Le Mag Éco

Jusqu’à quand la crise immobilière va-t-elle durer ? Voilà des mois que le marché est grippé. Malgré une demande de logement qui reste forte, le nombre de transactions est en chute libre. En Anjou par exemple, les ventes, tous biens confondus, ont reculé de 26% entre juillet 2023 et juin 2024. Il faut dire que les taux restent élevés et que les prix tardent à baisser. Mais ce n’est pas tout. Il faut ajouter à cela, une pénurie de logements neufs.

Tous ces facteurs combinés entravent la capacité des potentiels acquéreurs à devenir propriétaires, les primo-accédant en tête. Conséquence de quoi, le marché locatif aussi en subit les conséquences et s’enraye.

Dans cet obscur tableau, une ou deux éclaircies peut-être. D’abord, la décroissance légère mais certaines des taux d’emprunt qui repassent sous la barre des 4% en moyenne. Ensuite, la stabilité retrouvée des prix des matériaux de construction. Mais est-ce suffisant pour espérer une reprise de l’activité ? Rien n’est moins sûr.

Les acteurs de l’immobilier eux réclament des engagements forts de la part de l’Etat et une politique volontariste pour relancer la construction tout en allégeant la lourdeur des normes administratives.

Pour une grande partie des Français, juillet sonne la fin de l’année scolaire et le départ des grandes vacances. Le signal pour les acteurs du tourisme du lancement de la haute saison. Elle est s'annonce pleine de promesses. Au niveau national, le gouvernement affiche un premier bilan satisfaisant et des projections encourageantes pour l’été.

Selon une récente note du ministère du tourisme, les réservations sont en hausse de 16 % entre juin et août, par rapport à l’an passé et les clients étrangers sont présents malgré le contexte géopolitique instable.

Bref, les voyant semblent au vert. Mais cette dynamique profite-t-elle à l’Anjou ? Depuis une dizaine d'années, le département et les professionnels du secteur multiplient leurs efforts communs pour accentuer l’attractivité et la notoriété du territoire. Pour quel résultat ? Le Maine-et-Loire est-il devenu une destination de voyage à part entière ? Quels sont ses principaux atouts pour convaincre ?

Hôtellerie-restauration, BTP, Transport, Industrie… En 2025, aucun secteur économique ne semble épargné par les pénuries de main-d'œuvre… Selon le dernier baromètre de la Dares, l’organe statistique du Ministère du Travail, ce sont près de 500 000 emplois étaient encore vacants au 1er trimestre dans les entreprises du secteur privé en France. Un constat qui engendre automatiquement des tensions sur le marché des recrutements. La guerre des talents fait rage !

Pour y faire face, investir dans la formation est devenu stratégique. Mais à qui confier le développement des compétences de ses futurs collaborateurs ? Certaines structures traditionnelles déçoivent car jugées pas suffisamment en adéquation avec les réalités de terrains des entreprises. Dès lors, des dirigeants font le choix d’internaliser tout ou partie de cette formation pour gagner en agilité et en attractivité.

Créer sa propre école, sur-mesure, alignée sur sa culture d’entreprise ou miser sur la richesse et l’expertise des organismes extérieurs, capables d’actualiser en permanence leurs contenus et de mutualiser les compétences. Formation professionnelle : sur quel modèle s’appuyer ?

Depuis l’épisode Covid, le gouvernement a pris conscience de l’impératif de retrouver rapidement une souveraineté sanitaire. L’annonce de l’exécutif lundi va d’ailleurs en ce sens. L’Etat a indiqué son intention de soutenir sept nouveaux projets d’investissements d’industries pharmaceutiques pour relocaliser la production de certains médicaments essentiels.

Mais bien au-delà, le cap fixé par Emmanuel Macron tend à refaire de la France la première nation innovante en matière de santé à l’horizon 2030… Alors dans les territoires, des dynamiques s’engagent. C’est notamment le cas dans notre région avec la création dernièrement de l’association French Care Pays de la Loire.

