Du Talent et du Coeur RCF - page 3

Michel CARLETTI a 74 ans. Il a exercé toute sa carrière professionnelle dans l'enseignement catholique.
Il l'a terminée en tant que Directeur Diocésain de l'Enseignement Catholique à Nice.
"Etant issu d'un mlilieu modeste où on ne cotoyait pas les médecins, les avocats ou les chefs d'entreprise, les seules personnes qu'enfant il m'était possible d'admirer étaient les instituteurs. Mon désir c'était de les imiter et de devenir comme eux."

Michel CARLETTI a 74 ans. Il a exercé toute sa carrière professionnelle dans l'enseignement catholique.
Il l'a terminée en tant que Directeur Diocésain de l'Enseignement Catholique à Nice.
Né à Nice dans une famille modeste, il a été pétri dès le plus jeune âge par la foi de ses parents, de ses éducateurs, et par le scoutisme qui lui ont transmis une soif d'engagement social qui ne l'a jamais quitté.
"Les prières autour du feu de camp le soir touchent à la fois le coeur et l'âme... Nous n'allions jamais nous coucher autrement qu'en priant".

Jean-François GEROLD a pour nom de scène Le Condor.
Depuis presque 25 ans, il allie modernité et tradition avec sa troupe de musiciens et de danseurs pour souffler un vent de fraicheur sur la musique provençale.
"Monter sur scène à l'Olympia ou au théatre antique d'Orange : ça semblait inimaginable. Et pourtant on l'a fait et ça nous a permis de fidéliser notre équipe".

Jean-François GEROLD a pour nom de scène Le Condor.
Depuis presque 25 ans il allie modernité et tradition avec sa troupe de musiciens et de danseurs pour souffler un vent de fraicheur sur la musique provençale.
Le galoubet et le tambourin rayonnent dans ses spectacles entourés de la cornemuse de la guitare ou du djembé.
"Avoir un enfant c'est la plus belle chose de la vie."

Jean-François GEROLD a pour nom de scène Le Condor.
Depuis presque 25 ans il allie modernité et tradition avec sa troupe de musiciens et de danseurs pour souffler un vent de fraicheur sur la musique provençale.
Le galoubet et le tambourin rayonnent dans ses spectacles entouré de la cornemuse de la guitare ou du djembé.
Jean-François GEROLD nous raconte aujourd'hui la création du Condor en compagnie de son épouseau tout début des années 2000 .

Jean-François GEROLD a pour nom de scène Le Condor.
Depuis presque 25 ans il allie modernité et tradition avec sa troupe de musiciens et de danseurs pour faire souffler un vent de fraicheur sur la musique provençale.
Le galoubet et le tambourin rayonnent dans ses spectacles entouré de la cornemuse de la guitare ou du djembé.
Aujourdui le Condor a 50 ans et il nous raconte sa jeunesse pour l'essentiel vécue à Arles.
"On s'enrichit des périodes difficiles et des galères qui nous permettent de mieux apprécier les moments paisibles et simples"

Christian BRAILLY a 64 ans en 2022, il est alors frère franciscain au sein de la communauté d'Avignon.
Son évêque lui a confié la responsabilité d'aumônier au crématorium d'Avignon... responsabilité dans laquelle il se surprend grace à sa foi d'y découvrir la joie de pouvoir accompagner et apaiser la souffrance du deuil.
" La sobriété fait partie de ma vie. Je n'ai pas besoin de grand-chose pour vivre ma vocation de frère mineur !"

Christian BRAILLY a 64 ans en 2022, il est frère franciscain au sein de la communauté d'Avignon.
Son évêque lui a confié la responsabilité d'aumônier au crématorium d'Avignon... responsabilité dans laquelle il se surprend grace à sa foi d'y découvrir la joie de pouvoir accompagner et apaiser la souffrance du deuil.

Christian BRAILLY a 64 ans en 2022, il est frère franciscain au sein de la communauté d'Avignon.
Son évêque lui a confié la responsabilité d'aumônier au crématorium d'Avignon... responsabilité dans laquelle il se surprend grace à sa foi d'y découvrir la joie de pouvoir accompagner et apaiser la souffrance du deuil.

Christian BRAILLY a 64 ans en 2022, il est frère franciscain au sein de la communauté d'Avignon.
Son évêque lui a confié la responsabilité d'aumônier au crématorium d'Avignon... responsabilité dans laquelle il se surprend grace à sa foi d'y découvrir la joie de pouvoir accompagner et apaiser la souffrance du deuil.

Anne-Marie BERTRAND a 81 ans. Elle est fille d'agriculteurs de Graveson. A 20 ans elle a épousé un jeune agriculteur avec qui elle a fondé une famille dans le village voisin de Rognonas.
Elle s'est investie dans la section féminine du syndicat agricole la FNSEA où elle a défendu la création d'un statut pour la femme d'agriculteur. Puis un jour elle est devenue maire de Rognonas, puis Conseillère Générale, et enfin sénatrice des Bouches du Rhône.
Aujourd'hui elle est redevenue simple villageoise et paroissienne à Rognonas. Elle se consacre à sa famille, à l'approfondissement de sa foi, et à l'écoute de son prochain.
" Je trouve, dit-elle, que la messe est la plus belle des prières."

Anne-Marie BERTRAND a 81 ans. Elle est fille d'agriculteurs de Graveson. A 20 ans elle a épousé un jeune agriculteur avec qui elle a fondé une famille dans le village voisin de Rognonas.
Elle s'est investie dans la section féminine du syndicat agricole la FNSEA où elle a défendu la création d'un statut pour la femme d'agriculteur. Puis un jour elle est devenue maire de Rognonas, puis Conseillère Générale, et enfin sénatrice des Bouches du Rhône.
Aujourd'hui elle est redevenue simple villageoise et paroissienne. Elle se consacre à sa famille.
"Le fonctionnement politique n'est plus très sain quand il devient politicien. Mais si on veut defendre ses convictions et ses concitoyens, il faut s'y adapter".

