Jean Anglade 2022. Au cours de cette émission, elle rappelle quelle était la vie, avant l’arrivée de la modernité actuelle, dans un village au pied de la montagne de Chartreuse. Et elle nous révèle ce qu'éprouvent les âmes enfantines qui pressentent de lourds secrets de famille.

Le roman "La Petite" est parue aux éditions Les presses de la Cité / Terres de France.

Les enfants pressentent les secrets de famille.

Docteur en lettres, professeur agrégé de français, Sarah Parret publie le roman « La Petite » qui a reçu le prix Jean Anglade 2022. Au cours de cette émission, elle rappelle quelle était la vie, avant l’arrivée de la modernité actuelle, dans un village au pied de la montagne de Chartreuse. Et elle nous révèle ce qu'éprouvent les âmes enfantines qui pressentent de lourds secrets de famille.

Ancien aumônier de prison, Frédéric Hervé est un diacre permanent affecté à la paroisse Saint Jean-Lavérune où il seconde le curé lors des cérémonies liturgiques et où il célèbre des baptêmes, des mariages, des obsèques et prononce des homélies. Mais il est également engagé dans des associons non confessionnelles : club taurin, club de football où il est entraîneur des jeunes enfants. Dans ces engagements, il parle du Dieu de Jésus-Christ aux personnes qui sont loin de l’Église ou tout à fait à l’extérieur.

Dans son roman « A bout de compte » qu’elle publie aux Editions Vérone, Laurence Villevieille relate la double histoire d’une mère et de sa fille qui n’ont pas réussi à construire la relation d’amour qu’induit le lien du sang.

Au cour de l’émission, elle évoque sa découverte des thérapies alternatives qui mettent en lumière un rôle majeur de la dimension spirituelle de l’être humain.

Dans son roman biblique « Au jardin des oliviers », Joëlle Randegger propose un évangile apocryphe de Marie, mère de Jacques. Par ce roman biblique, elle nous immerge dans l’environnement humain où est né Jésus, où il a grandi et où il a accompli sa mission. Solidement étayée par une documentation rigoureuse, cette œuvre de fiction nous éclaire dans la compréhension de certains passages des Évangiles.

Le livre est paru aux éditions Oliviétan.

Les limites de l’intelligence artificielle apporte-t-elle un nouvel éclairage sur la conscience, la spiritualité et le questionnement sur l’existence de Dieu ?

Ingénieur et universitaire, Pierre Massotte vient de publier le livre : « Influence de l’intelligence artificielle sur l’économie, l’homme et la spiritualité. L’intelligence artificielle : clone de l’homme ». Et il prépare un nouveau livre sur l’intelligence artificielle et la conscience. Dans cette seconde émission, il rappelle, en le développant, que les limites de l’intelligence artificielle amènent à réfléchir sur le pourquoi de phénomènes spécifiquement humains comme l’expérience spirituelle, la conscience... ce qui conduit à s’interroger sur la connaissance de Dieu par la foi.

Les limites de l’intelligence artificielle apporte-t-elle un nouvel éclairage sur la conscience et la spiritualité ?

Ingénieur et universitaire, Pierre Massotte vient de publier le livre : « Influence de l’intelligence artificielle sur l’économie, l’homme et la spiritualité. L’intelligence artificielle : clone de l’homme ». Et il prépare un nouveau livre sur l’intelligence artificielle et la conscience. Dans ces deux entretiens, il montre que les limites de l’intelligence artificielle amènent à réfléchir sur le pourquoi de phénomènes spécifiquement humains comme l’expérience spirituelle, la conscience... ce qui conduit à s’interroger sur la connaissance de Dieu par la foi.

Du monde des affaires à la découverte de l’épanouissement personnel, Axelle Vallancien relate le tournant qu’elle a opéré pour trouver sa vraie voie.

Ancienne avocate d’affaires et directrice des ressources humaines dans une société de fonds d’investissements international, Axelle Vallancien a connu un tournant radical dans sa vie à la suite d’un burn-out.

Dans cette seconde partie de l’entretien, elle décrit son activité de coach qui aide les personnes dans la recherche de l’épanouissement personnel. Venue vivre dans notre région, elle peut librement s’adonner à l’art, à la spiritualité et à l’écriture. Elle publie son premier roman : « Une musique au cœur ».

Du monde des affaires à la découverte de l’épanouissement personnel, Axelle Vallancien relate le tournant qu’elle a opéré pour trouver sa vraie voie.

Ancienne avocate d’affaires et directrice des ressources humaines dans une société de fonds d’investissements international, Axelle Vallancien a connu un tournant radical dans sa vie à la suite d’un burn-out.

