Deuxieme partie de ce reportage réalisé par Thierry Lyonnet en Espagne sur le Chemin Ignatien. Un chemin de pélérinage de 600 km sur les traces de St Ignace de Loyola, fondateur des Jésuites.

Dans cette deuxième partie Thierry Lyonnet vous fait traverser la Catalogne de Leida à Manrèse, ultime étape de ce nouveau chemin de pélérinage.

Pétra n'est pas l'unique merveille à voir en Jordanie. Ce pays musulman, berceau des premiers chrétiens, forme un bout de la Terre sainte. Encore aujourd'hui persistent les traces de Moïse, Élie et Jésus. Zoé Blutel vous invite les hauts lieux de pèlerinage chrétien en Jordanie.

L’aventure commence il y a 26 ans sur la décharge immonde de Phnom Penh. Christian et Marie-France des Pallières, un couple de retraités français, observent, effarés, des hordes d’enfants qui vont et viennent pieds nus, le regard vide, dans un océan de déchets. Une vision de l’enfer qui les pousse à agir. En 1995, ils créent l’association Pour un sourire d’enfant dont l’objectif est double : "Assurer à ces enfants un repas par jour et leur permettre d’aller à l’école comme les autres." Aujourd'hui, 6.500 enfants et jeunes sont accueillis chaque année dans cette oasis au milieu de la misère. 650 salariés, essentiellement des Cambodgiens, travaillent chaque jour sans répit pour combattre la pauvreté. Pauline de Torsiac s'est rendue au Cambodge, au cœur de cette machine à détruire la misère.

L’aventure commence il y a 26 ans sur la décharge immonde de Phnom Penh. Christian et Marie-France des Pallières, un couple de retraités français, observent, effarés, des hordes d’enfants qui vont et viennent pieds nus, le regard vide, dans un océan de déchets. Une vision de l’enfer qui les pousse à agir. En 1995, ils créent l’association Pour un sourire d’enfant dont l’objectif est double : "Assurer à ces enfants un repas par jour et leur permettre d’aller à l’école comme les autres." Aujourd'hui, 6.500 enfants et jeunes sont accueillis chaque année dans cette oasis au milieu de la misère. 650 salariés, essentiellement des Cambodgiens, travaillent chaque jour sans répit pour combattre la pauvreté. Pauline de Torsiac s'est rendue au Cambodge, au cœur de cette machine à détruire la misère.

Dans les discussions et les débats sur la fin de vie, un point fait consensus : le besoin de développer les soins palliatifs en France. Selon un rapport parlementaire, vingt-et-un départements sont dépourvus d’un tel service. Une disparité territoriale qui contraste avec l’offre de soins accessible à Paris, qui accueille la plus grande unité de soins palliatifs d’Europe. Immersion au sein de la Maison médicale Jeanne Garnier, spécialisée dans l’accompagnement des patients en fin de vie.

Au XIIIe siècle, le sanctuaire Notre-Dame de Rocamadour était le quatrième lieu de pèlerinage le plus important de la chrétienté, après Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle. Depuis une vingtaine d’années, quelques prêtres et laïques réaniment spirituellement ce rocher historique au bord du canyon de l'Alzou, devenu un haut lieu du tourisme français.

L'archéologie biblique a d'abord été perçue comme une discipline qui allait exhumer des traces prouvant l'exactitude de ce qui est dit dans les Écritures saintes. Mais des traces on n'en a pas toujours trouvées et les croyants ont souvent été bousculés. Installé à Jérusalem depuis plus de 50 ans, l'archéologue Frère Jean-Baptiste Humbert, dominicain, raconte comment ses recherches scientifiques ont fait grandir sa foi.

À deux pas de la vieille ville, à 500 mètres de la porte de Damas, se trouve un lieu vert, calme et très studieux. L'École biblique et archéologique française de Jérusalem (Ébaf) a été fondée au XIXe siècle par le dominicain Marie-Joseph Lagrange. Elle est aujourd'hui un lieu de référence pour les chercheurs du monde entier qui s'intéressent à la Bible. Des dominicains de renom ont notamment travaillé sur les manuscrits de Qumrân. Quelques-uns des plus grand spécialistes de langues anciennes, d'archéologie biblique ou d'épigraphie y ont vécu dans ce couvent. La bibliothèque, unique au monde dans son domaine, est constituée de quelque 450.000 ouvrages. Mais l'Ébaf se conjugue aussi au présent, avec une communauté d'une vingtaine de frères qui allient étude, enseignement et recherche autour de la Bible avec la vie de foi. À l'occasion de notre programmation spéciale Semaine sainte et Pâques 2023, partez à la découverte de ce site exceptionnel ! 

> Vivez Pâques et la Semaine sainte en direct de Jérusalem avec les dominicains de l’École biblique et archéologique de Jérusalem

Au pied des remparts de la vieille ville, l'hôpital Saint-Louis s'est spécialisé dans les soins palliatifs. Ici se croisent de vieilles femmes russes orthodoxes venues vivre à Jérusalem, un Palestinien malade du sida, une religieuse âgée venue du Liban... Comme si la fin de vie rapprochait de l'essentiel, le personnel soignant dépasse ses propres convictions religieuses pour mieux écouter le patient et sa famille.

> En chemin vers Jérusalem - Le parcours de Carême RCF

Depuis le toit terrasse de la Maison d'Abraham, la vue sur la vieille ville de Jérusalem est saisissante ! Cet ancien séminaire situé dans le quartier de Ras El-Amud à Jérusalem-Est est aujourd'hui un lieu d'accueil tenu par le Secours catholique. Sa mission, voulue par le pape François, est l'accueil inconditionnel des pèlerins, quels que soient leur religion et leur budget, dans l'esprit de l'association fondée par Jean Rodhain. On se presse pour y être bénévole, il y a une longue liste d'attente...

