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La Symphonie du cinéma
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La Symphonie du cinéma - page 3

Emission présentée par Fabien Genest

"La Symphonie du cinéma", une émission de Fabien Genest pour voyager dans l'univers des musiques de films.

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Episodes

  • © Paramount Pictures. Henry Mancini (avec l'acteur Craig Stevens) et Blake Edwards sur le tournage de "Peter Gunn" en 1967.

    Blake Edwards, le roi de la comédie élégante

    13 juillet 2023
  • © Wiki Commons. Grace Kelly en 1953, année de sortie de Mogambo de John Ford.

    D’Hollywood à Monaco, il était une fois Grace Kelly

    12 juillet 2023
  • © Metropolitan Film Export. Jean-Louis-Trintignant et Anouk Aimée en 2019, 53 ans après "Un Homme et une femme".

    Jean-Louis Trintignant, une vie de cinéma

    11 juillet 2023
    "Le 22 février 2013, lors de la 38e cérémonie des César, Amour devenait le deuxième long métrage, 32 ans après Le Dernier Métro de François Truffaut, à gagner les cinq César les plus prestigieux : Meilleur film, Meilleur réalisateur (pour Michael Haneke), Meilleur acteur (pour Jean-Louis Trintignant), Meilleure actrice (pour Emmanuelle Riva) et Meilleur scénario (pour Michael Haneke).
    Une apothéose et la conclusion d’une carrière prestigieuse pour Jean-Louis Trintignant commencée en 1956 chez Roger Vadim aux côtés de Brigitte Bardot dans Et Dieu… créa la femme. Retour cette semaine dans La Symphonie du cinéma sur une carrière en musique à travers qq bandes originales de qq-uns de ses films les plus marquants et d’autres moins connus.
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    Jean-Louis Trintignant, une vie de cinéma

    11 juillet 2023
    "Le 22 février 2013, lors de la 38e cérémonie des César, Amour devenait le deuxième long métrage, 32 ans après Le Dernier Métro de François Truffaut, à gagner les cinq César les plus prestigieux : Meilleur film, Meilleur réalisateur (pour Michael Haneke), Meilleur acteur (pour Jean-Louis Trintignant), Meilleure actrice (pour Emmanuelle Riva) et Meilleur scénario (pour Michael Haneke).
    Une apothéose et la conclusion d’une carrière prestigieuse pour Jean-Louis Trintignant commencée en 1956 chez Roger Vadim aux côtés de Brigitte Bardot dans Et Dieu… créa la femme. Retour cette semaine dans La Symphonie du cinéma sur une carrière en musique à travers qq bandes originales de qq-uns de ses films les plus marquants et d’autres moins connus.
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  • ©  Wiki Commons. La 79e édition du festival international du cinéma a débuté le 31 août et se tient jusqu'au 10 septembre.

    79e Mostra de Venise

    10 juillet 2023
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    79e Mostra de Venise

    10 juillet 2023
  • ©  Apollo Films. TF1 Studio. " Sur les chemins noirs", 2023.

    Voyage et quête au cinéma

    5 juillet 2023

    La quête au cinéma, un vaste sujet abondamment exploré par le 7e art. En atteste le récent film de Denis Imbert, "Sur les Chemins noirs", adapté du livre récit de l’écrivain voyageur Sylvain Tesson, parti à travers chemins et vallons pour expier la terrible chute dont il a été victime en 2014. Les exemples regorgent. De "Carnets de voyage", du Brésilien Walter Salles retraçant la jeunesse d’Ernesto Guevara sur les routes d’Amérique latine à "Into the wild", de Sean Penn, autant de portraits en creux des mécanismes humains face à l’inconnu et à la confrontation in fine de soi-même. Le voyage éveille et révèle.  

     

    Play list des titres diffusés :
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    - Générique : Rodéo, BO Le Casse, Ennio Morricone

    -Extrait bande annonce Sur Les Chemins noirs, de Denis Imbert

    - BO Sur Les Chemins noirs, Wouter Dewit, 2023

    - Baïkal, BO Dans les forêts de Sibérie, Ibrahim Maalouf, 2016

    - Al otro lado del rio, BO Carnets de voyage, Jorge Drexler, 2004

    - Memories (Up to speed), BO Sur la Route, Gustavo Santaolalla, 2012

    - Santiago de Compostela, BO The Way, Tyler Bates, 2010

    - Extrait Into the wild, de Sean Penn

    - Long Nights, BO Into the wild, Eddie Vedder, 2007

    - Laurens Walking, BO Une Histoire vraie, Angelo Badalamenti, 1999

    - Kon-Tiki (End Credits), BO Kon-Tiki, Johan Söderqvist, 2012

    - La Minute Judy Garland : Forest Fire, BO Ete 85, Lloyd Cole and the Commotion, 2020

    -El Condor pasa, BO Wild, Simon & Garfunkel, 2014

  • ©  20th Century Fox. Les Chariots de feu, un hymne à l'idéal olympique (1981).

