En dialogue avec le monde

Quelques jours après la grande fête de Pentecôte, nous revenons avec le Père Félix Noungou, responsable du service de l'initiation chrétienne pour le diocèse de Rouen sur cette grande figure trinitaire de l'Esprit Saint.

La fondation St-Matthieu agit depuis 15 ans pour venir en aide aux petites écoles de l'Enseignement catholique partout en France ! En Normandie ce sont 50 projets qui ont été accompagnés depuis 2017, dans l'ex-Basse-Normandie. Le diocèse de Rouen et d'Evreux ont rejoint l'aventure en 2024. Dominique Beloeil, directeur diocésain de l'Enseignement Catholique à Rouen et vice-président du Comité exécutif de la fondation St Matthieu Normandie. Explications....

Dans le cadre du week-end du centenaire de la canonisation de Sainte Thérèse à Lisieux, une conférence de Benoît Cordonnier était proposée samedi 17 mai à 14h30 et 16h30 à propos de son arrière grand-père, le grand bâtisseur de la basilique de Lisieux, Louis-Marie Cordonnier. L'émission en Dialogue avec le monde cette semaine s'interresse à l'histoire de cet immense reliquaire que constitue à elle seule la basilique de Lisieux...

Clémence Joly, médecin en soins palliatifs à Pont-Audemer (27) donnait une conférence à Rouen sur les lois fin de vie le 05 mai dernier à l'église Sainte Jeanne d'Arc à Rouen. Un débat qui revient à l'Assemblée nationale le 12 mai prochain.
Peu avant le début de la conférence, elle s'est confié au micro de Catherine Manné.

Franck Dubois est frère Dominicain, maître des novices à Lille. Il a consacré une thèse intiulée « Le corps comme syndrome : une théorie de la matière chez Grégoire de Nysse ». C'est dans le cadre de son travail de recherche qu'il a interrogé la place des animaux dans l'au-delà.

Il y a dix ans, le pape François canonisait les parents de la "petite Thérèse". Ce sont le premier couple reconnu saint en tant que couple. Ce modèle, qui a vécu au coeur du XIXème siècle, dans un milieu bourgeois de Province, rencontre pourtant u grand attrait auprès des familles contemporaines. Comment expliquer ce paradoxe?

Il y a dix ans, le pape François canonisait les parents de la "petite Thérèse". Ce sont le premier couple reconnu saint en tant que couple. Ce modèle, qui a vécu au coeur du XIXème siècle, dans un milieu bourgeois de Province, rencontre pourtant u grand attrait auprès des familles contemporaines. Comment expliquer ce paradoxe?

En avril 2024, le dicastère pour la doctrine de la foi a publié un nouveau document permettant d’éclairer le concept de dignité humaine : Dignitas infinita. En lien avec l’Institut normand des sciences religieuses, deux cours sont proposés sur ce thème à Granville par le P. Olivier Lepage, professeur de théologie morale au séminaire de Rennes.

L'Institut Normand de Sciences Religieuses (l'INSR) propose 5 ateliers pour revisiter l'encyclique majeure du pape : "Fratelli Tutti" dont on fête cette année les 5 ans d'existence. Ces ateliers seront animés par Pascaline Lano, directrice de l'INSR et le Père Philippe Choteau. C'est avec lui que nous dialoguons cette semaine.

Le dessinateur de BD a sorti le 13ème épisode de ses Indices pensables en novembre dernier. Il sera à Caen ce jeudi soir à l'invitation des AFC et il interviendra auprès des collégiens vendredi. Dans cette série initiée il y a près de 20 ans, Brunor approfondit les relations de la foi à la science. Convoquant les grands scientifiques et philosophes, s'appuyant sur les recherches récentes, il explique en quoi croire en Dieu n'est pas contradictoire avec la démarche scientifique. "Il n'y aura jamais de preuves de l'existence de Dieu - ce serait d'ailleurs contraire à la liberté qu'il souhaite pour nous -, mais regardez par contre s'il n'y aurait pas des indices..." conseille-t-il à ses lecteurs.

Emmanuel Houset est philosophe, professeur de philosophie contemporaine à l’université de Caen-Normandie, membre de l’unité de recherche Identité et Subjectivité et membre associé des Archives Husserl de Paris. Il revient sur cette belle notion de la patience, et comment la cultiver dans nos existences toujours pressées...

Une journée pour les fiancés du diocèse d'Evreux, initiée par le service de la Pastorale des familles s'est tenue à l'Institution Notre-Dame-Saint-François d'Evreux samedi 11 janvier dernier. 70 couples étaient présents qui se marieront au cours de l'année, et plus de 80 bénévoles étaient mobilisés pour la bonne organisation de la journée ! Retour de ce temps fort avec Nathalie et Guillaume Réquedat, responsable du service de la Pastorale des Familles et Christine Maucotel, conseillère conjugale, présente lors de la table-ronde du samedi après-midi.

C'est le titre de la conférence qu'a proposée le philosophe Marc Grassin, directeur de l'Institut Vaugirad Humanités et Management, à l'occasion de la rentrée des entreprises de l'ICP - Campus de Rouen. De l'importance de soigner les relations humaines, car nous dit le philosophe "une grande partie des décisions dans les organisations sont finalement beaucoup moins rationnelles que relationnelles !"

