Mélophonie

Cette semaine dans Mélophonie sur RCF Notre-Dame, on vous met l’eau à la bouche avec des chansons qui mijotent entre humour, sensualité et gourmandise.
De Juliette Gréco à Bénabar, en passant par Nino Ferrer et les Beatles, la cuisine devient tour à tour poétique, populaire et sucrée.
Un menu musical à déguster sans modération

Loin des clichés acidulés des années 80, cette sélection vous propose une traversée élégante et intime de la décennie. Kate Bush, France Gall, Jean-Jacques Goldman ou encore les Rita Mitsouko y dessinent une époque sensible, inventive, et plus sobre qu’on ne le croit. Une autre bande-son des 80s.

En cette période hivernale où les jours se raccourcissent, nous aborderons le thème de la nuit à travers trois titres distincts, ayant en commun la nuit et la lune, qui seront évoqués en toute fin d’émission.

Du chaos joyeux de leurs premiers riffs à la conscience écologique de leurs derniers titres, Shaka Ponk a bousculé la scène française pendant deux décennies. Cette émission revient sur leur trajectoire fulgurante à travers quatre morceaux emblématiques. Saviez-vous que leur deuxième album s’intitule Bad Porn Movie Trax en clin d’œil à une critique berlinoise ? Découvrez pourquoi…

Spéciale Halloween cette semaine dans Mélophonie, avec des titres qui célèbrent la fête des ombres et des créatures surnaturelles. De Thriller de Michael Jackson au Bal des vampires de Nicoletta, en passant par Les loups-garous de Thomas Fersen et Halloween de Jean-Patrick Capdevielle, autant de chansons qui offrent une vision entre frissons et humour décalé.

Savage Garden rêve de vivre “comme les animaux”. Les Rolling Stones refusent de devenir une “bête de somme”. Et Zaz tremble, fragile, “comme une bête blessée”. Dans ces chansons, l’animal n’est pas sauvage : il est intérieur. Il dit l’amour quand il fatigue, la peur quand elle bloque la parole, ou l’instinct qui reprend le dessus. Une émission sur ce qu’on ressent sans toujours savoir le dire.

Pierre-François Blanchard et Thomas Savy seront au Solar ce dimanche 19 octobre dans le cadre du Rhino Jazz. Présentation du duo au micro d'Edouard Vandeventer

Melophonie vous invite cette semaine à fêter l'arrivée de l'automne avec 3 titres incontournables.

Mélophonie célèbre l’automne en chansons cette semaine. De la folk douce-amère de Simon & Garfunkel à la poésie de Francis Cabrel, en passant par l’élan romantique de Tété et la nostalgie solaire de Joe Dassin, cette émission explore les couleurs musicales de la saison. Une promenade au cœur des feuilles qui tombent, des souvenirs qui reviennent et des émotions à fleur de peau.
À écouter au chaud, avec une tasse de thé.

Playlist :
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- Leaves That Are Green, Simon & Garfunkel (1966)

-Octobre, Francis Cabrel (1994)

-À la faveur de l’automne, Tété (2003)

-L’Été indien, Joe Dassin (1975)

Mélophonie célèbre l’automne en chansons cette semaine. De la folk douce-amère de Simon & Garfunkel à la poésie de Francis Cabrel, en passant par l’élan romantique de Tété et la nostalgie solaire de Joe Dassin, cette émission explore les couleurs musicales de la saison. Une promenade au cœur des feuilles qui tombent, des souvenirs qui reviennent et des émotions à fleur de peau.
À écouter au chaud, avec une tasse de thé.

L'artiste Rodolphe Lauretta évoque son goût pour le saxophone et son style, qu'il a un peu malgré lui étiqueté en "futur jazz-créole". Il sera à la Fouillouse samedi 4 octobre à 20h30 à la salle polyvalente dans le cadre du festival Rhino Jazz

Pour cette deuxième émission de la saison, Mélophonie vous emmène cette semaine au cœur de l’or rouge et des vendanges.
Du Sud-Ouest de Marcel Amont à l’Italie populaire de Fabrizio De Andrè, en passant par les amours d’été de Marie Laforêt, la musique célèbre la vigne, le vin, le travail et la passion.
Un petit verre de poésie et de chanson, à déguster à l’ombre des tonnelles ou sous les feuilles d’automne.

Playlist :
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-Camarade vigneron – Marcel Amont (1980)

-La città vecchia – Fabrizio De Andrè (1966)

-Les vendanges de l’amour – Marie Laforêt (1963)

-Summer Wine – Nancy Sinatra & Lee Hazlewood (1967)

De “La Vida Es Un Carnaval” à une version salsa de “Despacito”, cette émission vous emmène au cœur de la musique latino. Entre rythmes festifs et récits d’exil, découvrez comment la salsa, le reggaeton ou la pop racontent bien plus que la fête : une histoire, des combats ou des racines.

Mélophonie vous invite aujourd’hui à redécouvrir des titres évoquant la fin de l’été. Au programme, Nino Ferrer ainsi que la jeune génération avec la voix d’Adèle et une reprise d’un titre mythique de Brigitte Bardot, sans oublier le duo John Travolta et Olivia Newton-John et un extrait de la comédie musicale « Grease ».

Pour la première émission de la saison, Mélophonie vous emmène sur les chemins de l’école en chansons.
Alain Souchon, Chuck Berry, Maxime Le Forestier, Carlos… tous racontent à leur manière la rentrée, les souvenirs d’enfance ou l’univers de la classe. Une émission tendre et nostalgique cette semaine.

Playlist :
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-Alain Souchon – J’ai dix ans (1974)

-Chuck Berry – School Day (1957)

-Maxime Le Forestier – La Maîtresse d’école (1996)

-Carlos – La Cantine (1972)

Un air de vacances souffle sur Mélophonie. Dans cette émission ensoleillée, on vous emmène, cette semaine, au bord de la mer, entre bains dans la Grande Bleue, crème solaire et amours de saison. Des classiques nostalgiques aux refrains espiègles, ces chansons ont le goût salé des souvenirs d’été. Installez-vous sur votre serviette, ouvrez grand les oreilles… et laissez-vous porter.

Quand la pop flirte avec le classique...



Dans cet épisode de Mélophonie, Clément Bonsignore nous propose un voyage sonore inattendu : celui de la musique classique qui s’invite dans la pop, le rock ou le rap.
De Walter Murphy à Muse, de Gainsbourg à Nas, des airs centenaires ressurgissent là où on ne les attend pas.

Une plongée entre clins d’œil assumés, arrangements baroques et citations inattendues…

Il y a les chansons qu’on adore.
Et celles que les artistes ne supportent plus.
Dans cet épisode de Mélophonie, on écoute ces morceaux devenus des fardeaux pour leurs propres interprètes.