    Les JO d’été au cinéma

    28 juin 2023

    Si le sport a été largement traité au cinéma, qu’en est-il plus précisément des Jeux olympiques ? En 1981, l’Anglais Hugh Hudson frappe les esprits en réalisant un hymne à l’olympisme à travers le destin croisé de deux athlètes rivaux aux jeux de Paris 1924. Les Chariots de feu devra son succès, aussi, à la musique aux airs d’épopée de Vangelis, longtemps tube absolu pour évoquer le sport à la télévision. Plus récemment, Munich, de Steven Spielberg en 2006 et Le Cas Jewell, de Clint Eastwood en 2019, ont eux pris le parti d’évoquer deux drames humains authentiques qui ont frappé l’opinion. Dans les années 60, Hollywood évoquait, déjà, le sujet mais sous l’angle de la comédie légère dans Rien ne sert de courir, de Charles Walters avec Cary Grant dans le rôle d’un industriel anglais qui  trouve refuge chez une jeune secrétaire en plein jeux de Tokyo où tous les hôtels affichent complet.

     

    Play list des titres diffusés :

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    - Générique : Rodéo, BO Le Casse, Ennio Morricone

    - Score suite, BO Richard Jewell, Arturo Sandoval, 2019

    - Avner’s theme, BO Munich, John Williams, 2006

    -Theme end titles, BO Le Vainqueur, André Gagnon, 1979

    -You made History, BO Race, Rachel Portman, 2016

    -Chariots of fire, BO Les Chariots de feu, Vangelis, 1981

    -Bande annonce, Jappeloup

    - Birth, BO Jappeloup, Clinton Shorter et le Brussels Philharmonic Orchestra, 2013

    -Finale, BO L’As des as, Vladimir Cosma, 1982

    - Concerto in do magg per mandolino archi e cembalo (RV 425), BO Un Ragazzo di Calabria, Antonio Vivaldi/. I Solisti Veneti dirigés par Claudio Scimone.  

    - La Minute Judy Garland : We don't need another hero, BO Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre, Tina Turner, 1985

    -Happy Feet, BO Rien ne sert de courir, Quincy Jones, 1966


    Aller plus loin :
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    - Sport et cinéma : la technique à l'épreuve du réel (Presses Universitaires de Limoges, 2013). Un ouvrage collectif sous la direction de Thomas Bauer, Loïc de La Croix et Hugo Gerville-Réa. Un livre qui s’arrête sur la transposition au grand écran de thèmes allant aussi bien de l’héroïne sportive à la rédemption par le combat en passant par le corps en mouvement dans le cinéma néoréaliste italien.


    - Sport et cinéma, de Gérard Camy et Julien Camy (Amphora, 2021). Un livre de 600 pages aux allures d’encyclopédie qui se veut exhaustif où se cotoient films connus et inconnus émaillés de nombreux témoignages de personnalités, sportifs ou non sportifs, tels que Louis Acariès, Emmanuel Petit, Claude Lelouch, Jean-Jacques Annaud ou Michel Drucker... 

  • ©  Wikimedia Commons . Wes Anderson à Berlin en 2015.

