La suite de l'Histoire RCF - page 19

Un mystère, une énigme. C'est par ces mots qu'est le plus souvent qualifiée l'expédition que mena Jean François de Galaup, comte de La Pérouse, à la fin du XVIIIe siècle. Partie de Brest en 1785, cette expédition maritime, qui compte parmi les plus illustres de notre histoire, est célèbre pour son tragique naufrage au large de Vanikoro, dans le Pacifique. Passionné d'histoire et de voyages, Bernard Jimenez a entrepris, avec son épouse Françoise, de se rendre là où les frégates ont fait escale tout au long de cette aventure, il y a plus de 200 ans. Il est l'auteur de "L'expédition Lapérouse" (éd. Glénat).

Un mystère, une énigme. C'est par ces mots qu'est le plus souvent qualifiée l'expédition que mena Jean François de Galaup, comte de La Pérouse, à la fin du XVIIIe siècle. Partie de Brest en 1785, cette expédition maritime, qui compte parmi les plus illustres de notre histoire, est célèbre pour son tragique naufrage au large de Vanikoro, dans le Pacifique. Passionné d'histoire et de voyages, Bernard Jimenez a entrepris, avec son épouse Françoise, de se rendre là où les frégates ont fait escale tout au long de cette aventure, il y a plus de 200 ans. Il est l'auteur de "L'expédition Lapérouse" (éd. Glénat).

Un mystère, une énigme. C'est par ces mots qu'est le plus souvent qualifiée l'expédition que mena Jean François de Galaup, comte de La Pérouse, à la fin du XVIIIe siècle. Partie de Brest en 1785, cette expédition maritime, qui compte parmi les plus illustres de notre histoire, est célèbre pour son tragique naufrage au large de Vanikoro, dans le Pacifique. Passionné d'histoire et de voyages, Bernard Jimenez a entrepris, avec son épouse Françoise, de se rendre là où les frégates ont fait escale tout au long de cette aventure, il y a plus de 200 ans. Il est l'auteur de "L'expédition Lapérouse" (éd. Glénat).

La nuit, la perception de ce qui nous entoure est perturbée et nous fait sentir vulnérables. Mais l’étudier du côté de l’histoire conduit à découvrir un monde moins obscur qu’il n’y parait.

La nuit, la perception de ce qui nous entoure est perturbée et nous fait sentir vulnérables. Mais l’étudier du côté de l’histoire conduit à découvrir un monde moins obscur qu’il n’y parait.

La nuit, la perception de ce qui nous entoure est perturbée et nous fait sentir vulnérables. Mais l’étudier du côté de l’histoire conduit à découvrir un monde moins obscur qu’il n’y parait.

La nuit, la perception de ce qui nous entoure est perturbée et nous fait sentir vulnérables. Mais l’étudier du côté de l’histoire conduit à découvrir un monde moins obscur qu’il n’y parait.

La nuit, la perception de ce qui nous entoure est perturbée et nous fait sentir vulnérables. Mais l’étudier du côté de l’histoire conduit à découvrir un monde moins obscur qu’il n’y parait.

L’imaginaire développé autour de la préhistoire est plein d’aberrations et de contresens. Or, les connaissances et moyens scientifiques actuels permettent d’établir quelques vérités. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit Jean-Paul Demoule, archéologue et professeur émérite de protohistoire européenne à l’université de Paris-1. Il publie "La Préhistoire en 100 questions" (éd. Tallandier).

Depuis longtemps la place des femmes dans l’Eglise suscite des questions et des polémiques. Mais dans un contexte sociétal qui évolue très rapidement, elle est devenue inévitable.

Depuis longtemps la place des femmes dans l’Eglise suscite des questions et des polémiques. Mais dans un contexte sociétal qui évolue très rapidement, elle est devenue inévitable.

Depuis longtemps la place des femmes dans l’Eglise suscite des questions et des polémiques. Mais dans un contexte sociétal qui évolue très rapidement, elle est devenue inévitable.

Depuis longtemps la place des femmes dans l’Eglise suscite des questions et des polémiques. Mais dans un contexte sociétal qui évolue très rapidement, elle est devenue inévitable.

Depuis longtemps la place des femmes dans l’Eglise suscite des questions et des polémiques. Mais dans un contexte sociétal qui évolue très rapidement, elle est devenue inévitable.

Jusqu'en 2015, elle détenait le record du règne le plus long de toute l'histoire du Royaume-Uni, avec 63 ans et sept mois. La reine Victoria est morte il y a 120 ans. Son nom résume à lui seul une période phare de l'histoire de l'Angleterre. Spécialiste de l'ère victorienne, Neil Davie est professeur de Civilisation britannique à l'Université Lumière-Lyon 2. Invité de Véronique Alzieu, il dresse le portrait d'une figure aujourd'hui encore mondialement célèbre.

Jusqu'en 2015, elle détenait le record du règne le plus long de toute l'histoire du Royaume-Uni, avec 63 ans et sept mois. La reine Victoria est morte il y a 120 ans. Son nom résume à lui seul une période phare de l'histoire de l'Angleterre. Spécialiste de l'ère victorienne, Neil Davie est professeur de Civilisation britannique à l'Université Lumière-Lyon 2. Invité de Véronique Alzieu, il dresse le portrait d'une figure aujourd'hui encore mondialement célèbre.

Jusqu'en 2015, elle détenait le record du règne le plus long de toute l'histoire du Royaume-Uni, avec 63 ans et sept mois. La reine Victoria est morte il y a 120 ans. Son nom résume à lui seul une période phare de l'histoire de l'Angleterre. Spécialiste de l'ère victorienne, Neil Davie est professeur de Civilisation britannique à l'Université Lumière-Lyon 2. Invité de Véronique Alzieu, il dresse le portrait d'une figure aujourd'hui encore mondialement célèbre.

Jusqu'en 2015, elle détenait le record du règne le plus long de toute l'histoire du Royaume-Uni, avec 63 ans et sept mois. La reine Victoria est morte il y a 120 ans. Son nom résume à lui seul une période phare de l'histoire de l'Angleterre. Spécialiste de l'ère victorienne, Neil Davie est professeur de Civilisation britannique à l'Université Lumière-Lyon 2. Invité de Véronique Alzieu, il dresse le portrait d'une figure aujourd'hui encore mondialement célèbre.

Jusqu'en 2015, elle détenait le record du règne le plus long de toute l'histoire du Royaume-Uni, avec 63 ans et sept mois. La reine Victoria est morte il y a 120 ans. Son nom résume à lui seul une période phare de l'histoire de l'Angleterre. Spécialiste de l'ère victorienne, Neil Davie est professeur de Civilisation britannique à l'Université Lumière-Lyon 2. Invité de Véronique Alzieu, il dresse le portrait d'une figure aujourd'hui encore mondialement célèbre.

En octobre 1981 une loi portée par Robert Badinter abolit la peine de mort en France. C’est la victoire du combat abolitionniste qui œuvrait depuis des siècles dans la société française.