Entreprises confirmées, start-up, établissements de santé, laboratoires, universités, patients et soignants ont décidé de se regrouper pour booster l’innovation et imaginer ensemble le système de soin de demain. Pour le rendre à la fois plus résilient et plus humain.

Chaque année, 20 000 à 30 000 militaires quittent l’armée pour tenter une reconversion professionnelle dans le civil. Et leurs profils ont plutôt tendance à séduire les entreprises qui voient l’occasion d’attirer dans leurs rangs des savoir-faire pointus et des salariés investis dans leur mission.

Malgré ce constat, la rencontre entre ces deux mondes n’est pas toujours aisée. Certains anciens militaires peinent à s'insérer sur le marché du travail classique. Quels obstacles rencontrent-ils ? Et comment sont-ils accompagnés dans ce défi qui les attend ?

À quoi ressemblera l’industrie de demain ? Vous pourriez vous en faire une idée assez précise si vous vous rendez à Cholet la semaine prochaine. Du 17 au 19 juin, la ville devient la vitrine d’une filière en plein renouveau puisqu’elle accueille un événement inédit : le salon Inno4Tech dédié à l’innovation dans le secteur.

Innovation au service de la performance et du bien-être des salariés qui viennent à manquer. Près d’une entreprise industrielle sur deux peine toujours à recruter. Alors si les machines ne remplacent pas l’Humain, elles peuvent néanmoins combler un vide. Et il est fort à parier qu’elles occuperont une place encore plus importante dans nos usines à l’avenir compte-tenu de la pénurie de main-d'œuvre.

Automatisation, robotisation, intelligence artificielle ne sont plus des concepts futuristes mais des solutions concrètes déjà déployées, y compris dans nos ateliers choletais. Mais derrière la technologie, l’enjeu est également social. Cette mutation pose aussi la question de la place de l’Homme dans ces chaînes de production repensées.

Un Français sur dix possède aujourd’hui des actifs numériques… Chaque année dans l’hexagone, ce sont des milliards d’euros qui sont investis par les particuliers et entreprises dans les crypto-monnaies. Mais quelles sont leurs origines ? Pourquoi suscitent-elles autant d’intérêt ? Et peut-on vraiment avoir confiance dans ces moyens de paiement alternatifs ?

La Jeune Chambre Economique d’Angers a décidé de s'emparer du sujet. Elle propose ce soir une conférence au sein de l’Université Catholique de l’Ouest sur les mystères de la monnaie. Conférence qui sera suivie d’une table ronde-ronde pour mettre en exergue les caractéristiques du fameux Bitcoin comparé à notre système monétaire traditionnel.

Une émission réalisée en septembre 2024

À travail égal, salaire égal. Sur le papier, tout le monde semble à peu près d’accord. Mais dans les faits, cette maxime peine à s’imposer. Notamment entre les deux sexes… En équivalent temps plein dans le privé, le salaire moyen des femmes reste inférieur de 15 % à celui des hommes. Et à poste et responsabilités comparables exercés chez un même employeur, un écart persiste, estimé à environ 4 %.

Une situation qui n’est pas propre à la France. Alors, pour corriger le tir, Bruxelles a décidé d’agir : dans un an tout pile (juin 2026), toutes les entreprises de plus de 100 salariés devront publier leurs écarts de rémunération. C’est le sens de la nouvelle directive européenne sur la transparence salariale.

L’objectif : rendre les inégalités visibles. Trop visibles diront certains. Car côté entreprises, la pilule a dû mal à passer pour de multiples raisons : inquiétudes sur la confidentialité, crainte d’un effet boomerang dans les équipes, complexité de mise en œuvre.

Faut-il s’en réjouir ou s’en inquiéter ? Est-ce un tournant pour l’égalité ou une contrainte de plus qui va peser sur le quotidien des employeurs ? Durant cette émission, nous confrontons les points de vue.

Longtemps moteur de croissance et d’emploi, le bâtiment traverse une période particulièrement mouvementée. Ces dernières années ont été marquées par la flambée des coûts des matériaux, la hausse des taux d’intérêt, le recul du pouvoir d’achat des ménages ou l’instabilité politique en matière de construction. Bref, le secteur a subi de plein fouet les effets d’une crise plurielle.