    Le cinéma baroque de Wes Anderson

    21 juin 2023

    Cette semaine, La Symphonie du cinéma évoque l'univers de Wes Anderson, francophile convaincu qui déclarait en 2021 : " C'est le cinéma français qui m'a donné envie de découvrir la France." Son avant-dernier film à ce jour "The French Dispatch" avait posé ses caméras, il y a deux ans, à Angoulême où a été recréé en miniature un Paris mythifié des années 50-60. Présenté à Cannes en compétition officielle, le mois dernier, "Asteroid City" se veut, lui, une "méditation poétique sur le sens de la vie", selon les propres dires de Wes Anderson. Pour son 11e long métrage, le cinéaste américain a réuni un casting de choix autour des stars Tom Hanks et Scarlett Johansson. Aux côtés des fidèles du réalisateur que sont l’inamovible Bill Murray, Adrien Brody, Tilda Swinton et Jason Schwartzman, on trouve aussi Jeff Goldblum et Margot Robbie. A mi-chemin entre la parodie de science-fiction de Love Craft et la comédie loufoque, Asteroid City prend pour cadre une petite ville au beau milieu du désert, lieu de ralliement d’une convention de jeunes astronomes où des événements extraordinaires vont survenir. Fidèle à l’esthétique vintage de ses derniers films, Wes Anderson a reconstitué un décor années 50 incroyable dans un déluge de couleurs pastel et accessoires rétro à commencer par la musique d’Alexandre Desplat, fidèle au cinéaste depuis 2009 et "Fantastic Mister Fox". Que ce soit "Moonrise Kingdom" ou "The Grand Budapest Hotel" (4 Oscars en 2015), les films de Wes Anderson nous offrent une vision idéalisée et acidulée de la vie à travers des personnages qui le sont tout autant.


    Play list des titres diffusés :
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    - Générique : Rodéo, BO Le Casse, Ennio Morricone

    - Extrait bande annonce Asteroid City

    - Umm, Oh Yeah (Dearest), BO Asteroid City, Buddy Holly, 2023

    - Aline, BO The French Dispatch, Jarvis Cocker, 2021  

    - Just Another Dead Rat in a garbage pail (behind a chinese restaurant), BO Fantastic Mr Fox, Alexandre Desplat, 2009  

    - No Lifeguard on duty, BO Bottle Rocket, Mark Mothersbaugh, 1996  

    - Hey Jude, BO La Famille Tenenbaum, The Mutato Muzika Orchestra, 2001

    - Space Oddity, BO La Vie aquatique, Seu Jorge, 2004

    - The Young Person's Guide to the Orchestra, BO Moonrise Kingdom, Leonard Bernstein: New York Philharmonic Orchestra, 2012

    - Mr Moustafa, BO The Grand Budapest Hotel, Alexandre Desplat, 2014

    - La Minute Judy Garland : When the going gets tough, the tough get going, BO Le Diamant du Nil, Billy Ocean, 1985

    - Hardest Geometry problem in the world, BO Rushmore, Mark Mothersbaugh, 1998

     

    Aller plus loin :
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    - "Wes Anderson : la filmographie intégrale d'un réalisateur de génie", de Ian Nathan (Gallimard, 2020). Une plongée dans l'univers poétique et singulier du cinéaste texan qui a construit une oeuvre unique en son genre, pleine de finesse et d'humour.

     

    - "Accidentally Wes Anderson" (EPA, 2021), un ouvrage de photos de 200 lieux et décors qui auraient pu figurer dans un film de Wes Anderson. Une compilation des meilleurs clichés du compte Instagram sur le cinéaste, sur lequel les internautes postent des images évoquant l'univers du réalisateur.

     

  • © Wikimedia Commons. Maurice Chevalier en 1932 dans "Aimez-moi ce soir".

    De Ménilmontant à Hollywood : Maurice Chevalier, le chéri de l’Amérique

    28 décembre 2022

    Le 1er janvier 1972, la France perdait l'un de ses monuments. Ernst Lubitsch et Walt Disney lui vouaient une admiration sans bornes. Incarnation du Français gouailleur et charmeur, savant jouer la comédie, chanter et danser, Maurice Chevalier fut traité toute sa carrière d’acteur comme un prince par les studios d’Hollywood qu’il découvre dès les années 30. Il allait côtoier les plus grands réalisateurs : Cukor, Mamoulian, Wilder, Curtiz et partager, plus tard, l’affiche avec Audrey Hepburn, Sophia Loren, Leslie Caron ou encore Gary Cooper.

     

    Liste des titres diffusés:
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    -Générique « Rodéo », BO « Le Casse », Ennio Morricone
    -« I remember it well », BO « Gigi », M. Chevalier et Hermione Gingold
    -« Paris stay the same », BO « Parade d'amour », M. Chevalier
    -«Y’a d’la joie » BO « L’Homme du jour », M. Chevalier
    -« Pour les Amants c'est tous les jours dimanche », BO « Le Silence est d'or », Georges Van Parys
    -« La Cachucha », BO « Le Roi », M. Chevalier
    -« Clodo sérénade », BO « Ma Pomme », M. Chevalier
    - « Enjoy it », BO « Les Enfants du capitaine Grant », M. Chevalier et Hayley Mills
    -« Aristocats main theme », BO « Les Aristochats », M. Chevalier
    -La Minute Judy Garland : « Pierrot la tendresse », BO « Pierrot la tendresse », Dany Saval
    -« A Breath of scandal (I) », BO « Un Scandale à la cour », M. Chevalier 

  • © Wikimedia Commons. Georges Brassens en 1966.