Anne-Marie BERTRAND a 81 ans. De fille d'agriculteur née à Graveson qu'elle était , à 20 ans elle a épousé un jeune agriculteur avec qui elle a fondé une famille dans le village voisin de Rognonas.
Elle s'est investie dans la section féminine du syndicat agricole la FNSEA où elle a soutenu la création d'un statut pour la femme d'agriculteur. Puis un jour elle est devenue maire de Rognonas, puis Conseillère Générale, et enfin sénatrice des Bouches du Rhône; poste qu'elle n'a pas souhaité renouveler en 2020 pour prendre sa retraite.
" Je n'ai jamais éprouvé de regrets dans ma vie... Quand on a la foi et qu'on est confronté aux difficultés ou aux souffrances, Dieu nous aide et nous protège... La vie c'est un don de Dieu, même avec des obstacles."

Anne-Marie BERTRAND a 81 ans. De fille d'agriculteur née à Graveson qu'elle était , à 20 ans elle a épousé un jeune agriculteur avec qui elle a fondé une famille dans le village voisin de Rognonas.
Elle s'est investie à la section féminine du syndicat agricole la FNSEA où elle a soutenu la création d'un statut pour la femme d'agriculteur. Puis un jour elle est devenue maire de Rognonas, puis Conseillère Générale, et enfin sénatrice des Bouches du Rhône; poste qu'elle n'a pas souhaité renouveler en 2020 pour prendre sa retraite.
"Quand j'étais enfant toute la famille aidait au travail de la terre. C'était pour moi un jeu... une passion qui nous réunissait tous".

Brice et Marie MASSSON FAUCHIER prieurs de la St ROCH l'an dernier et Olivier BERTRAND président de la Confrerie St ROCH à ROGNONAS nous invitent à la fête les samedi 17 et dimache 18 août à Rognonas.
Clou de la fête : le dimanche 18 août 2024 au matin : depuis la messe en plein air au mas des prieurs dès 7H00 jusqu'au défilé de la charrette attelée à 50 chevaux de trait , drappée des plus beaux fruits et légumes du terroir.
" En tant que Président de notre confrérie je me suis donné pour objectif personnel essentiel de porter et de perpétuer la dimension religieuse de notre fête".

Francis et Lucienne CHAUVET ont été prieurs il y a 50 ans de la fête dédiée à St ROCH à ROGNONAS. Ils n'ont jamais quitté depuis la Confrérie St ROCH , et ils participent cette année encore à l'organisation de la fête en L'honneur de ce saint vénéré dans l'Europe entière.
Le clou de la fête aura lieu cette année le dimanche 18 août 2024 : depuis la messe en plein air au mas des prieurs dès 7H00 du matin jusqu'au défilé de la charrette attelée à 50 chevaux de trait et drappée d'une robe multicolore faite des plus beaux fruits et légumes du terroir.
"St Roch est vénéré parcequ'il est un modèle de charité et qu'il a lutté jusqu'à en être atteint lui même contre la peste noire qui sévissait au XIVème siècle."

Denis BLIN a 76 ans et il a consacré l'essentiel de sa vie professionnelle à la communauté de l'Arche.
Il a été le premier directeur du Moulin de l'Auro à sa création à Gordes en 1977, avant son déménagement à l'Isle sur la Sorgue.
Il a quitté son poste de directeur du Moulin de l'Auro en 1994 pour consacrer les 15 dernères années de son parcours professionnel à l'accompagnement de personnes en fin de vie en tant que psychologue.

"Comment être pleinement présent dans la dissymérie d'une relation entre quelqu'un qui fait son travail au contact d'une personne dans le dénuement le plus complert à la fois physique, moral et mental ?"

Denis BLIN a 76 ans et il a consacré l'essentiel de sa vie professionnelle à la communauté de l'Arche.
Il a été le premier directeur du Moulin de l'Auro pour sa création à Gordes en 1977, avant qu'il ne soit déménagé à l'Isle sur la Sorgue. L'échange et le partage dans la diversité ont été le fil conducteur de sa vie ancrée dans la foi.
"Lorsque la communauté de l'Arche a été créée, la situation des handicapés était un désastre. Beaucoup étaient en maison de retraite à 20 ans, ou bien en hôpital psychiatrique."

Denis BLIN a 76 ans et il a consacré l'essentiel de sa vie professionnelle à la communauté de l'Arche.
Il a été le premier directeur du Moulin de l'Auro pour sa création à Gordes en 1977, avant d'être déménagé à l'Isle sur la Sorgue. L'échange et le partage dans la diversité ont été le fil conducteur d'une vie ancrée dans la foi.
"Gandhi disait : je ne sais pas si on doit dire, Dieu est la Vérité ou bien la Vérité est Dieu".
" La vie est un chemin qui se déroule devant nous et on vit sa vie telle qu'elle se présente".

Denis BLIN a 76 ans et il a consacré l'essentiel de sa vie professionnelle puis associative à la communauté de l'Arche.
Il a notamment été le premier directeur du Moulin de l'Auro lorsqu'il a été créé à Gordes en 1977, avant d'être déménagé à l'Isle sur la Sorgue. L'échange et le partage dans la diversité ont été le fil conducteur de sa vie ancrée dans la foi.
"Bien qu'ayant grandi dans une famille bourgeoise, j'ai vécu ma pratique religieuse d'enfant dans une paroisse ouvrière de Marseille ; pratique religieuse très portée sur l'humain et le chrétien".