En 2024, les mises en chantier de logements ont chuté de près de 26 % en France, atteignant leur plus bas niveau depuis plusieurs décennies. Le bâtiment neuf s’effondre, tandis que la rénovation – bien que dynamique – ne compense pas les pertes d’activité. Les entreprises, notamment les PME du secteur, peinent à maintenir leurs carnets de commandes, et près d’un tiers d’entre elles évoquent des difficultés de trésorerie.

Pourtant, des signaux de reprise commencent à poindre. La légère baisse des taux d’intérêt associée à la prolongation du dispositif Prêt à Taux Zéro permettent aux particuliers de se projeter à nouveau dans l’achat de biens immobiliers. Sans compter que le défi de la transition énergétique, porté par des aides publiques, offre de nouvelles perspectives à la filière.

Alors, comment le secteur du bâtiment peut-il rebondir ? Quels leviers activer pour sortir de cette zone de turbulence ? Et à quelles conditions la reprise sera-t-elle durable ?

Elle grignote des parts de marché année après année… La voiture électrique aurait déjà séduit près de 1,5 million de particuliers selon le dernier baromètre de la mobilité publié par l’association Avere-France. Si bien qu’elle représente aujourd’hui environ 2 à 3% du parc automobile national. Une dynamique portée à la fois par les incitations gouvernementales, la montée en puissance des constructeurs et la prise de conscience écologique des consommateurs.

Avec l’objectif européen d’interdire la vente de voitures thermiques d’ici 2035, les industriels accélèrent leur transition. Mais la route est encore longue pour opérer ce virage industriel. Et le marché observe un fort ralentissement depuis quelques mois. La baisse du pouvoir d’achat n’incite pas à passer à l’action. Non seulement les Français font moins d’acquisitions de véhicules neufs, mais ils ne se convertissent plus vraiment à l’électrique, dont les ventes sont désormais poussées en premier lieu par les flottes d’entreprises.

Parallèlement, cette technologie suscite toujours des interrogations sur le plan de la performance. Autonomie, recharge, fiabilité… Quelles sont les garanties apportées par les nouveaux modèles sur le marché ? Quels acteurs tirent leur épingle du jeu ? Et à quoi faut-il s’attendre dans les années à venir ? Des questions qui trouveront certainement réponses lors du salon de l’automobile électrique qui se tient ce dimanche près d’Angers.

Ce n’est pas simplement un acteur industriel historique que nous avons choisi de mettre à l’honneur aujourd’hui, mais une entreprise qui a su évoluer, questionner ses pratiques, se transformer, tout en restant fidèle à ses racines. Humeau-Beaupréau fête ses 120 ans en 2025. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le fabricant de chaussures des Mauges a su faire preuve de résilience durant plus d’un siècle marqué par de nombreuses crises et mutations économiques ou sociales.

Dans cette prochaine demi-heure, nous allons revenir sur les grandes étapes de cette aventure entrepreneuriale, non pas pour dresser une rétrospective nostalgique, mais pour comprendre ce qui, au fil du temps, a permis à cette PME emblématique du territoire de traverser ces moments difficiles et de continuer à fabriquer en France tout en restant compétitif sur un marché mondial hyperconcurrentiel.

Nous évoquerons les orientations stratégiques qui ont rendu l’entreprise robuste et les défis qui l’attendent dans les années à venir tout en essayant de comprendre comment l’héritage familial influence les prises de décisions des actuels dirigeants.

Cryptomonnaies, NFTs, DAO… Si ces termes restent mystérieux pour beaucoup, ils traduisent néanmoins un univers en pleine ébullition : celui du web3. Un internet du futur fondé sur la blockchain, la décentralisation et la valeur partagée où les utilisateurs deviennent propriétaires et souverains de leurs données numériques.

Alors que certains détracteurs critiquent un concept flou et nébuleux, d’autres acteurs économiques y lisent déjà les prémices d’un bouleversement profond de notre rapport à la finance, à l’éducation, à la culture.

