Lyriquement vôtre RCF - page 2

Selon ses propres dires, Offenbach aurait composé plus d'une centaine d'oeuvres lyriques. Il a réservé le terme d'opérette ou d'opérette-bouffe pour certaines de ses oeuvres en 1 seul acte, et en réservant le terme opéra-bouffe pour ses oeuvres plus longues. Ce n'est qu'avec le développement ultérieur du genre "opérette" à Vienne en 1870 que le terme français opérette commence à être utilisé pour des oeuvres de plus d'un acte. Offenbach a également utilisé le terme d'opéra-comique pour au moins 24 de ses oeuvres en un deux ou trois actes.

Il a bousculé les mentalités du 19 ième siècle et n'a rien moins que révolutionné l'opéra comique. Pourtant tout prédisposait le jeune Offenbach à une carrière tranquille. Il a préféré se moquer de son époque et la marquer à jamais. c'est ce que nous allons entendre durant les trois semaines à venir. Les 2 premières émissions sont entièrement consacrées à sa vie quant à la 3ième elle présentera la " vie parisienne".

Aujourd'hui, nous allons jouer à "l'opéra mystère". La règle en est fort simple. A vous de découvrir le nom de l'opéra et de son compositeur après avoir écouté 1 voire 2 extraits de la pièce. La réponse est donnée à la suite des musiques. Rien de compliqué et maintenant à vous, écoutez bien !

Aujourd(hui, nous allons jouer à "l'opéra mystère". La règle en est fort simple. A vous de découvrir le nom de l'opéra et de son compositeur après avoir écouté 1 voire 2 extraits de la pièce. La réponse est donnée à la suite des musiques. Rien de compliqué et maintenant à vous, écoutez bien !

Aujourd'hui, troisième émission concernant le 150e anniversaire de la création de Carmen de G. Bizet, à partir de l'article de Franck Ferrand dans Historia de mars 2025. Créé le 3 mars 1875 à l'Opéra Comique sous la direction d'Adolphe Deloffre, l'opéra ne rencontra pas le succès escompté. Ceci affecta énormément le compositeur. Le succès ne viendra qu'à partir du 2 janvier 1878 grâce à l'interprétation à Bruxelles. Ce 3e épisode pourrait avoir pour titre "création de l'opéra et chute de G. Bizet".

Aujourd'hui poursuivons notre parcours avec G.Bizet et les 150 ans de la création de Carmen, à travers un article de Franck Ferrand paru dans Historia de mars 2025. À la différence de Mérimée, Bizet choisit de faire de Carmen le personnage principal de cette histoire, à contre-pied du carcan moral qui s'abat sur son époque. Cette seconde émission pourrait avoir comme titre : "Bizet au travail de son opéra".

Carmen, opéra de G. Bizet a fêté ses 150 ans le 3 mars 2025. Pendant 3 semaines Lyriquement Votre va revenir sur l'histoire de la création de cet opéra à travers un article de Franck Ferrand paru dans Historia de mars 2025. Ce premier épisode pouurait avoir pour titre " le choix du livret".

Bellini composa son dernier opéra en neuf mois, alors qu'il était installé en France, à Puteaux, d'avril 1834 à janvier 1835. Une gestation d'une telle durée était extraordinairement longue pour l'époque. Durant cette période, la dramaturgie subit des transformations radicales et le compositeur guida pas à pas le travail du librettiste inexpérimenté. Initialement structurée en deux actes, l'opéra fut redivisé en trois actes peu avant la première représentation.

Le dernier opéra de Vincenzo Bellini "lLes Puritains" est l'un des rares opéras du compositeur avec "Norma" et "La sonnambula" qui soit encore régulièrement à l'affiche des grandes maisons d'opéra et ce malgrès deux grands handicaps. D'abord la faiblesse insigne du livret, plein d'incohérences et ensuite la difficulté pour présenter un quatuor vocal de qualité exeptionnelle capable d'assurer les quatre rôles principaux parmi les plus difficiles du répertoire belcantiste.

Souvent cité comme le plus grand et le plus populaire chanteur d'opéra depuis Enrico Caruso, il chante les plus grandsairs du bel cantop, notamment Verdi et Puccini. Il collabore avec les artistes venus de divers univers musicaux lors de concerts à but humanitaire. En plus de quarante ans de carrière, il a contribué à populariser la musique classique au cours de nombreux concerts télévisés, particulièrement lors des séries de représentations des "trois ténors" (avec Placido Domingo et José Carreras).

