Impressions normandes RCF - page 8

Nous continuons la découverte de la joyeuse prison de Pont-l'Évêque avec Alice Létondot et son guide, Claire Audoucet, médiatrice culturelle. Après avoir eu un aperçu des bâtiments entourant la prison, aujourd'hui nous rentrons dans la prison.

Nous continuons la découverte de la joyeuse prison de Pont-l'Évêque avec Alice Létondot et son guide, Claire Audoucet, médiatrice culturelle. Aujourd'hui présentation des bâtiments autour de la prison.

Cette semaine Alice Létondot nous emmène découvrir un lieu insolite : la joyeuse prison de Pont-l'Évêque. Nous la suivons en compagnie de son guide, Claire Audoucet, médiatrice culturelle

Le musée de la céramique de Rouen est à l'honneur cette semaine.

Avec sa conservatrice, Marie-Lise Lahaye, nous revenons sur une très belle aventure : celle de la faïence rouennaise. Sa naissance, son apogée, son influence en France, en Europe et dans le monde... Jusqu'à son déclin.

Après sa naissance et son apogée, il est temps de clôre notre grande saga de la faïence rouennaise en évoquant son déclin... mais la beauté de la faïence, comme sa magie, est immortelle. Ce n'est pas Marie-Lise Lahaye qui nous dira le contraire.

Marie-Lise Lahaye, conservatrice du musée de la céramique de Rouen, continue de nous conter la grande saga de la faïence rouennaise.
Dans ce quatrième épisode, il est question des rapports étroits et de l'influence mutuelle entre les artistes rouennais et les artistes chinois.

Notre grande épopée de la faïence rouennaise continue au musée de Rouen qui nous a ouvert ses portes pour l'occasion et qui nous dévoile deux des plus grands chefs-d'oeuvres qu'il abrite en son sein.

Nous continuons à parcourir la grande histoire de la faïence rouennaise avec Marie-Lise Lahaye, conservatrice du musée de la céramique de Rouen, qui revient pour nous sur un personnage majeur de cette grande épopée de la faïence.

Le musée de la céramique de Rouen est à l'honneur cette semaine.

Avec sa conservatrice, Marie-Lise Lahaye, nous entamons le premier chapitre d'une grande et très belle saga : celle de la faïence rouennaise.

Ils sont aujourd'hui 18 moines cisterciens à entretenir une présence à l'Abbaye de la Trappe. Une vie de silence et de prière perdue au nord de l'Orne. Les frères travaillent la terre, méditent la parole, accueillent les pèlerins et prennent les sept prières du temps ordinaires chaque jour. Pour Frère Thomas, le combat spirituel du moine continue jusqu'au tombeau.

« Il y a de quoi remplir toute une vie de frère. » Frère Thomas nous emmène dans la bibliothèque de l'Abbaye de la Trappe.

Les 18 moines de l'Abbaye de la Trappe accordent une place importante de leur journée à la lecture. Les moines cistérciens cheminent en silence vers la sainteté en ruminant sur les textes bibliques.

Monastère cistercien situé à Soligny-la-Trappe, l'abbaye Notre-Dame de la Trappe abrite une communauté de frères depuis le XIIe siècle. Les moines sont isolés au cœur de l'Orne et ouvrent leurs portes aux pèlerins en recherche de calme et de spiritualité. 

C’est le petit hameau de Gruchy, à Gréville au cœur de la Hague, qui a vu naître en 1814 le célèbre peintre Jean-François Millet, l’artiste bien connu pour ses scènes paysannes et notamment pour l’Angélus. Sa maison natale, désormais ouverte au public, nous montre combien ses œuvres ont été marquées par son enfance paysanne et les paysages de la Hague. Nous découvrons cette maison avec Audrey Roquais, chargée de collection et référente de ce lieu pour le conseil départemental de la Manche.

Qui n’a jamais vu une tasse, un coussin, une broderie à l’effigie de de l’Angélus ? Ce tableau de Millet représentant deux paysans qui prient l’angélus du soir. La dernière pièce à visiter dans la maison natale du peintre raconte la folle aventure de ce tableau commandé par un riche américain et aujourd’hui exposé au musée d’Orsay. Rentrée dans l’imaginaire collectif, cette image a été reproduite sur tous les objets possibles du 19e siècle grâce à la technique de la chromolithographie.

Né en 1814 et mort en 1875, Jean-François Millet est vraiment un homme du 19e siècle. Il a été témoin des bouleversements politiques, industriels, artistiques de cette époque. Le peintre a assisté à l’invention de la photographie, une technique qu’il a d’ailleurs utilisée.

Ce qui me plaît le plus en art c’est le côté humain. Même sur ses œuvres représentant un paysage, Jean-François Millet ne manquait pas de faire apparaître un homme ou un animal. Dans le cabinet d’art graphique, nous découvrons les croquis que l’artiste peintre dessinait avant de les reproduire sur ses tableaux. Des croquis qui montrent notamment son attachement à la Hague.

C’est en sabot qu’il se plaisait le mieux, disait-il. Jean-François Millet peignait des scènes de la vie paysanne, un choix mal compris par ses contemporains. Au premier étage de sa maison natale, nous découvrons les objets agricoles qui apparaissent sur ses œuvres.

C’est le petit hameau de Gruchy, à Gréville au cœur de la Hague, qui a vu naître en 1814, le célèbre peintre Jean-François Millet, l’artiste bien connu pour ses scènes paysannes et notamment pour l’Angélus. Sa maison natale, désormais ouverte au public, nous montre combien ses œuvres ont été marquées par son enfance paysanne et les paysages de la Hague. Nous découvrons cette maison avec Audrey Roquais, chargée de collection et référente de ce lieu pour le conseil départemental de la Manche.

Au Viaduc de la Souleuvre dans le Calvados, un beau paysage et de nombreuses activités vous attendent. On peut s'y restaurer, entre pique-nique et restaurant. Pour les amateurs d'adrénaline, on peut aussi opter pour un saut à l'élastique ou encore une descente en luge. Sensations douces, mais sensations tout de même avec un parcours qui chatouillera vos voûtes plantaire. Il s'agit d'un parcours à pieds nus dans un jardin botanique et sensoriel au cœur de la vallée de la Souleuvre. Libérons nos orteilles et filons sur un chemin entre bambou et granit !