Cette technologie rencontre un intérêt croissant de la part des investisseurs, des développeurs, mais aussi des institutions publiques qui n’hésitent plus à s’engager aux côtés d'entreprises de la filière. La région des Pays de la Loire est en ce moment même partenaire d’un événement unique en France.

Dans quelques jours se déroule à Angers la 3e saison de Spotlight : un rendez-vous consacré aux talents de l’écosystème entrepreneurial. Son objectif : mettre en avant les startups les plus prometteuses de la tech et du web3 pour les accompagner ensuite vers le succès commercial.

"Tout s’accélère : comment capitaliser sur l’innovation numérique pour performer et durer ?" C’est la thématique retenue pour les prochaines Rencontres du Numérique de l’Ouest qui se dérouleront le 24 avril prochain au Centre d’affaires de Terra Botanica. On y parlera dématérialisation, cybersécurité, numérique responsable ou encore intelligence artificielle… Des sujets au cœur des nouvelles préoccupations des entrepreneurs même si beaucoup restent frileux en termes d’investissement sur ces dossiers…

En 2024, une étude gouvernementale commandée par France Num révélait que les 3/4 des TPE-PME françaises affirmaient avoir entamé une démarche de transformation numérique. Sauf que 34 % seulement déclaraient utiliser des outils numériques avancés. Un décalage qui illustre une réalité : si la digitalisation est perçue comme indispensable, elle reste encore inégalement maîtrisée.

Face à une instabilité économique et géopolitique croissante, les entreprises sont contraintes de repenser leurs modèles et d’accélérer leur transformation. Transition écologique, révolution numérique, évolution des pratiques RH… Autant de défis qui ne sont plus une option mais une nécessité pour assurer à la fois leur pérennité et leur développement.

Mais comment au juste naviguer dans ce paysage en perpétuelle mutation ? Comment convertir ces défis en opportunités pour bâtir des entreprises plus résilientes, plus agiles et plus responsables ? Quels sont les leviers d’action concrets à disposition des managers pour mener à bien ces transformations ?

C’est à ces questions et bien d’autres encore que le Printemps des Entreprises tentera de répondre ce jeudi. La première édition de ce rendez-vous organisé à l’ESSCA rassemblera des dirigeants, professionnels et acteurs du monde économique local autour des problématiques liées aux transitions dans leur globalité. Un temps de partage, d’analyses, et d'échanges de bonnes pratiques pour continuer de nourrir le discernement des entrepreneurs afin de les aider à juger de la conduite à tenir pour les prochains mois.

En quelques années seulement, elle est passée du statut de promesse technologique presque futuriste à celui d’outil incontournable… L'intelligence artificielle générative est désormais au cœur des stratégies de bon nombre d'entreprises. Selon une récente enquête de BpiFrance, son adoption sur la dernière année a même doublé chez les TPE et PME françaises. Près d’un tiers admet y avoir recours aujourd’hui.

Cette intégration est particulièrement notable dans des domaines tels que les ressources humaines et la gestion de la relation client. Mais elle est également largement plébiscitée pour la communication. Dans un monde où chaque seconde voit naître des millions de contenus numériques sur internet et les réseaux sociaux, l’IA s’impose comme une alliée précieuse pour capter l’attention. Capable d’analyser des volumes colossaux de données, d’automatiser des tâches chronophage et de personnaliser les messages avec précision.

Loin de se limiter à des gains d’efficacité, l’IA redéfinit également les dynamiques créatives. Il est désormais possible de concevoir des contenus originaux – articles, vidéos ou même slogans publicitaires – de manière semi-automatisée.

Durant cette émission, nous allons nous pencher sur les opportunités et les limites de l’intelligence artificielle appliquée à la communication dans les entreprises et les médias avec deux entrepreneurs locaux qui en fait leur fond de commerce.

Plus que quelques heures avant la fin de l’hiver… Et déjà, on se prend à rêver des beaux jours à venir en se projetant sur les futures vacances. Le Printemps sonne comme une promesse mais il donne également le top départ d’une nouvelle saison pour les acteurs du tourisme et des loisirs du Maine-et-Loire.