Un timbre solaire et unique, telle était la voix de Luciano Pavarotti, l'un des plus grands ténors de tois les temps. En un peu plus de trente ans de carrière, entre l'intimité des salles de concert et le gigantisme des stades, Pavarotti a marqué l'histoire de l'opéra, il a mis le chant lyrique à la portée du plus grand nombre.

Parisien obstiné n'ayant "jamais eu le temps" de se promener hors de la capitale, épicurien, galant plus que passionné, Daniel-François-Esprit Auber fut un musicien invariablement aimé et promu par ses contemporains au rang de grand maître en raison de ses succès. Il conserva dans l'extrême vieillesse une fine intelligence et un verbe aimable, il avait coutume de dire avec humour : "si j'assistais à un de mes ouvrages, je n'écrirais de ma vie aucune note de musique".

Daniel-François-Esprit Auber, né le 29 janvier 1792 à Caen, mort le 12 mai à Paris est un compositeur français. S'il s'inspira à ses débuts de Gioachino Rossini, il perpétua surtout la tradition de l'opéra-comique français dans la lignée de François-Adrien Boieldieu. Avec Jacques Fromental Halévy, il servit à son tour de modèle à Richard Wagner lorsque celui-ci écrivit Rienzi.

"Cosi Fan Tutte" est un "opera buffa" en deux actes de Wolfgang Amadeus Mozart sur un livret en italien de Lorenzo Da Ponte, créé le 26 janvier 1790 au théâtre de Vienne. Il marque la troisième et derniere collaboration entre Mozart et Da Ponte après les "Noces de Figaro" et "Don Giovanni". L'opéra a été très applaudi lors de la première pésentation ; cependant le décès de Joseph II le 20 Février 1790 entraîna la fermeture des théatres pour deuil nationnal. A la réouverture des salles "Cosi Fan tutte" était presque oublié.

Farce invraissemblable, fable philosophique sur l'amour, tragi-comédie romantique et désespérée, "Cosi fan tutte" est tout cela... voire plus ! Après avoir emprunté à Beaumarché le sujet des "Noces de Figaro" et à Molière celui de "Don Giovanni", Mozart et son librettiste Lorenzo Da Ponte imaginent un sujet original, dont on a longtemps affirmé qu'il avait été soufflé par l'empereur Joseph II lui-même, sur les bases d'une histoire viennoise réellement vécue.

Aujourd(hui, nous allons jouer à "l'opéra mystère". La règle en est fort simple. A vous de découvrir le nom de l'opéra et de son compositeur après avoir écouté 1 voire 2 extraits de la pièce. La réponse est donnée à la suite des musiques. Rien de compliqué et maintenant à vous, écoutez bien !

Dans la France du XIX ième siècle, une poignée d'hommes ont la mainmise sur les succès et les échecc de la scène lyrique et théâtrale ; Il s'agit de "la claque" dont les faits remontent à l'empire romain : Néron payait des spectateurs pour applaudire ses interventions publiques. Avec cette troisième émission, nous allons découvrir les aspects et règles de la claque "moderne" plus que jamais présente.

Nous poursuivons nos émissions consacrées à la claque à l'opéra et au théâtre. L'origine remonterait à l'empire romain où Néron payait des spectateurs pour applaudir ses apparitions sur scène. La claque se systématise dans les théâtres et opéras, au XIXe siècle surtout en France et en Italie. Le procédé est connu de tous. Et c'est cette histoire que nous reprenons aujourd'hui.

Dans la France du XIXe siècle, une poignée d'hommes ont la mainmise sur les succès ou les échecs de la scène lyrique et théâtrale. Réunis dans des phalanges aux aguets, ceux que l'on appelle les "claqueurs" sont capable d'abattre un chef-d'oeuvre d'un coup de griffe ou de couronner une pièce bancale. Retour sur les origines et les mécanismes d'une pratique mafieuse érigée en un système institiutionnalisé.

Aujourd'hui, nous allons jouer à "L'opéra mystère". La règle en est très simple, à vous de découvrir le nom de l'opéra et de son compositeur après avoir écouté 1, 2 voire 3 extraits. La réponse vous est donnée à la suite de ces extraits. Rien de complexe, maintenant, à vous de jouer, place à la musique.