Le 13.10

Il se prénomme Gary, mais vous le connaissez probablement mieux sous le nom de DJ Flash. Ce liégeois d’origine mène une carrière à l’international et s’est, entre autres, produit en Tunisie, au Portugal, au Congo, au Japon ou encore en Thaïlande. Rencontre avec ce compositeur et producteur aux influences urbaines tombé dans les platines dès sa plus tendre enfance.

Et si l'on parlait funérailles ? C'est la proposition de PalliaLiège en parallèle de la journée mondiale des soins palliatifs qui se tiendra le 7 octobre. L'association liégeoise annonce la sortie numérique de son ouvrage : De la terre à la plume ; les funérailles ça se raconte. Un recueil de 59 témoignages et autant de rituels funéraires, d'anecdotes et autres souvenirs. Une volonté forte pour l'association d'ouvrir le dialogue sur des questions liées à la mort. Une occasion également de mettre sur pied une journée citoyenne autour de cette thématique. Nathalie Legaye, coordinatrice de PalliaLiège revient sur l'ouvrage, sa vision des soins palliatifs et le programme du 7 octobre.

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Composer un morceau au piano et le transformer en production aux sonorités aussi variées que la Tech House, Drum and Bass, Hip-Hop ou encore l’Afro-beat, c'est un peu la méthodologie de Max Léonardi, alias Hauméa. Cet artiste liégeois, autodidacte, passionné et curieux revient sur son parcours, ses influences et sa quête permanente de simplicité et de partage.

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L'invitée du jour : Nadine Lipstadt pour le Collectif Liégeois Aide à l'Enfance

Le Collectif Liégeois Aide à l'Enfance manifeste une nouvelle fois avec un leitmotiv bien précis : « faire de l’aide à l’enfance en danger une grande cause nationale ». Ce 21 mars, Place Xavier Neujean à Liège, les manifestants se sont donné pour faire entendre leurx voix. Derrière cette action, le Collectif Liégeois Aide à l'enfance, formé en avril 2023 et composé de travailleurs et directeurs de terrain. Ils pointent, entre autres, les moyens alloués au secteur et le besoin crucial de créer des ponts entre les différents services. Prenant pour exemple les 4.635 jeunes en attente d’une prise en charge au 30 juin 2023, selon un rapport du DGDE (Délégué Général aux Droits de l'Enfant). Plusieurs revendications sont sur la table, notamment une prise en charge plus structurée.