Philosophia

Quand on parle d’art, certains pensent à des toiles suspendues dans un musée, bordées de dorures, d’autres imaginent des tôles entremêlées qu’on appelle art contemporain, ou une œuvre qui vaut des millions et pourtant on pressent que l’art est important et nous avons tous dans le cœur et la mémoire une ou des œuvres d’arts – une peinture, une architecture, une musique, une sculpture – qui nous touche et qui nous dépasse et qui vraisemblablement dit quelque chose de notre civilisation. Alors pourquoi l’art est-il important et de quoi parle-t-on quand on parle d’art ? Qu’est-ce qui est de l’art et qu’est-ce qui n’en n’est pas ? On fait le point avec le philosophe Pascal Mueller Jourdan

Travailler c’est trop dur comme le chantait Julien Clerc et c’est vrai que nous sommes dans une société dans laquelle l’équilibre loisir travail a fortement évolué depuis la seconde guerre mondiale. Les 35h en sont une éminente illustration, même s’il telle n’était pas l’intention de son auteur. Vous l’avez compris on va s’intéresser aujourd’hui au travail, essayer d’en comprendre la nature, les fondements, le rôle et se poser quelques questions, se demander si une société sans travail est une société qui a trouvé son point ultime de liberté ? Ou le travail est-il une aliénation ? Où est-il le lieu de la réalisation et de la dignité ? Le chômeur n'est-il alors pas digne ? Comme la personne handicapée ou âgée ? Travail : punition, libération, dignité, aliénation, nécessité, épanouissement ? on fait le tri avec l’aide d’un spécialiste de la philosophie ancienne, Pascal Mueller Jourdan

A quoi aspirons-nous tous, sans distinction, depuis que l’homme existe ? C’est facile. Au bonheur. On a tous envie d’être heureux. Mais tout dépend de ce qu’on appelle être heureux. Tout le monde ou presque rêverait de gagner au Loto. Et pourtant, on le sait bien, l’argent ne fait pas le bonheur. Mais qu’est-ce qui fait le bonheur justement ? Quelles sont les conditions de son existence ? Est-il possible sur cette terre ? Et dans l’au-delà à quoi ressemblerait-il ? Le bonheur, c’est le sujet que nous explorons aujourd’hui avec Pascal Mueller Jourdan

S’il est partagé par nombre de religions, de philosophies ou de sagesse, que l’âme est supérieure au corps, qu’elle ne mourra pas comme le corps qui lui est voué à la décomposition, il faut quand même souligner la particularité chrétienne de croire en la résurrection des corps. On est complètement ici dans le domaine de la foi et pourtant il est intéressant, avec notre petite raison, de se demander si ce corps, y compris quand il se délite et s’effrite en myriades de poussières, n’en revêt pas moins pour autant une certaine dignité, comme imprimé qu’il a été pendant tant d’années par l’âme qui l’a animé. Comment comprendre le corps dans son rapport à l’âme, comment comprendre ce qu’est un corps quand l’âme n’y est plus et comment comprendre que ce corps dont il ne semble rester plus rien puisse un jour rejoindre son âme, voilà un beau sujet à soumettre au spécialiste de philosophie ancienne Pascal Mueller Jourdan.

La nature est-elle au service de l’homme ? Quels droits l’homme a-t-il sur la nature si tant est qu’il en ait ? D’ailleurs n’en fait-il pas partie de cette nature ? Et la nature a-t-elle des droits sur l’homme ? Quels sont leurs droits et devoirs réciproque ? Et enfin, dans cette nature que l’on dit déréglée, l’homme en est-il le responsable ? Voilà un bon sujet sur lequel on va faire plancher notre philosophe Pascal Mueller-Jourdan.

La gourmandise est un péché capital, c’est bien connu. Mais entre nous, qui aujourd’hui s’en confesse encore ? Il est même de bon aloi de montrer qu’on a l’appétit des bonnes choses. Quand en plus ce sont des bons produits, bio et issus d’un circuit court, un bon gueuleton n’est-il pas dans l’ordre des bonnes choses ? Les Top chef et autre tous en cuisine trouvent un public qui se dit volontiers gourmand. Mais la gourmandise est pourtant un mot moralement connoté : être friand de bonne nourriture et de mets délicats est une chose, être avide de quantité et passionné des plaisirs du palais jusqu’à l’excès en est une autre. Je suis gourmand est-ce c’est mal, c’est ce que nous allons explorer aujourd’hui dans Philosophia.

