Jazz Time - page 2

Pour nous présenter la programmation riche et variée de la 20ème édition de cet institution du Jazz en Moselle, Gérard Jacquemin accueille Patrice Winzenrieth, fondateur et directeur artistique du Marly Jazz Festival.

On a encore envie de l'écouter chanter même longtemps aprés sa disparition et un siècle après sa naissance. Parce qu'elle a croisé tant de musiciens de jazz historiques, et qu'elle a su choisir son repertoire avec une forme d'équilibre et de permanence.
Mieux qu'une biographie, Gérard Jacquemin nous fait écouter les plus belles interprétations de la divine Sarah Vaughn.

Sa musique est celle d'une des voix majeure de l'histoire du Jazz. On pretend qu'avec le temps il s'est appaisé mais rien n'est moins sûr quand on l'écoute... Nous partons aujourd'hui à la rencontre (ou peut-être à la découverte) du saxophoniste et flûtiste Charles LLOYD.

Cette semaine, Gérard Jacquemin nous emmène en balade musicale avec des mucisiens de jazz, une thérapie sans danger pour oublier pendant quelques minutes les évènements d'une actualité désespérante...

Pour ce numéro spécial de Jazz Time, Gérard Jacquemin s'est rendu dans la boutique Punk Records, disquaire indépendant à Nancy, le repère des amoureux du disque vynile dont la fête annuelle "Le Disquaire Day" aura lieu le samedi 20 avril partout sur la planète. Rencontre avec Francis Kraemer, un disquaire passionné et passionnant.

Trompettiste de talent, ouvert a tous les genres de musiques, que ce soit au consevaoire de Commercy ou sur scene avec ses nombreuses collaborations, Stéphane Garaffi est un musicien total.

Parmi ses nombreux projets, le festival "Jazz à Commercy" à l'arrêt depuis 2007, que Stéphane Garaffi a souhaité relancer avec l'aide d'Emmanuelle Germain et l'association OMA Commercy.
Rendez-vous les 19 et 20 avril prochains au Cinéma Truffaut de Commercy avec Mental Palace et le Damien Prud'homme Medium Ensemble.

Informations et réservations sur www.omacommercy.fr

Il y a le prix Goncourt, le Prix Nobel, le prix Pulitzer, Les Golden Globe, les Césars, les Oscars... mais il y a aussi les prix de l'Académie du Jazz. Gérard Jacquemin nous en dévoile le palmarès 2023 dans cette nouvelle émission Jazz Time.

"Celui qui n'avance pas recule"... c'est ce qu'ont du se dire Mickaël Cuvillon et Patrice Lerech, deux musiciens de jazz lorrains, respectivement saxophoniste et trompettiste, à l'origine d'un projet musical et scénique ambitieux : s'associer à une autre paire de jazzmen de renom - André Charlier (batterie/percussion) et Benoît Sourisse (piano/orgue) - et enregistrer un album live lors de deux concerts, les 29 et 30 mars prochains au café/théâtre Georges Brassens d'Épinal.
De quoi aiguiser la curiosité de Gérard Jacquemin dans ce nouveau numéro de Jazz Time.

Quand quatre saxophonistres lorrains forment un groupe baptisé Hypersax Et l'Art Trouvé, et qu'il proposent un jazz vivant, original, dynamique et joyeux, c'est l'occasion rêvée pour Gérard Jacquemin de les inviter tous les quatre avec leur instrument, et d'interpréter en live quelques titres de leur repertoire dans cette émission spéciale Jazz Time.

Hypersax Et l'Art Trouvé :
- Régis Vidal : baryton
- Damien Prud'Homme : alto
- Nicolas Tuaillon : alto
- Nicolas Gégout : ténor

Titres interpétés :
1. "O.P. (Oscar Petitford)" de Charles Mingus
2. "Opus 4" de Charles Mingus
3. "L'Albatros" de Nicolas Gégout
4. "Mouge" de Damien Prud'homme

Les femmes musiciennes ont longtemps été victimes de différentes formes de discriminations. Dans le dernier ouvrage d'Anne Coste au titre volontairement provocateur "Les femmes musiciennes sont dangereuses", l'auteure dresse le portrait de musiciennes exemplaires parmi lesquelles des femmes de jazz à célébrer en musique, à quelques jours du 8 mars, journée internationale des droits des femmes...

En duo, trio, quartet, big band, et par le phrasé des voix... c'est toute l'irremplaçable diversité de la musique de jazz qui s'invite aujourd'hui dans le panorama de Jazz Time.

Gérard Jacquemin a parcouru pour vous les derniers numéros de Jazz Mag et Jazz Wise de ce mois de février.