Depuis 10 ans, la guerre civile et les conflits à répétition ont divisé durablement les communautés chrétiennes et musulmanes. Pour reconstruire la paix, sur les ruines des crises successives, la Plateforme inter-confessionnelle de la Jeunesse Centrafricaine *(PIJCA) déploie sans répit ses 2000 médiateurs sociaux dans les villes et villages pour réconcilier un pays, encore en proie aux attaques des groupes rebelles.
Une paix fragile, bâtie depuis huit ans avec force et courage grâce à des ateliers de gestion des conflits entre communautés, mais aussi pour émanciper les femmes, premières victimes de ces conflits, et réintégrer durablement les anciens combattants.

Depuis 10 ans, la guerre civile en Centrafrique et les conflits à répétition ont divisé durablement les communautés chrétiennes et musulmanes. Pour reconstruire la paix, sur les ruines des crises successives, la Plateforme interconfessionnelle de la jeunesse centrafricaine (PIJCA), soutenue par le CCFD-Terre solidaire, déploie sans répit ses 2000 médiateurs sociaux dans les villes et villages pour réconcilier un pays, encore en proie aux attaques des groupes rebelles. Une paix fragile, bâtie depuis huit ans avec force et courage grâce à des ateliers de gestion des conflits entre communautés, mais aussi pour émanciper les femmes, premières victimes de ces conflits, et réintégrer durablement les anciens combattants.

Une nouvelle vie, un nouveau métier. Grâce à l'association Raoul-Follereau, Sandrine Martel a pu réaliser son rêve : changer de vie. Après avoir été commerciale pendant 20 ans, elle a donné sa démission et s'est lancée dans l'inconnu, ou presque. Installée dans le Pas-de-Calais, elle élève désormais un troupeau de chèvres. Cela n'a pas été simple. Comme elle ne venait pas du milieu agricole, les banques ont refusé de la soutenir. Elle s'est donc tournée vers l'association Raoul-Follereau, qui a décidé d'encourager cette femme passionnée et passionnante ! 


Véronique Macary suit le quotidien de Sandrine à Reclinghem, petit village du Pas-de-Calais de 236 habitants. Dans sa ferme, La chev'riotte, le lait des chèvres est transformé en fromage mais aussi en glace et en savon... C'est aussi un lieu de visite. Sandrine accueille les curieux, les passionnés, les élèves de l'école... Ce jour-là, sa sœur Hélène est venue donner un coup de main, ainsi que Pierrick, le neveu.

La crise économique dans laquelle est plongé le Liban touche aussi les enfants. Dans ce contexte, des initiatives privées voient le jour pour les épargner autant que possible.

Le Liban est plongé dans une crise économique sans précédent. La tentation d’exil traverse l’ensemble de la société avec l’espoir de retrouver ailleurs un niveau de vie décent.

Si elle est née à Alençon, c’est à Lisieux que sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus a vécu la plus grande partie de sa vie. Cette petite ville du Calvados est devenue un lieu de pèlerinage qui voit défiler chaque année près de 800.000 fidèles. En 1925, Thérèse Martin est canonisée. Sa foi prend ses racines dans son enfance puis au Carmel, mais rayonne aujourd’hui dans le monde entier.

Dans l’imaginaire collectif, sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus vient de Lisieux. Peu savent que jusqu’à ses quatre ans, c’est à Alençon, dans l’Orne, qu’elle grandit. Sa maison se visite : elle est le témoin des premières années de vie de celle qui deviendra l’une des plus grandes saintes de l’époque moderne.

Vivre en autonomie en partageant les aides à domicile c'est le principe de l'habitat inclusif. Nous sommes reçus par les colloc qui jouent tout en répondant à Véronique Macary. Handicap lourd, liberté de vie.

Imaginez une grande maison où se mélangent des étudiants, des personnes âgées, des personnes en situation de handicap, des familles et des anciens sans-abris. C’est ce qu’offre la résidence intergénérationnelle Saint-Augustin, près du centre historique de Nantes. Un lieu créé par Habitat et humanisme où il fait bon vivre quel que soit son âge. Une résidence intergénérationelle qui a ouvert ses portes à l'automne dernier et qui offre un bel exemple de vivre-ensemble, animé par des valeurs de bienveillance et d’entraide.

Ils ont reçu le prix Pauline-Jaricot du meilleur reportage audio. Guillaume et Charles Sauvage sont partis à la rencontre des catholiques d'Asie centrale. Au micro de Véronique Alzieu, ils nous racontent leur périple aux confins de l'Ouzbékistan, du Kirghizistan et du Kazakhstan. Dans cette région majoritairement musulmane, vivent des petites communautés catholiques bien vivantes. Des chrétiens qui, parfois, sont contraints de vivre l'Évangile avec discrétion.



RCF est partenaire du Prix Pauline-Jaricot, organisé par les OPM (Œuvres pontificales missionnaires)

L’explosion dans le port de Beyrouth le 4 août 2020 a précipité le peuple libanais au bord du gouffre. Inflation vertigineuse des prix, dévaluation brutale de la monnaie, pénurie de médicaments, de carburants, d’électricité, le quotidien de la population ressemble de plus en plus à de la survie. Enlisés dans la crise économique, les libanais n’attendent plus rien d’un l’Etat dont les institutions sont en panne et la classe politique corrompue.
Pauline de Torsiac s'est rendue à Beyrouth à la rencontre de ces hommes et ces femmes, endeuillés, blessés dans leur chair et leur dignité.