Prêtre du diocèse de Nantes, le père Joël Guibert exerce son ministère de façon plutôt originale. Auteur d'une vingtaine de livres, il est détaché par son évêque pour animer des retraites auprès de différents publics (laïcs, religieux). Dans la deuxième partie de cette émission autour de son livre Le secret de la sérénité, il balise les étapes de la sainteté, cela commence par les petites choses et accepter les croix.

Prêtre du diocèse de Nantes, né en 1959, le père Joël Guibert exerce son ministère de façon plutôt originale. Auteur d'une vingtaine de livres, il est détaché par son évêque pour animer des retraites auprès de différents publics (laïcs, religieux). Dans cette émission, autour de son livre Le secret de la sérénité, il parle de l’abandon à Dieu, qui n’est pas forcément ce que l’on croit, avec un maître en la matière : Saint François de Sales.

La guerre peut-elle être idéalisée et justifiée ? Y a-t-il des origines religieuses à la guerre ? Les princes de ce monde ont-ils une légitimité à la provoquer et avec quelle caution, maintenant que l’Eglise se fait plus discrète ? Éléments de réponse avec le colonel François-Régis Legrier dans cette dernière partie de l'émission Chemins de Traverse.

La guerre est peut être d’abord à mener contre nos passions. La société de l’homo festivus, qui ne pense qu’à faire la fête et à se divertir est-elle compatible avec une armée où le courage et l’effort sont des qualités primordiales ? Quel rôle pour l’Eglise dans le déroulement d’une guerre ? La révolution française a-t-elle modifié le code de la guerre ? Le colonel Legrier s’en explique dans cette deuxième partie de l’émission.

« Si vis pacem para bellum » : une maxime à bien comprendre. La guerre est certes un mal, mais, nous dit la doctrine catholique depuis le début, un mal parfois nécessaire. S’appuyant sur les évangiles mais aussi sur les encycliques des papes, le colonel François-Régis Legrier nous aide à décrypter la guerre à l’aide de son livre Si tu veux la paix prépare la guerre paru en 2018 aux éditions Via Romana.

Vous êtes-vous déjà posé la question : pourquoi et comment sont bâtis nos sanctuaires bretons ? L’Église Catholique a-t-elle seulement gravé une croix sur un menhir pour prendre racine chez nous ? A-t-elle effacé complètement les croyances antiques ? Bernard RIO, historien reconnu, reprend sa quête à travers un livre somme, Les Portes du Sacré, sorti en octobre 2022 aux éditions Ar Gedour. Dans cette seconde partie de l’émission, il nous donne quelques clés pour mieux appréhender un sanctuaire.

Quelle place pour le sacré et le profane dans un sanctuaire ? Comment entrer dans une église, avec quelle attitude spirituelle et quelle démarche physique ? Quelle est la place pour le sacré et le profane ? Ce sont les principaux axes d’un long travail pluridisciplinaire, mêlant architecture, histoire, astronomie, qu’a mené Bernard Rio, l’un des spécialistes bretons des lieux de culte de notre belle Bretagne dans son dernier livre Les portes du sacré sorti en octobre 2022 aux éditions Ar Gedour.

Si les anges ne sont que très rarement visibles, Inès de Chantérac sait en faire vivre un, Zoël, qui apprendra progressivement à acquérir la vertu de douceur dans son livre : "Zoël, le petit ange zélé"

Tout le monde ou presque connaît le bienheureux Pierre-René Rogue, prêtre martyr de Vannes.
Mais qui connaît le fantasque Abbé Després qui se joua des révolutionnaires pendant des années? Ce fût l'un des résistants à la vie aventureuse, narrée dans le 11ème livre de Jean Guillot.

L'ordre du monde suffit-il à prouver Dieu? C'est la question à laquelle répond le frère dominicain Louis Marie dans un petit livre du même nom. Il s'entretient avec Ronan Festoc autour de ce sujet passionnant : l'apologétique.

Les témoignages de prêtres durant la révolution sont rares mais existent, chez les brocanteurs et sur internet.
Jean Guillot, commissaire divisionnaire de la Police aime enquêter et a ainsi, pendant 14 mois, recensé des récits sur les exils et déportations des prêtres durant la période de 1789-1802 : tragiques et parfois drôles, sans le vouloir.

La révolution française est, de son propre aveu, une conjuration contre l'Eglise catholique. Dès le départ, les lois se multiplient et s'emballent. Les prêtres en feront les frais, qu'ils soient martyrs ou résistants.

Jean Guillot raconte, dans cette première partie, le contexte de la mise en place de cette terreur démocratique.

La foi peut-elle être statique? Les paraboles de Jésus bien sûr sont fondamentales, et nous disent que non. Mais d’autres saints en ont inventées.
La vénérable Madeleine Delbrêl, de par ses observations quotidiennes, a entre autres, imaginé "la spiritualité du vélo".
Par ailleurs, elle a vécu une vie communautaire laïque basée sur l’évangile et n’a pas hésité à témoigner de sa foi par le dialogue, et par son exemple qui restera dans la postérité.

La vénérable Madeleine Delbrêl est une femme à redécouvrir. De son enfance difficile de la première moitié du XX ème siècle, à son métier d’assistante sociale auprès des pauvres, Olivier Belleil, auteur du livre « Les paraboles de Madeleine Delbrêl, une spiritualité en images » retrace ici les premières années de cette femme d’exception qui nous donne quelques conseils pour prier dans nos vies trépidantes

La vénérable Madeleine Delbrêl est une femme d’action et de foi.
Olivier Belleil, un de ces biographes récents, évoque la situation de l’Église des années 30 avec le dialogue controversé avec les communistes. L’Église, dans sa sagesse, aura tranché, par diverses encycliques, en condamnant cette doctrine, sans condamner les gens.

Ultime rencontre avec le célèbre paléontologue Yves Coppens, décédé en juin dernier.
De la sélection naturelle à des questions plus métaphysiques comme "Pourquoi la Vie?", en passant par la chasse et l'observation de la nature: ce sont des sujets aussi divers que passionnants qui sont abordés dans cette émission Chemin de Traverse.

Dans cette troisième émission, Yves Coppens, célèbre paléontologue décédé en juin dernier aborde différents sujets : le dopage, et plus généralement la licéité des drogues pour améliorer les capacités humaines, le mariage vu comme sélection sexuelle et de façon plus anecdotique, sa rencontre avec Théodore Monod, le savant botaniste décédé en 2000.

Dans cette deuxième partie, Yves Coppens, célèbre paléontologue décédé en juin dernier, aborde différents sujets : l’évolution biologique vue comme compétition, le rôle de Dieu dans cette théorie encore inexpliquée, les comportements rituels chez les singes, mais aussi d’autres sujets brûlants comme le transhumanisme, et les utopies égalitaristes...
Plus légèrement vous apprendrez pourquoi il fût surnommé « Dos gris » par ses étudiants.

Quelques mois avant sa disparition, Ronan Festoc est allé une nouvelle fois à la rencontre du célèbre anthropologue, le découvreur de Lucie !