Un lieu atypique dédié au Jazz vient de réouvrir ses écoutilles à Nancy : sur le quai Sainte-Catherine, portée par les eaux du canal, la péniche Niagara et sa programmation musicale remettent le Jazz sur le devant de la scène musicale nancéenne, grâce à son propriétaire Francis Nicolas, passionné de musiques vivantes, qui souhaite redorer le blason de ce style musical.
Parmi les artistes prochainement à l'affiche du Jazz Club Niagara, le collectif Hot Guys Stompers, le jeudi 22 février à 20h(https://www.niagara.eu/), représenté aujourd'hui par Pierre Rebout (trombone) et Nicolas Gégout (saxophone).

Francis NIcolas et les Hot Guy Stompers sont les invités de Gérard Jacquemin dans cette nouvelle émission Jazz Time.

Quand un rockeur reconnaît sa dette à des musiciens de jazz dans sa discothèque idéale, on partage ses affinités et on se fait plaisir avec Eddy Mitchell en réécoutant ces interprètes qui l'ont influencé.

Dans le panorama des dernières parutions Jazz, Gérard Jacquemin a notamment retenu : "Continuance" du pianiste virtuose Joey Alexander,"Crianças - The Music of Wayne Shorter" du saxophoniste français Julien Lourau, "Seetu" la nouvelle pépite d'African Jazz Roots, "Timba a la Amercana" d'Harold Lopez-Nussa, et "Lo Swar" fruit de la collaboration entre les Space Galvachers et le chanteur réunionnais Olivyé.

En ce début d'année 2024, Gérard Jacquemin vous propose de repartir 30 années en arrière, en 1994, pour une rétrospective des actualités de l'époque sur la planète Jazz.

Dizzie Gillepsie, Charlie Parker, Bud Powell, Max Roach et Charles Mingus forment le quintet de l'année en 1953 lors d'un concert au Massey Hall de Toronto considéré par tous les amateurs de Jazz comme le plus grand concert de tous les temps ! Retour sur cette soirée épique avec Gérard Jacquemin.

Au programme des nouveautés jazz selectionnées par Gérard Jacquemin : "Le temps virtuose" de la saxophoniste Sophie Alour, "Clap" du trompettiste Erik Truffaz, la chanteuse Anne Ducros qui fait son cinéma, et le duo guitare/piano "Storyboard" de Gwen Cahue et Baptiste Bailly... une émission Jazz Time placée sous le signe du 7ème art !

Née à Londres en 1913, dans la branche anglaise de la famille Rothschild, la baronne Pannonica de Koenigswarter - surnommée Nica - connut très tôt une passion sans limites pour le jazz. Elle fut l'amie intime et la confidente des plus grands jazzmen et leur vint en aide sans compter.
Avec son Polaroïd, elle photographia, le plus souvent chez elle, la plupart des musiciens : Dizzy Gillespie, Count Basie, Louis Armstrong, Duke Ellington, Lionel Hampton, Bud Powell, Sun Ra, Miles Davis, Charlie Mingus, Sonny Rollins et tant d'autres. Entre 1961 et 1966, elle leur posa cette question ingénue : " Si on t'accordait trois vœux qui devaient se réaliser sur-le-champ, que souhaiterais-tu ? " projetant de réunir leurs réponses souvent spontanées dans un livre. Ce livre, resté inédit à ce jour, le voici, réalisé d'après la maquette originale de Pannonica. Trois cents musiciens répondent à la question. Duke Ellington : " Mes vœux sont simples ! je veux ce qu'il y a de mieux ! " Et Miles Davis : " Mon vœu ? Etre blanc ! "

Née à Londres en 1913, dans la branche anglaise de la famille Rothschild, la baronne Pannonica de Koenigswarter - surnommée Nica - connut très tôt une passion sans limites pour le jazz. Elle fut l'amie intime et la confidente des plus grands jazzmen et leur vint en aide sans compter.
Avec son Polaroïd, elle photographia, le plus souvent chez elle, la plupart des musiciens : Dizzy Gillespie, Count Basie, Louis Armstrong, Duke Ellington, Lionel Hampton, Bud Powell, Sun Ra, Miles Davis, Charlie Mingus, Sonny Rollins et tant d'autres. Entre 1961 et 1966, elle leur posa cette question ingénue : " Si on t'accordait trois vœux qui devaient se réaliser sur-le-champ, que souhaiterais-tu ? " projetant de réunir leurs réponses souvent spontanées dans un livre. Ce livre, resté inédit à ce jour, le voici, réalisé d'après la maquette originale de Pannonica. Trois cents musiciens répondent à la question. Duke Ellington : " Mes vœux sont simples ! je veux ce qu'il y a de mieux ! " Et Miles Davis : " Mon vœu ? Etre blanc ! "