Notre héritage: Les géants de Vendée

Renée Bordereau, dite "Brave L'angevin" est une amazone de l'armée catholique et royale. Découvrez son histoire.

Jean-Baptiste Joly et Louis-François Charles Ripault de La Cathelinière sont deux chefs du Marais breton vendéen qui y exercent

une grande influence dans les premiers mois de l’insurrection vendéenne, quand Charette n’est encore qu’un chef peu influent.

Officier méconnu, François Lyrot La Patouillère est le commandant de la division du Loroux-Bottereau, dans le vignoble nantais,

qui joue un rôle majeur au sein de l’armée catholique et royale, jusqu’à la bataille de Savenay lors de la virée de Galerne, au cours de laquelle il est tué.

Jean-Nicolas Stofflet, natif de Lorraine, est garde-chasse au château Colbert à Maulévrier

lorsqu’éclate l’insurrection vendéenne de mars 1793. Comptant parmi les principaux chefs de l’armée catholique et royale,

Stofflet sera l’un des derniers à mener la lutte, jusqu’à son arrestation et son exécution le 25 février 1796 à Angers, peu

de temps avant celle de Charette, son grand rival.

Henri Forestier n’a que 18 ans quand la guerre de Vendée éclate en 1793. Il se distingue par son intrépidité et devient, malgré son jeune âge, commandant de la cavalerie vendéenne.

Ayant survécu au conflit, Forestier parcourt l’Europe en recherche de subsides pour relancer l’insurrection vendéenne, avant de mourir dans des circonstances obscures à Londres en 1806.

Jean-Nicolas Stofflet, natif de Lorraine, est garde-chasse au château Colbert à Maulévrier

lorsqu’éclate l’insurrection vendéenne de mars 1793. Comptant parmi les principaux chefs de l’armée catholique et royale,

Stofflet sera l’un des derniers à mener la lutte, jusqu’à son arrestation et son exécution le 25 février 1796 à Angers, peu

de temps avant celle de Charette, son grand rival.

Parmi les chefs de la contre-révolution vendéenne, certains connaissent une carrière météorique, d'autres survivent bien au delà du conflit. Sapinaud de La Verrie, et son neveu, Sapinaud de la Rairie, représentent bien ces deux facettes. Le premier est un des combattants des premières heures des Guerres de Vendée, mais trouvera la mort au bout de quelques mois. Le second prendra sa suite, combattera au côté de Charette et survivra à la Révolution et l'Empire, devenant même l'un des premiers présidents du conseil général de la Vendée.

Peu de chefs des Guerres de Vendée possèdent l'aura de François Athanase Charette de La Contrie. Né près de Nantes, marin vétéran de la Guerre de l'Indépendance en Amérique, il s'affirme comme un leader à part dans l'insurrection vendéenne de 1793. Volontier indépendant, pratiquant assidu de la guerilla, il lutte pendant trois ans contre l'armée républicaine. Dans cette série qui fait son portrait, nous revenons sur les hauts faits de ce général plus qu'emblématique de cette période.

Peu de chefs des Guerres de Vendée possèdent l'aura de François Athanase Charette de La Contrie. Né près de Nantes, marin vétéran de la Guerre de l'Indépendance en Amérique, il s'affirme comme un leader à part dans l'insurrection vendéenne de 1793. Volontier indépendant, pratiquant assidu de la guerilla, il lutte pendant trois ans contre l'armée républicaine. Dans cette série qui fait son portrait, nous revenons sur les hauts faits de ce général plus qu'emblématique de cette période.

Figure moins connue que Charette dans notre département, Jacques Cathelineau est cependant une des figures les plus remarquables des chefs révoltés des Guerres de Vendée. Notable local devenu grand chef de l'Armée Catholique et Royale, il laisse une trace courte mais profonde dans l'histoire de cette insurrection. Michel Chamard, l'auteur du livre "La Vendée pour les nuls", nous en fait le portrait.

Une Source d'inspiration de mouvements similaires à travers le monde dès la fin du 18ème jusqu'au début des années 30.

Entre lutte des mémoires et mémoricides, comment cette mémoire vendéenne c'est -elle perpétuée jusqu'à nos jours.