Patois RCF - page 2

Au bistro cette fois, l'histoire finit mal comme souvent, autour d'un jeu de cartes avec Albert, le curé, l'instituteur et Léa, la femme de l'Albert...

L'histoire de l'Auguste, ouvrier agricole à Banvillars dans le Territoire de Belfort.

Sur l'école, le médecin, le mariage, la vie quotidienne, le curé ou bien encore le juge...

En Patois cela se dit "les lôvres" et elles avaient de l'importance dans la vie du village. C'était un moment pour se retrouver ensemble, mais elles attiraient aussi des gens de l'extérieur, le ramoneur, des chiffoniers, et même des étrangers racontant leurs voyages et leurs exploits...

En Patois cela se dit "les lôvres" et elles avaient de l'importance dans la vie du village. On parle ici de ce que font les hommes (casser les noix,écosser les haricots, faire des paniers en osier...) et les femmes (tricoter, coudre, filer...) C'est là aussi qu'on se racontait des histoires et des nouvelles du village et des gens alentours...

Avec sept petites blagues : la troupe de théâtre, les pièces de monnaie à l'école, le chirurgien, la conjugaison à l'école, le bouledogue dans la rue, la violence au collège et les 6 mois de prison.

Des souvenirs mais pas que, l'histoire des cuisinières à bois leur fonctionnement, les avantages, les inconvénients, leur place au sein du foyer, etc.

Encore un texte de George Becker : quand plante-on les haricots ? Des querelles de personnes, et la paix qui revient grâce au garde champêtre. Le fameux.

Pour commencer un texte de George Becker et puis pour finir des blagues : la casserole carrée, la belle-mère, l'ivrogne...

Les voeux de la tante Madeleine pour la nouvelle année d'après un texte de Georges Becker : des voeux pour les hommes, les filles, les jeunes mariés, les enfants, les paysans, etc.

Aujourd'hui c'est une histoire drôle sur la fête partonale, plus particulièrement la messe, vue par les yeux d'un enfant : Alexis

Nous sommes à Banvillars c'est les vacances, la neige, la veillée de Noël, la messe de minuit à Bavillers, le retour, la fatigue, les gâteaux, etc.

Lecture d'un texte de Michel Freyburger, patoisant de Belfort sur les métiers d'autrefois dans les villages : le bistrot, le laitier à cheval, le maréchal ferrant, le scieur de bois, le fossoyeur...

Une histoire drôle du Chanoine Oeuvray (prêtre suisse, auteur patoisant), "Les moines capucins qui quêtent dans les villages..."

Un poème d'Abel Chapuis, patoisant suisse : l'histoire d'une jeune fille un peu "fofolle", suivi de "La demande en mariage des filles du père Colas".

Et voilà donc une histoire drôle d'un ivrogne, ruiné,qui se remarie. Que va t-il donc lui arriver ? Une histoire de Jean-Christ qui était originaire de Délémont, en Suisse.

L'église de Suarce bombardée en 1944 est détruite, et elle ne sera pas vraiment reconstruite mais une nouvelle église va voir le jour. De type Art Moderne, elle est dessinée par l'architecte Pierre Dumas (élève de Le Corbusier). L'église est inaugurée en 1971 et bénite par Mgr Lallier.

Un bien joli texte poétique sur le mois de septembre du temps où la rentrée des classes se faisait le 1er octobre. L'auteur du texte est François Busser, il le lit et le traduit en direct.

Retour sur la balade contée en Patois du 26 août dernier dans la commune de Suarce (Territoire de Belfort) avec à la clé une histoire drôle : celle de la Marie et de ses déboires avec le chien Tarzan acheté à prix d'or (à Paris!) pour chasser les voleurs de lapins !

A quelques jours des vacances scolaires...Une histoire amusante à l'école, autour de drôles de méthodes pédagogiques. Un texte lu et traduit en direct par François Busser, l'ancien président de l'Union des Patoisants en langue Romane. Une chronique présentée par Jean-Marie Bressot.