Cette année est une année jubilaire pour l’Eglise catholique, une année de pèlerinage et de grâces et le pape François qui en est à l’origine a souhaité placer ce jubilé sous le thème de l’espérance. Alors on n’est peut-être pas dans une émission spirituelle ou théologique néanmoins c’est l’occasion pour nous de s’interroger sur ce qu’est l’espérance. Que veut dire espérer ? C'est attendre ? C'est un doute dont on souhaite une issue positive mais incertaine ? Est-ce au contraire une certitude dont l’heureux déroulement est inéluctable mais ce n’est qu’une question de temps ? Est-ce une illusion ? Est-ce un moteur ? Est-ce un mensonge ? Une façon de positiver contre les aléas malheureux de l'existence ? Est-ce une vertu ? Quelle différence entre espoir et espérance ? Voilà bien des questions auxquelles on attend avec impatience des réponses ou du moins des pistes de réflexions de Pascal Mueller Jourdan.

Il y a ceux qui ont du bol et ceux qui ont la poisse. Il y a des jours où tout semble bien s'enchaîner et d'autres où c'est la bérézina. Et plus largement il y a des choses qui semblent s'imposer à nous et d'autres où j'ai bien le sentiment d'exercer ma liberté. Dans quelle mesure suis-je déterminé, dans quelle mesure ne le suis-je pas ? C'est ce qu'on explore avec Pascal Mueller Jourdan professeur de philosophie ancienne à l'UCO.

Les chrétiens le savent. L'humilité est un pilier pour accéder au salut. L’Evangile est truffé d’invitation à fuir les premières places car le royaume des cieux appartient aux petits. Les premiers seront les derniers. Mais voilà une idée bien bizarre tout de même. Et bien étrangère à notre monde. Car nous le savons bien, ce qui est facture de réussite, aujourd’hui comme hier, c’est d’être populaire, de cumuler des vues sur instagram, de gagner de l’argent, d’être aux premières loges. Et le sommet de la réussite, est sans aucun doute d’être un chanteur à succès, un acteur reconnu, un sportif acclamé, un politicien au verbe bien huilé. A moindre échelle, nous préférons réussir qu’échouer, être reconnu plutôt que méprisé, être valorisé plutôt qu’oublié. Alors d’où vient cette idée de faire de l’humilité une des plus haute vertu qui mène à la perfection. On décrypte avec Pascal Mueller Jourdan professeur de philosophie ancienne à la catho d’Angers.

D'où vient que l'homme ait besoin de créer, d'innover dans l'art, la science ou la technologie ? Comment lui vient l'inspiration ? Avec Pascal Mueller Jourdan, professeur de philosophie ancienne à l'UCO,

Rire rend-il profondément joyeux ? La joie et le bonheur est-ce la même chose ? Qu’est-ce que la joie au fond ? Peut-on être joyeux quand on souffre ? Et le bonheur n’est-il pas l’absence de souffrance ? Nous avons tous envie d’être joyeux. Nous aimons rire. Mis est-ce cela le bonheur ? a
Avec Pascal Mueller Jourdan, professeur de philosophie ancienne à l'UCO.

Réfléchir sur le sens de notre de notre vie, sur le pourquoi de notre existence, notre vie en société, notre relation avec la nature, avec Dieu, avec les autres la réflexion sur ce que nous sommes, le corps, l'âme, le temps, le travail, etc. : c'est ça philosopher ! Mais à quoi ça sert ? Comment s'y prendre ? La philo pour les nuls c'est avec Pascal Mueller Jourdan, professeur de philosophie ancienne à l'UCO.

Comment agir de façon juste ? Comment donner à la droite raison le contrôle de notre vie ? Par la vertu nous dit Aristote. Explications avec Pascal Mueller Jourdan, professeur de Phiosophie ancienne à l'UCO