Après l’épisode de Floraine la semaine dernière, sur les récits différents et l’importance de les confronter jusqu’à en écrire un à plusieurs mains, je me suis dit que c’était l’occasion de revenir sur un sujet concernant la mémoire française. C’est un sujet qui me tient particulièrement à cœur dont l’horreur m’a fait arriver à Coexister et un article du Monde du 27 janvier en a réactivé l’urgence pour moi. Je vous donne le titre : La Shoah, un mythe ou un récit exagéré selon un quart des jeunes aux Pays-Bas.

Voyage au Panama chez les Emberas de Piriati avec Floraine Julien.

En cette fin d’année, il est temps de faire le bilan sur ce qui se passe en France en termes de fête. On entend parler de crèches, les supermarchés sont remplis de père Noël, on voit des bougies qui s’allument sur une couronne de quatre ou une hanoukia de neuf. Il y a une impression de vivre la même chose et en même temps, alors que d’une famille à l’autre, c’est très différent.

À la suite de l’épisode de Floraine qui nous donne un très bel exemple du sport comme excuse pour se rencontrer, je voulais discuter avec vous de l’importance de faire des choses ensemble. À Coexister il y a un truc qui nous énerve beaucoup, c’est quand on nous présente comme une association de dialogue.

À la suite de l’épisode de Floraine de la semaine dernière, nous rappelant d’éviter de nous replier sur nous même, je vous propose de vous démontrer la puissance de l’interconvictionnel pour créer une société où on a tous et toutes une place.

À votre avis Pierre-Hugues, pourquoi avec cette partie d’identité qui est la conviction religieuse ou spirituelle, on a l’impression que cela ne mène qu’au conflit ?