Elle s’est orientée vers le coaching pour aider les personnes dans la recherche de l’épanouissement personnel. Elle s’est ouverte à l’art, à la spiritualité et à l’écriture. Elle publie son premier roman : « Une musique au cœur ».

Dans son livre « Au creux de l’être. Vivre sans enfant. » paru aux éditions Saint-Augustin, Corinne Gossauer-Péroz évoque avec pudeur et sincérité les ressentis des personnes qui ne peuvent pas avoir un enfant.
Elle témoigne de comment elle a vécu l’attente infructueuse de la grossesse et comment peu à peu s’est accompli en elle un véritable travail de deuil.
Mais, note positive de son livre, Corinne Gossauer-Péroz révèle qu’il existe d’autres formes de fécondité auxquelles peuvent accéder les personnes qui n’ont pas pu avoir d’enfant. En particulier les prêtres, les religieux et les religieuses ont entendu l’appel de Jésus-Christ : « Il y a ceux qui se font eunuques pour le Règne de Dieu ».

Ancienne officière, c’est à dire pasteure de l’Armée du Salut », Corinne Grossauer-Peroz s’est convertie au catholicisme.

Aumônière dans quatre maisons de retraite du canton de Vaud, elle parle de son apostolat auprès des personnes dans le grand âge résidant en maison de retraite. Et elle leur donne la parole dans le livre qu’elle publie : « Garde-moi vivant ! Vieillir et le dire » paru aux éditions Saint Augustin.

Dans cette première partie de l’entretien, Corine Gossauer-Peroz relate sa vie de foi. Fille d’un couple de pasteurs de l’Armée du Salut, Corine Gossauer-Peroz a connu à l’âge de 6 ans une forte expérience intérieure de l’amour de Dieu. Après des études de secrétariat trilingue, elle s’est engagée dans l’Armée du Salut où elle a été élevée au rang de officière c’est-à-dire en couple avec son mari également pasteur dans diverses formes d’apostolat en Angleterre, en France et en Suisse. Durant son apostolat de pasteure, elle allait régulièrement se ressourcer auprès des communautés religieuses catholiques. Elle y a découvert l’importance essentielle de l’Eucharistie pour approfondir sa relation d’amour avec Jésus-Christ; ce qui l’a amenée à rallier l’Église catholique. Celle-ci lui a confié la mission d’aumônière dans les établissements médico-sociaux du canton de Vaud où elle accompagne spirituellement des personnes malades ou dans le grand âge.

Ordonné prêtre en Pologne, le Père Adam Jozefaciuk a été envoyé en France rejoindre la mission polonaise. Il retourne dans son pays natal après un apostolat de 18 années dans plusieurs paroisses françaises.

Dans cette émission, il nous fait partager son regard sur la spécificité de l’Église catholique en France. Il reconnaît que, malgré la forte sécularisation, les besoins spirituels sont toujours là. Les communautés sont certes moins nombreuses, mais plus vivantes. Les laïcs sont fortement engagés; ce qui est pour lui un gage d’avenir pour l’annonce de la Bonne Nouvelle.

Jésuite, théologien, ancien professeur au Centre Sèvres, la faculté jésuite de théologie de Paris le Père Dominique Salin est l’auteur de plusieurs ouvrages dans lesquelles il tisse des lien entre la littérature et la théologie spirituelle. Dans son dernier livre « Le discernement des Esprits selon Ignace de Loyola », il montre comment la voie spirituelle ouverte par Ignace de Loyola trouve aujourd’hui les échos avec la psychologie moderne.

Dans la seconde partie de cet entretien, le Père Salin nous fait découvrir la théologie de l’abandon à Dieu, exprimée par la prière du « Notre Père : Que ta volonté soit faite ! ».
Il rappelle que, depuis Abraham jusqu’à Thérèse de Lisieux, l’abandon à Dieu est inspiré par la foi. Dieu est celui qu’il faut laisser guider sa vie. Pour le croyant, la maîtrise est de reconnaître que l’on ne peut pas tout maîtriser et donc qu’il faut laisser Dieu prendre les rênes de sa propre existence. Cette voie spirituelle de l’abandon, de l’abandonnement selon saint François de Sales, est conseillée par des guides laïques du développement personnel qui préconisent le « lâcher prise » pour obtenir un salutaire désencombrement de soi.

Le Père Dominique Salin est l’auteur de plusieurs ouvrages dans lesquels il tisse des liens entre la littérature et la théologie spirituelle. Dans son dernier livre « Le discernement des Esprits selon Ignace de Loyola », il montre comment la voie spirituelle ouverte par Ignace de Loyola trouve aujourd’hui des échos avec la psychologie moderne.

