L'Hérault dans l'Histoire - page 2

Il y eut naguère un triangle d’or de la chanson française entre Pézenas avec Boby Lapointe – Sète avec Georges Brassens et Narbonne avec Charles Trenet. Chacun par sa mélodie a marqué les années de l’après-guerre, connut bien des succès. Ils se sont connus, un peu fréquentés surtout à Paris et ont ravis notre écoute, ils restent gravés dans nos mémoires. Retenons les deux derniers de vrais héraultais.

Découvrons avec notre thème de ce mois : "la peinture", des grands talents dont les œuvres sont exposées au musée Fabre : Frédéric Bazille, Alexandre Cabanel et François-Xavier Fabre.

Montpellier est la plus grande et ancienne faculté de médecine d’Europe toujours en activité et qui a fourni à la science de grands praticiens et d’éminents chirurgiens : Arnaud de Villeneuve – Guy de Chauliac – François de Lapeyronie.

Régis de Cambacérès a traversé sereinement les temps troublés de la Révolution, puis après avoir rencontré Bonaparte a porté haut durant tout l’Empire son sens de la justice française, qu’il a transformé de fond en comble, pour lui donner son image actuelle. Ambitieux pour la bonne cause, le second consul a reçu gloire et décorations et le beau titre d’archi-chancelier de l’empire qui a fait de lui le second personnage de l’Etat.

Cette semaine, nous nous intéressons à trois destins d’inventeurs, originaires du Languedoc, exceptionnels à plus d’un titre, chacun dans son genre. Le premier Antoine-Jérôme Balard, enfant de Figuerolles, qui isole le brome et développe la photographie et dont le nom est honoré à Paris, le second, Jean Balladur, créateur du paysage exceptionnel de la Grande Motte et le dernier enfin Louis Feuillade à qui le cinéma doit énormément.