L'université a vu le jour au XIIIe siècle en Europe. Elle naît de la transformation d'écoles souvent déjà existantes et crée de véritables communautés qui rassemblent maîtres et étudiants. À Paris, Oxford, Bologne ou Montpellier, tout au long du Moyen Âge, les université rayonnent dans l'Europe entière. Elles formeront des milliers d'hommes et diffuseront un réel savoir. Explications d'Antoine Destemberg, auteur de "L'honneur des universitaires au Moyen Âge" (éd. PUF, 2015).

Faire l'histoire des jardins c'est étudier un élément éphémère. Si l'on veut savoir à quoi ressemblaient les jardins du Moyen Âge, par exemple, faut se reporter aux représentations que l'on en a. L'historien, Jean Vassort, professeur honoraire de khâgne, auteur du livre "Les jardins français - Une histoire du Moyen Âge à nos jours" (éd. Perrin, 2020), retrace l'histoire des jardins en France.

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1920, avait lieu le congrès de Tours, qui donnait naissance au parti communiste français (PCF). Comment expliquer la forte implantation du communisme en France ? Et pourquoi ce parti, qui a été le premier parti de gauche, a connu un déclin tel qu'il se trouve aujourd'hui aux marges de la vie politique ? Pour retracer cette histoire, Véronique Alzieu reçoit l'historien Roger Martelli, co-auteur avec Jean Vigreux et Serge Wolikow du livre "Le parti rouge - Une histoire du PCF, 1920-2020" (éd. Armand Colin, 2020).

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1920, avait lieu le congrès de Tours, qui donnait naissance au parti communiste français (PCF). Comment expliquer la forte implantation du communisme en France ? Et pourquoi ce parti, qui a été le premier parti de gauche, a connu un déclin tel qu'il se trouve aujourd'hui aux marges de la vie politique ? Pour retracer cette histoire, Véronique Alzieu reçoit l'historien Roger Martelli, co-auteur avec Jean Vigreux et Serge Wolikow du livre "Le parti rouge - Une histoire du PCF, 1920-2020" (éd. Armand Colin, 2020).

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1920, avait lieu le congrès de Tours, qui donnait naissance au parti communiste français (PCF). Comment expliquer la forte implantation du communisme en France ? Et pourquoi ce parti, qui a été le premier parti de gauche, a connu un déclin tel qu'il se trouve aujourd'hui aux marges de la vie politique ? Pour retracer cette histoire, Véronique Alzieu reçoit l'historien Roger Martelli, co-auteur avec Jean Vigreux et Serge Wolikow du livre "Le parti rouge - Une histoire du PCF, 1920-2020" (éd. Armand Colin, 2020).

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1920, avait lieu le congrès de Tours, qui donnait naissance au parti communiste français (PCF). Comment expliquer la forte implantation du communisme en France ? Et pourquoi ce parti, qui a été le premier parti de gauche, a connu un déclin tel qu'il se trouve aujourd'hui aux marges de la vie politique ? Pour retracer cette histoire, Véronique Alzieu reçoit l'historien Roger Martelli, co-auteur avec Jean Vigreux et Serge Wolikow du livre "Le parti rouge - Une histoire du PCF, 1920-2020" (éd. Armand Colin, 2020).

Il y a un peu plus de 100 ans, en 1920, avait lieu le congrès de Tours, qui donnait naissance au parti communiste français (PCF). Comment expliquer la forte implantation du communisme en France ? Et pourquoi ce parti, qui a été le premier parti de gauche, a connu un déclin tel qu'il se trouve aujourd'hui aux marges de la vie politique ? Pour retracer cette histoire, Véronique Alzieu reçoit l'historien Roger Martelli, co-auteur avec Jean Vigreux et Serge Wolikow du livre "Le parti rouge - Une histoire du PCF, 1920-2020" (éd. Armand Colin, 2020).

Particulièrement équilibrée, la règle écrite par saint Benoît pour structurer la vie des religieux s'est imposée en Europe vers le IXe siècle. Pour retracer quinze siècles de vie bénédictine, Véronique Alzieu reçoit l'historien Daniel-Odon Hurel, auteur de "Saint Benoît" (éd. Perrin, 2019).

Particulièrement équilibrée, la règle écrite par saint Benoît pour structurer la vie des religieux s'est imposée en Europe vers le IXe siècle. Pour retracer quinze siècles de vie bénédictine, Véronique Alzieu reçoit l'historien Daniel-Odon Hurel, auteur de "Saint Benoît" (éd. Perrin, 2019).

Particulièrement équilibrée, la règle écrite par saint Benoît pour structurer la vie des religieux s'est imposée en Europe vers le IXe siècle. Pour retracer quinze siècles de vie bénédictine, Véronique Alzieu reçoit l'historien Daniel-Odon Hurel, auteur de "Saint Benoît" (éd. Perrin, 2019).

Particulièrement équilibrée, la règle écrite par saint Benoît pour structurer la vie des religieux s'est imposée en Europe vers le IXe siècle. Pour retracer quinze siècles de vie bénédictine, Véronique Alzieu reçoit l'historien Daniel-Odon Hurel, auteur de "Saint Benoît" (éd. Perrin, 2019).

Particulièrement équilibrée, la règle écrite par saint Benoît pour structurer la vie des religieux s'est imposée en Europe vers le IXe siècle. Pour retracer quinze siècles de vie bénédictine, Véronique Alzieu reçoit l'historien Daniel-Odon Hurel, auteur de "Saint Benoît" (éd. Perrin, 2019).

Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).

Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).

Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).

Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).

Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).

Aux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).

Aux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).

Aux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).

Aux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).