Voyages en récits RCF - page 6

Dans la continuité de ses précédents ouvrages de poésie, Jean-Pierre Boulic nous offre dans ce recueil une parole vibrante, un souffle d’étonnement, un chant enraciné.

Dans la continuité de ses précédents ouvrages de poésie, Jean-Pierre Boulic nous offre dans ce recueil une parole vibrante, un souffle d’étonnement, un chant enraciné.

Sviatoï vient d’un mot russe qui signifie “saint”. L'initiative de Diane et Anna prend ses racines en Russie où elles ont été bouleversées par le témoignage de Foi de nos frères Russes, et particulièrement par leur vision de la sainteté. C’est donc cette envie qui les anime d’aller visiter d’autres communautés catholiques pour évoquer le sujet de la Sainteté à laquelle tous sont appelés. Rencontre avec elles pour revenir sur leur pèlerinage auprès des micro-communautés de l’Asie Centrale à travers 5 pays : le Kazakhstan, le Turkménistan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, et l’Ouzbékistan à la rencontre et au service des communautés chrétiennes les plus isolées. Références, et pour aller plus loin : https://sviatoi.fr/

Sviatoï vient d’un mot russe qui signifie “saint”. L'initiative de Diane et Anna prend ses racines en Russie où elles ont été bouleversées par le témoignage de Foi de nos frères Russes, et particulièrement par leur vision de la sainteté. C’est donc cette envie qui les anime d’aller visiter d’autres communautés catholiques pour évoquer le sujet de la Sainteté à laquelle tous sont appelés. Rencontre avec elles pour revenir sur leur pèlerinage auprès des micro-communautés de l’Asie Centrale à travers 5 pays : le Kazakhstan, le Turkménistan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, et l’Ouzbékistan à la rencontre et au service des communautés chrétiennes les plus isolées. Références, et pour aller plus loin : https://sviatoi.fr/

Rencontre poétique avec Jean Lavoué, poète du Finistère. Références : https://www.editionslenfancedesarbres... http://www.enfancedesarbres.com/

Rencontre poétique avec Jean Lavoué, poète du Finistère. Références : https://www.editionslenfancedesarbres... http://www.enfancedesarbres.com/

« Le cœur n’a pas de ride » écrivait Madame de Sévigné. Nous sommes convaincus que prendre soin des personnes âgées c’est prendre soin de leur esprit, de leur sourire, de leur créativité. Agréâge met en lumière les nombreuses solutions et les initiatives de qualité pour que vieillir rime avec sourire. Références : https://agreage.fr/

4ème de couverture de la réédition (2022) par Peeters : Bien que la Consolation de Philosophie de Boèce, l'un des textes les plus lus durant tout le Moyen Âge, soit aussi l'un des plus traduits et des plus glosés, surtout en français, depuis deux siècles environ, nous avons voulu en varier l'approche, à la fois quant au vécu et à la démarche intellectuelle de l'auteur, ainsi que quant à sa place dans l'histoire de la pensée philosophique, littéraire et théologique. C'est tout particulièrement le cas sur le plan de l'expression, puisque pour la première fois la métrique boécienne s'y trouve serrée d'aussi près, traitée avec autant de précision et rendue avec autant de rigueur. La préface du volume entreprend par ailleurs d'accéder à l'ouvrage par un angle original. Enfin, une bibliographie cumulant le rétrospectif et le prospectif, sinon exhaustive du moins très fouillée, permettra au lecteur exigeant de confronter, de prolonger et de diversifier nos recherches. Citons, pour compléter, ce texte de Marc Fumaroli quant à La Consolation de Boèce : «La Consolation» a été composée dans sa prison par un condamné à mort. L'admiration que cette œuvre latine du VIe siècle a suscitée sans interruption depuis ne doit pourtant rien, ou peu de chose, aux circonstances vraiment tragiques de sa composition. C'est un chef-d’œuvre à la fois de la littérature et de la pensée européennes ; il se suffit ; il resterait tel, même si nous ignorions tout de celui qui l'a conçu entre deux séances de torture, dans l'attente de son exécution. Mais puisque ce chef-d’œuvre n'est pas anonyme, il ne perd rien non plus à être replacé dans ses circonstances : il devient aussi le témoignage de la grandeur à laquelle un homme peut s'élever par la pensée, face à la tyrannie et à la mort. (Marc Fumaroli)