Qu’ils survivent dans les ruines de Gaza, sous les bombardements de la banlieue de Beyrouth ou qu’ils se terrent dans Alep "libérée" par les islamistes, le sort des chrétiens d’Orient n’a rarement été aussi tragique qu’en cette fin d’année. Qui sont ces communautés chrétiennes méconnues en Occident? Comment vivent-ils leur foi dans leurs terres natales? Pourquoi nombreux sont-ils à émigrer en Europe ou en Amérique? Autant de questions posées lors d'une table-ronde organisée à l'église Saint Pierre à Caen le 11 janvier dernier. Pourtant, la présence de ces minorités, communautés porteuses d’Espérance et de paix, est une richesse pour l’ensemble des pays d’Orient.

Autour de cette table, plusieurs témoins de l’immense richesse en péril que constituent ces communautés locales…
Soeur Nathalie, religieuse du carmel St Joseph, qui a passé 7 ans au Liban comme enseignante dans une école du sud du Liban,
P. Georges Vimard a officié 10 ans durant comme prêtre fidei donum à Gaza en Palestine.
Elie et Nathalie, Libanais, ont quitté ce pays en 2003.
Nabil Malek, professeur de langues et civilisations arabes et de traduction, il a exercé dans les académies de Strasbourg et de Caen, ainsi qu'à l’École Supérieure Roi Fahd de Traduction de Tanger (Maroc). Il a aussi été, entre autres, coordinateur-général de l'enseignement de la langue arabe dans le réseau d'établissements scolaires de l'Agence pour l'Enseignement
Français à l’Étranger (AEFE)
P. Laurent Berthout, curé à la paroisse de Douvres-la-Délivrande, qui a été de nombreuses fois au Liban.
Enfin, Véronique Marcotte, chargée du développement du réseau France pour l’œuvre d’Orient.

Enfin à Caen, pour sensibiliser les normands à leur cause, l'Oeuvre d’Orient propose une poignante exposition intitulée Chrétiens d’Orient, passeurs d’espoir visible en l’église Saint Pierre jusqu’au 6 janvier.

En cette fin d'année 2024, la rédaction régionale de RCF en Normandie fait oeuvre de pédagogie : à quoi sert le Denier de l'Eglise ? Comment l'Eglise gère-t-elle son budget ? Autant de questions que nous avons posées à deux économes de la Province de Normandie, Philippe Euzenat pour le diocèse de Rouen et Laurent Poichotte, économe pour el diocèse de Bayeux-Lisieux.

L'accompagnement médical et humain des personnes en fin de vie a connu ces dernières décennies une évolution considérable. Ce temps si singulier que vivent malades et personnes âgées est marqué bien souvent par la peur, la solitude ou la souffrance. Mais si ces personnes sont accompagnées dignement, par les médecins ou les bénévoles, les relations vécues se révèlent d'une qualité humaine exceptionnelle. C'est ce dont témoignages les trois "témoins" de la soirée Choisis la vie organisée par RCF et la pastorale de la santé du diocèse de Bayeux et Lisieux le 24 novembre dernier au cinéma Pathé Les Rives de l'Orne.
Dr Marie-Christine Grach
Dr Thierry Gandon
Henri Le Pargneux

Qu’ils survivent dans les ruines de Gaza, sous les bombardements de la banlieue de Beyrouth ou qu’ils se terrent dans Alep "libérée" par les islamistes, le sort des chrétiens d’Orient n’a rarement été aussi tragique qu’en cette fin d’année. Qui sont ces communautés chrétiennes méconnues en Occident? Comment vivent-ils leur foi dans leurs terres natales? Pourquoi nombreux sont-ils à émigrer en Europe ou en Amérique? Autant de questions posées lors d'une table-ronde organisée à l'église Saint Pierre à Caen le 11 janvier dernier. Pourtant, la présence de ces minorités, communautés porteuses d’Espérance et de paix, est une richesse pour l’ensemble des pays d’Orient.

Autour de cette table, plusieurs témoins de l’immense richesse en péril que constituent ces communautés locales…
Soeur Nathalie, religieuse du carmel St Joseph, qui a passé 7 ans au Liban comme enseignante dans une école du sud du Liban,
P. Georges Vimard a officié 10 ans durant comme prêtre fidei donum à Gaza en Palestine.
Elie et Nathalie, Libanais, ont quitté ce pays en 2003.
Nabil Malek, professeur de langues et civilisations arabes et de traduction, il a exercé dans les académies de Strasbourg et de Caen, ainsi qu'à l’École Supérieure Roi Fahd de Traduction de Tanger (Maroc). Il a aussi été, entre autres, coordinateur-général de l'enseignement de la langue arabe dans le réseau d'établissements scolaires de l'Agence pour l'Enseignement
Français à l’Étranger (AEFE)
P. Laurent Berthout, curé à la paroisse de Douvres-la-Délivrande, qui a été de nombreuses fois au Liban.
Enfin, Véronique Marcotte, chargée du développement du réseau France pour l’œuvre d’Orient.

Enfin à Caen, pour sensibiliser les normands à leur cause, l'Oeuvre d’Orient propose une poignante exposition intitulée Chrétiens d’Orient, passeurs d’espoir visible en l’église Saint Pierre jusqu’au 6 janvier.

Emmanuel Petit a été ordonné prêtre il y moins d'un an. Prêtre salésien, le voilà envoyé en mission en Guadeloupe. De passage en Normandie où réside sa famille, il est passé dans "En Dialogue avec le monde" nous donner quelques nouvelles de sa mission Outre-Mer !