    Balade dans l’œuvre de Georges Brassens au cinéma

    21 décembre 2022

    Bien qu’il ne fit l’acteur que dans un seul film "Porte des Lilas", de René Clair en 1957, Georges Brassens apparaît dans bien d’autres films grâce à sa musique et surtout ses chansons à l’image des "Copains", d’Yves Robert en 1965 qui lui inspira l’un des plus grands tubes de sa carrière par la suite "Les Copains d’abord", une ode à l’amitié et aux plaisirs simples, en résumé la quintessence de ce qu’était le Sétois. A la fois chanteur, parolier et compositeur, celui que l'on surnomme affectueusement Papa Georges pour certains, Tonton Georges pour d’autres, demeure, plus de quarante ans après sa disparition (il est décédé le 29 octobre 1981), une icône, une référence et l’incarnation d’un style bien français qui traverse les époques et les générations.

     

    Liste des titres diffusés:
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    - Bande annonce du film "Porte des Lilas", de René Clair (1957)
    - "Au bois de mon coeur", BO "Porte des Lilas, Georges Brassens
    - "Le Vin", BO "Porte des Lilas", Georges Brassens
    - "Chanson pour l’Auvergnat", BO "Le Crâneur", Marina Vlady
    - "Il n’y a pas d’amour heureux", BO "8 Femmes", Danielle Darrieux
    - Extrait archives INA, octobre 1980
    - "La chanson du hérisson", BO "Emilie Jolie", Henri Salvador, Georges Brassens, Séverine
    - Extrait bande annonce du film "Les Copains", d’Yves Robert (1965)
    - "Les Copains d’abord," BO "Les Copains", Georges Brassens
    - "Heureux qui comme Ulysse", BO "Heureux qui comme Ulysse", Georges Brassens
    - BO "Le Drapeau flotte sur la marmite", Georges Brassens
    - La Minute Judy Garland : "Rendez-vous aux Pas perdus", BO "Les Pas perdus", Michèle Morgan
    - "Le Temps ne fait rien à l’affaire", BO "Le Dîner de cons", Georges Brassens

     

  • ©   Wikimedia Commons. Jean-Luc Godard (1930-2022) et Irene Papas (1929-2022).

    Hommage en musique à Jean-Luc Godard et Irene Papas

    28 septembre 2022

    Cette semaine, La Symphonie du cinéma rend hommage à deux personnalités, et comme toujours en musique, après la disparition de Jean-Luc Godard et Irene Papas en ce mois de septembre. Deux monuments à leur manière du cinéma mondial, l’un derrière la caméra, l’autre devant en tant qu’actrice chez son compatriote Cacoyannis, d’abord, mais aussi Costa-Gavras ou Francesco Rosi. L’occasion de se plonger ou replonger, dans quelques films incontournables et autant de bandes originales qui ont fait date. De Martial Solal en 1959 pour A bout de souffle à Antoine Duhamel en 1965 pour Pierrot le fou en passant par Georges Delerue pour Le Mépris en 1963 chez Godard, à l’incontournable Mikis Theodorakis pour les deux chefs d’œuvre que sont Zorba le grec (1964) et Z (1969), deux des films les plus connus d’Irene Papas, comédienne magnétique et tragédienne née. 

     

    Extraits diffusés :
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    -Générique : Rodéo, BO Le Casse, Ennio Morricone
    -New York Herald tribune, BO A bout de souffle, Martial Solal
    -Bande annonce Le Mépris
    -Camille, BO Le Mépris, Georges Delerue
    -Thème de Ferdinand, BO Pierrot le fou, Antoine Duhamel
    -Générique, BO Sauve qui peut (la vie), Gabriel Yared
    -Premier Concerto pour piano, BO Détective, Franz Lizst
    -Thanks God, Irene Papas
    -O Andonis, BO Z, Mikis Theodorakis
    -La Danse de Zorba, BO Zorba le Grec, Mikis Theodorakis
    -Les Enfants du Pirée, BO Jamais le dimanche, Melina Mercouri
    -Suite 01, BO Electre, Mikis Theodorakis

     

    Aller plus loin :
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    -Godard et la société française des années 60, J-P. Esquenazi (Armand Colin, 2004)
    -Double CD, The Golden age of greek cinema (Cherry Red, 2016)

  • © Orange Studio. "Le Tigre et le président", actuellement en salles.