4ème de couverture de la réédition (2022) par Peeters : Bien que la Consolation de Philosophie de Boèce, l'un des textes les plus lus durant tout le Moyen Âge, soit aussi l'un des plus traduits et des plus glosés, surtout en français, depuis deux siècles environ, nous avons voulu en varier l'approche, à la fois quant au vécu et à la démarche intellectuelle de l'auteur, ainsi que quant à sa place dans l'histoire de la pensée philosophique, littéraire et théologique. C'est tout particulièrement le cas sur le plan de l'expression, puisque pour la première fois la métrique boécienne s'y trouve serrée d'aussi près, traitée avec autant de précision et rendue avec autant de rigueur. La préface du volume entreprend par ailleurs d'accéder à l'ouvrage par un angle original. Enfin, une bibliographie cumulant le rétrospectif et le prospectif, sinon exhaustive du moins très fouillée, permettra au lecteur exigeant de confronter, de prolonger et de diversifier nos recherches. Citons, pour compléter, ce texte de Marc Fumaroli quant à La Consolation de Boèce : «La Consolation» a été composée dans sa prison par un condamné à mort. L'admiration que cette œuvre latine du VIe siècle a suscitée sans interruption depuis ne doit pourtant rien, ou peu de chose, aux circonstances vraiment tragiques de sa composition. C'est un chef-d’œuvre à la fois de la littérature et de la pensée européennes ; il se suffit ; il resterait tel, même si nous ignorions tout de celui qui l'a conçu entre deux séances de torture, dans l'attente de son exécution. Mais puisque ce chef-d’œuvre n'est pas anonyme, il ne perd rien non plus à être replacé dans ses circonstances : il devient aussi le témoignage de la grandeur à laquelle un homme peut s'élever par la pensée, face à la tyrannie et à la mort. (Marc Fumaroli)

Le roman d'un tricheur, Faisons un rêve, La poison, Mon père avait raison, Le diable boiteux, Ceux de chez nous, Le mot de Cambronne et Donne-moi tes yeux : des films à voir ou à revoir, proposés en une belle rétrospective consacrée à ce dramaturge, cinéaste, metteur en scène, acteur et homme de théâtre que fut Sacha Guitry !

" On me demande souvent pourquoi j’ai voulu faire ce film-là. En dehors des petites réponses anecdotiques qui n’ont pas grande importance, je me suis aperçu que la seule raison que je pouvais donner, c’est : par nécessité. Les films que j’ai faits, j’ai senti un besoin impérieux de les faire. " Jean Eustache

Chez les Tachot, on est typos depuis sept générations… Ainsi, la vie se passe en trois temps : un temps où l’on apprend, un deuxième temps où l’on se sert de ce qu’on a appris pour vivre et un troisième temps où l’on doit restituer. J’en suis au troisième stade là, au stade de la restitution. Mais qu’est-ce que je peux transmettre, et à qui ? Toute la question est là. La tradition typographique, l’esprit du métier, ne sont plus transmissibles puisque le monde qui leur était rattaché est mort.

Chez les Tachot, on est typos depuis sept générations… Ainsi, la vie se passe en trois temps : un temps où l’on apprend, un deuxième temps où l’on se sert de ce qu’on a appris pour vivre et un troisième temps où l’on doit restituer. J’en suis au troisième stade là, au stade de la restitution. Mais qu’est-ce que je peux transmettre, et à qui ? Toute la question est là. La tradition typographique, l’esprit du métier, ne sont plus transmissibles puisque le monde qui leur était rattaché est mort.

Contribuez au développement de projets qui œuvrent pour le Bien Commun avec les experts du financement au service de la communauté chrétienne. Deux manières de faire bon usage de son argent, pour que l'argent reste un serviteur, en donnant ou en investissant.

Référence : https://www.marionlebec.fr/

Référence : https://www.marionlebec.fr/

En partenariat avec le cinéma Les Studios, avec le soutien de l’association Les Feux de la mer et de l’Agence pour le développement du cinéma en régions (A.D.R.C.), les paroisses du doyenné de Brest proposent un cycle de 6 films, sous le titre « L’image et l’esprit ». Chaque film est précédé d’une présentation par l’un des prêtres et suivi d’un échange avec la salle. « Un film peut être un moment de communion, de formation et d’éducation », comme l’a déclaré le pape François, « fenêtre ouverte sur le monde et miroir du cœur humain ». Dans cet esprit, de plus en plus de paroisses organisent ainsi des Festivals chrétiens du cinéma. Plus modestement, notre sélection souhaite permettre aux spectateurs – pas exclusivement les « cathos » d’ailleurs – tout en se divertissant, de réfléchir à des questions de société telle que la fin de vie et la responsabilité de l’homme quant à son prochain (Soleil vert), le ministère des prêtres avec ses risques (Léon Morin, prêtre, Nazarin), ou ses ambiguïtés (Sous le soleil de Satan), la résistance d’un croyant au mal absolu (Une vie cachée), l’émerveillement devant la beauté de la création et notre responsabilité pour sa préservation (Océans).