Dans la première partie de cet entretien, il parle de sa vocation à rejoindre la compagnie de Jésus et retrace son parcours qui, à partir d’un poste d’enseignant de littérature dans un établissement secondaire, l’a conduit à la sous direction de la revue « Etudes », puis à préparer une thèse de théologie et à enseigner au Centre Sèvres. Sa spécialité est la littérature spirituelle.
Il nous présente ensuite les grandes lignes de la littérature spirituelle. Elle englobe les œuvres d’auteurs profanes, comme Georges Bernanos et François Mauriac qui, sous l’angle de la fiction, abordent des questions hautement spirituelles. Mais la littérature spirituelle telle que l’étudie le P. Salin traite aussi des écrits de grands spirituels, en particulier de la famille du Carmel comme Thérèse d’Avila, Jean de la Croix, Thérèse de Lisieux et Elizabeth de la Trinité.

Ancien journaliste, Jacques Molénat retrace sa carrière dédiée aux enquêtes sur la vie politique et les cercles de pouvoir dans le Midi méditerranéen. Ses enquêtes ont été publiées dans des journaux régionaux et des grands titres nationaux. A sa retraite, il a pris la plume de l’écrivain pour compléter la publication des résultats de ses enquêtes. Son dernier livre « Georges Frêche. Le monarque aux 80 visages » est une série de 80 portraits de ce géant de la politique à la personnalité complexe et passionnante.

Dans son dernier roman "Fautes d'amour", Béatrice Bourrier relate un douloureux conflit familial entre deux soeurs. L'action se déroule dans notre région montpelléraine au début du 20ème siècle. Elle relate comment la grâce du pardon peut nous sauver des tragédies humaines.

À notre époque, la foi chrétienne doit être en permanence éclairée, nourrie, fécondée par les multiples avancées de la connaissance. C’est pourquoi l’Église catholique intensifie ses efforts dans le domaine de la formation. Au diocèse de Montpellier, c’est le père Jean-Sébastien Strumia qui a été nommé vicaire épiscopal à la formation. Ancien curé de la paroisse étudiante de Sainte Bernadette à Montpellier, le père Strumia a étudié la philosophie et la théologie. Il publie l’essentiel de son travail de thèse en théologie dans le livre paru aux éditions du cerf dans la collection « Cogito Fidei » et qui est intitulé : « À l’aube de la Parole. La théologie au défi de la phénoménologie de la vie de Michel Henry ».

Dans cette deuxième partie de l’entretien, le Père Jean-Sébastien Strumia présente l’essentiel de ses recherches de thèse sur les travaux du philosophe Michel Henry concernant la phénoménologie de la vie. Le Père Strumia montre que les analyses de Michel Henry méritent d’être examinées sous l’angle de la théologie. Il met en évidence qu’à partir de certaines réalités de la vie, nous pouvons mieux connaître la parole de Dieu, en particulier l’Évangile de Jean. Et ainsi il apporte des réponses qui permettent de progresser dans la foi. Le Père Strumia présente le concept du Biologos Pneumaticos, qu’il a développé et qui introduit un nouveau rapport entre la Nature et la Grâce.

À notre époque, la foi chrétienne doit être en permanence éclairée, nourrie, fécondée par les multiples avancées de la connaissance. C’est pourquoi l’Église catholique intensifie ses efforts dans le domaine de la formation. Au diocèse de Montpellier, c’est le père Jean-Sébastien Strumia qui a été nommé vicaire épiscopal à la formation. Ancien curé de la paroisse étudiante de Sainte Bernadette à Montpellier, le père Strumia a étudié la philosophie et la théologie. Il publie l’essentiel de son travail de thèse en théologie dans le livre paru aux éditions du cerf dans la collection « Cogito Fidei » et qui est intitulé : « À l’aube de la Parole. La théologie au défi de la phénoménologie de la vie de Michel Henry ».

Dans cette première partie de l’entretien, le Jean-Sébastien Strumia présente les différentes unités de formation qu’il coordonne en tant que vicaire épiscopal : le Centre d’Études Guilhem de Gellone, le service de diocésain de la formation spirituelle et pastorale, la formation des prêtres et des diacres.
Ensuite il rappelle que sa propre formation, dépassant celle prodiguée au séminaire, l’a conduit à étudier la philosophie à la faculté des Lettres de Montpellier où il a obtenu une maîtrise de philosophie. Ensuite il a étudié la théologie à Rome et soutenu une thèse de théologie sur la phénoménologie de la vie selon Michel Henry. Et il démontre que les analyses de ce grand philosophe chrétien doivent être éclairées et complétées par un approfondissement théologique.