    La politique au cinéma : accords et désaccords

    14 septembre 2022

    En janvier 1920, Paul Deschanel crée la surprise et devient président de la République au détriment du « père la victoire », Georges Clemenceau pourtant grand favori. Mais une santé fragile le privera d’un destin national. Il décède en effet deux ans plus tard non sans avoir laissé une trace rocambolesque dans l’histoire de France incarnée par une chute de train, en pleine nuit, qui le rendra célèbre à son corps défendant. Alors qu’est sorti en salles Le Tigre et le président, le premier film de Jean-Marc Peyrefitte avec Jacques Gamblin et André Dussolier, quel rapport le cinéma entretient-il avec la figure suprême du chef de l’Etat ou du Premier ministre ? Du De Gaulle, de Gabriel Le Bomin en 2020, à Silvio et les autres, de Paolo Sorrentino en 2018, en passant par La Dame de fer, de Phyllida Lloyd en 2011, La Symphonie du cinéma s’arrête, cette semaine, sur quelques films et leurs bandes originales, qui évoquent des hommes et des femmes de pouvoir.  

     

  • ©  Wikimedia Commons. Barbra Streisand en 1966.

    Barbra Streisand, la magnétique

    26 août 2022
    Pugnace, libre et charismatique. Ainsi pourrait-on qualifier Barbra Streisand, moquée et rabaissée quand elle était enfant, que rien ne prédestinait à devenir une star planétaire. Aussi douée pour la chanson que pour la comédie, l’Américaine fête ses 80 ans en ce mois d’avril et demeure une artiste adulée, à la fois atypique et hors norme.
  • ©  Wiki Commons. Lalo Schifrin soufflera ses 90 bougies le 21 juin.

    Lalo Schifrin, le caméléon argentin

    25 août 2022
  • ©  Wikimedia Commons. Jacques Perrin en 2009.

    Jacques Perrin, l’élégance en toute circonstance

    24 août 2022
    "Disparu le 21 avril, Jacques Perrin fut tour à tour un marin poète dans Les Demoiselles de Rochefort, un prince enchanteur dans Peau d’âne, un militaire en proie au doute dans Le Désert des Tartares et La 317e Section, un journaliste d’investigation dans Z, ou encore un cinéaste dans Cinema Paradiso.
    Il avait tourné avec Demy, Costa-Gavras, Chabrol, Schoendoerffer, Zurlini, Tornatore. Dans les années 2000, il devient un producteur avisé et comblé. L’acteur s’effacera peu à peu tout en continuant à tourner par amitié, notamment pour son neveu, Christophe Barratier dans Faubourg 36 ou Les Choristes, énorme succès de l’année 2004.
    "
  • © Pinterest. Vangelis en 1973.

    Hommage à Vangelis

    23 août 2022
  • ©  Wikimedia Commons. Romy Schneider en 1970 sur le tournage de La Califfa.

    Romy Schneider

    22 août 2022
  • ©  Wikimedia Commons.  Jean Gabin et Michèle Morgan dans Quai des brumes, de Marcel Carné en 1938.

    Quelques nuances de Jean Gabin

    19 août 2022
  • ©  Wikimedia Commons. Yves Robert en 1979.

    Le cinéma d’Yves Robert en musique

    18 août 2022
    Les copains, la campagne, l’enfance, les femmes, autant de thèmes chers au cinéma d’Yves Robert, qui disparaissait il y a 20 ans. Cinéaste de la comédie permanente, ses films mettaient en lumière des personnages tantôt timides et maladroits (Le Grand Blond, Courage fuyons, Un Eléphant, ça trompe énormément), tantôt idéalistes (Alexandre le bienheureux), tantôt enfantins et cabotins (La Guerre des boutons, Bébert et l’Omnibus). Un cinéma d’artisan, consciencieux, fraternel, potache et complice qu’il partageait avec une famille d’artistes fidèles : l’acteur Jean Rochefort, le scénariste et dialoguiste Jean-Loup Dabadie, et Vladimir Cosma, le compositeur de plus de la moitié de ses films et de partitions devenues des références et des tubes du cinéma français.

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