Fablennoù pe mojennoù e Brezhoneg

Si les choses sont telles qu'elles sont, c'est qu'il y a une bonne raison. Un brave homme va l'apprendre, et découvrir ainsi que Dieu a bien fait les choses. Et pour cette dernière émission autour des fables de La Fontaine, traduites en Breton, nous aurons aussi le plaisir d'entendre Le vieux chat et la jeune souris.

Le renard excelle en tours plein de "matoiserie", comprendre d'habileté, nous dit La Fontaine. Et ce soir, notre fable en sera la démonstration. Écoutons Dominique Thépaut.

Vilaines chèvres ! Elles, qui cherchent toujours les endroits les plus inaccessibles pour narguer les bergers, seront bien punies ! Nous découvrirons cela juste après une première fable, celle d'un âne qui ne cesse de se plaindre.

Ce soir encore, nous avons droit à deux fables. Nous retrouverons en fin d'émission un geai, imposteur, qui tente de se faire passer pour un paon. Avant cela, nous verrons quel équilibre adopter entre la sincérité et les belles paroles...

Nous aurons la chance d'entendre deux fables ce soir : la seconde nous parle de l'amitié sincère, profonde. Mais écoutons d'abord la première...

Notre fable de ce soir pourrait-elle être un éloge de la royauté, de la part de Jean de La Fontaine ? Dominique Thépaut le pense, et, lisant entre les lignes, nous l'expliquera en fin d'émission. Écoutons !

Ce soir, quelques conseils judiciaires prodigués par Jean de La Fontaine avec... des huîtres. Profitez-en, c'est gratuit. Contrairement aux honoraires des juges, justement !

Deux pigeons sont profondément amoureux. Mais l'un a la bougeotte, et veut voir du pays. Que va-t-il advenir de lui ? Écoutons cette fable de La Fontaine, traduite ensuite en Breton.

Ce soir, l'attaque est directe ! Même si Jean de La Fontaine utilise encore des animaux pour l'adoucir, la conclusion est sans appel : "Messieurs les courtisans, cessez de vous détruire !" Écoutons ce texte, avec Dominique Thépaut.

Un paysan au sourcil broussailleux, à la mine d'ours... La description est peu flatteuse. Mais pourtant, écoutons ce qu'il a à nous dire, dans cette fable de Jean de La Fontaine, dont nous entendrons aussi la traduction en Breton.

Petit point de droit autour du squat aujourd'hui, avec Dominique Thépaut. Dans notre fable de ce jour, nous assistons à l'occupation, supposée illégale, du terrier d'une belette par un lapin.

Dans ses fables, La Fontaine utilise des animaux pour critiquer ses semblables ; ça passe toujours mieux. Aujourd'hui, ce sont les détournements de fonds propres aux administrations locales qui sont en ligne de mire. Dominique Thépaut nous explique cela.

Rares sont les gens qui souhaitent mourir rapidement. Notre fable de ce soir en est l'illustration, avec un homme qui ne cesse de demander un "délai" supplémentaire à la grande faucheuse...

"L'argent ne fait pas le bonheur" est un dicton populaire que l'on a maintes fois entendu. La Fontaine ajouterait même : l'argent cause bien du soucis. La fable de ce soir en est l'illustration.

Perette fait déjà mille-et-un projets avec l'argent de la vente de son lait. Oui mais voilà, le lait, il n'est pas encore vendu. Et sur le chemin, tout peut encore arriver. Nous écoutons cette fable de La Fontaine, ainsi que son commentaire de Dominique Thépaut.

"An anevaled, klanv gand ar vosenn" : c'est le titre en breton de la fable qui nous intéresse ce soir. "Ar vossenn" signifie "la peste" ; vous avez sans doute deviné de quelle histoire il s'agit. Écoutons Dominique Thépaut.

"Aide-toi, le Ciel t'aidera." Beau dicton bien connu de tous ! Nous entendons ce soir la fable dont il est tiré. Fait amusant, l'histoire se déroule en basse Bretagne, du côté de Quimper…

Notre fable de ce soir est si connue, que le premier vers suffira à vous la faire reconnaître : "Rien ne sert de courir, il faut partir à point." Dominique Thépaut nous propose de l'expliquer, et même de l'appliquer au monde de l'entreprise.

Faut-il laisser les enfants faire leurs propres expériences dans la vie, même si elles sont dangereuses ? C'est la question en substance soulevée par notre fable du jour, qui nous rappelle aussi qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Écoutons !

Les jeunes auraient-ils vraiment perdu le goût de l'effort ? La Fontaine n'avait pas la réponse à cette question, mais dans une de ces fables, un laboureur va justement enseigner à ses enfants la valeur du travail. Nous entendrons cela juste après une autre fable, avec comme souvent, un renard…