A ceux qui en doutent encore, il est bon de rappeler qu’il n’est pas nécessaire de prendre l’avion lorsque l’on aspire à un moment d’évasion. Que vous rêviez d’une escapade nature, d’un temps de détente ou d’une expérience insolite, les acteurs locaux innovent pour vous proposer des alternatives accessibles et responsables.

C’est d’ailleurs l’un des leitmotiv des deux entreprises auxquelles nous nous intéressons cette semaine. La première propose une solution pour transformer n’importe quel véhicule ou presque en van tout équipé pour un road trip. La seconde est spécialisée dans la proposition de balades insolites à travers l’Anjou. Et toutes deux répondent avec succès à notre besoin de déconnecter du quotidien.

C’est l’histoire d’une promesse. Une promesse ambitieuse. Celle d’une société capable de proposer un travail à chacune des personnes qui en est privée depuis un certain nombre d'années… Et ce, sans dépenser un centime. En finançant simplement ces postes avec l’argent des allocations actuellement versées sans contrepartie. Le dispositif Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée a été créé en ce sens il y a bientôt 10 ans…

Alors que l’expérimentation est censée prendre fin en 2026, il nous apparaît crucial de mesurer l’impact de ce projet… D’autant plus que la problématique du chômage long demeure. En France, près d’un million de personnes y serait confronté. Or nul n’est inemployable selon les têtes pensantes de ce programme innovant. Dès lors qu’on leur propose un poste adapté à ce qu’ils sont.

Mais dans la réalité, l’expérimentation porte-t-elle réellement des fruits ? Combien d’emplois ont pu être créés ? Ce modèle est-il viable financièrement ? Et surtout, peut-il être généralisé à l’échelle nationale ?

Elles sont peut-être en passe de devenir les grandes entreprises de demain. L’Anjou a la chance d’accueillir sur son territoire des start-up qui attirent l’attention bien au-delà des frontières de notre région… Innovantes, audacieuses et engagées, elles ont décidé de s’attaquer aux défis majeurs de notre époque : la transition écologique, la gestion des ressources ou la révolution énergétique.

C’est le cas notamment de Néolithe et Volt’R, deux acteurs économiques qui pourraient bien participer grandement à la décarbonation de notre société dans les prochaines années. Le premier cité révolutionne le secteur du recyclage en transformant les déchets industriels en granulats utilisables dans la construction. Une alternative prometteuse aux décharges et à l’incinération. Le second donne une nouvelle vie aux batteries lithium de plus en plus consommées sur la planète et mises au… recyclage alors qu’elles conservent en général 75 à 80% de leur valeur résiduelle.

Ces deux start-up ne sont pas de simples projets : elles portent en elles une vision, celle d’un monde plus durable et plus responsable. Mais comment passer d’une idée ingénieuse à l’industrialisation ? Quels défis doivent-elles surmonter pour devenir des leaders dans leur domaine ? Et comment l’Anjou, terre d’innovation, les accompagne-t-elle dans leur ascension ?

C’est un enjeu qui est devenu central dans le monde professionnel contemporain. Plus question d’envisager un poste de travail sans aborder l'enjeu du bien-être.

En France, une étude de l'Institut Ipsos révèle que 81 % des salariés considèrent les initiatives de bien-être et de santé au travail comme des critères déterminants dans le choix de leur employeur… 46% jugent même ces aspects prioritaires !

Les patrons ne peuvent ignorer le phénomène. D’autant plus que ses répercussions sur l’activité économique peuvent être significatives. Mais la problématique est complexe. Le bien-être au travail ne se limite pas à l'absence de maladies physiques ou mentales, il englobe un sentiment général de satisfaction et d'épanouissement dans son job.

Or, les attentes des salariés évoluent rapidement et peuvent paraître parfois difficiles à assouvir. On entend dire que les jeunes en quête de sens sont exigeants, est-ce réellement le cas ? Et comment y répondre ?

Dans ce Mag Eco, nous allons prendre le temps de débattre de l’intégration de ces nouvelles générations avant de donner la parole en deuxième partie d’émission à l’universitaire et conférencier Mathieu Detchessahar sur le management chrétien et le sens du travail.