Après leur descente épique des hauts plateaux et de la côte ouest, nous retrouvons la famille Poussin aux portes du Grand Sud malgache et de ses déserts redoutés de tous. Ils y découvrent le peuple mahafaly et ses célèbres totems funéraires, les guerriers antandroy, ainsi qu'une nature sauvage et préservée où baobabs, cactus, tortues et lémuriens sont au rendez-vous. À Fort-Dauphin, ils passent d'un seul coup sur l'autre versant du pays, humide et luxuriant, doivent affronter la pluie, la boue, et se frayer un chemin sur la plus longue plage du monde, suspendue entre la fureur de l'océan Indien et le calme du canal des Pangalanes.À la lumière d'épreuves personnelles, ils donnent une tournure plus solidaire à leur voyage en soutenant de nombreux projets. Enfin, juste avant Tamatave, ils tombent sur la forêt de Vohibola, la dernière forêt primaire de la côte est : un trésor menacé qu'ils se mettent en tête de protéger.Près de 3 000 kilomètres de marche en famille au compteur, pour une aventure qui est avant tout celle du cœur. Références : https://madatrek.com/

Après leur descente épique des hauts plateaux et de la côte ouest, nous retrouvons la famille Poussin aux portes du Grand Sud malgache et de ses déserts redoutés de tous. Ils y découvrent le peuple mahafaly et ses célèbres totems funéraires, les guerriers antandroy, ainsi qu'une nature sauvage et préservée où baobabs, cactus, tortues et lémuriens sont au rendez-vous. À Fort-Dauphin, ils passent d'un seul coup sur l'autre versant du pays, humide et luxuriant, doivent affronter la pluie, la boue, et se frayer un chemin sur la plus longue plage du monde, suspendue entre la fureur de l'océan Indien et le calme du canal des Pangalanes.À la lumière d'épreuves personnelles, ils donnent une tournure plus solidaire à leur voyage en soutenant de nombreux projets. Enfin, juste avant Tamatave, ils tombent sur la forêt de Vohibola, la dernière forêt primaire de la côte est : un trésor menacé qu'ils se mettent en tête de protéger.Près de 3 000 kilomètres de marche en famille au compteur, pour une aventure qui est avant tout celle du cœur. Références : https://madatrek.com/

Une carrière de plus de sept mille concerts à travers le monde dont 540 aux États-Unis, cent albums enregistrés, cinq Grands Prix du Disque, plusieurs dizaines d’émissions télévisées : Paul Kuentz a toujours tenté de donner à son répertoire un caractère original, ce qui détermine également le choix des solistes?; ainsi, à côté de ses collaborateurs habituels (dont Monique Frasca-Colombier, violon solo, et Chantal Perrier-Layec, clavecin), de grands maîtres internationaux, parmi lesquels les harpistes Nicanor Zabaleta et Marie–Claire Jamet, les trompettistes Adolf Scherbaum, Maurice André, Éric Aubier, les organistes André Isoir, Marie-Claire Alain et son frère Olivier Alain, les flûtistes Jean–Pierre Rampal, Régis Manceau, les clavecinistes Huguette Dreyfus, les guitaristes Narciso Yepes et Alexandre Lagoya, les violonistes Henryk Szeryng et Arthur Grumiaux, les violoncellistes Mstislav Rostropovitch et Jean-Marie Gamard, ou encore l'altiste Jean-Philippe Brun et le violoniste Philippe Langlois… sont venus contribuer au succès de l’orchestre. Morceau final : Requiem opus 48 de Gabriel Fauré, interprété en juillet 1998 par le chœur et l'orchestre de Paul Kuentz avec Barbara Schlick et Philip Langshaw, à la mémoire de René Nicoly fondateur des Jeunesses Musicales de France.