Après les investigations des violences sexuelles, y-a-t-il quelque chose à faire?

Marie-Jo Thiel - RCF Alsace, le 25/05/2022 à 12:50
 -  Modifié le 30/05/2022 à 04:01
Alsace
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Après les investigations des violences sexuelles, y-a-t-il quelque chose à faire ?

L’IRM fonctionnelle s’appuie sur des mesures de l’activité électrique et/ou métabolique. Conséquemment ne peut-on tenter de contrôler les violences sexuelles en agissant par ce biais?

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Il n’est pas exclu en effet qu’on puisse modifier des comportements en agissant sur le cerveau soit par stimulation électrique extérieure, soit par des puces: on le fait déjà « accidentellement » en essayant de soigner certaines pathologies comme le Parkinson, ou certaines douleurs difficiles à traiter autrement, ou en utilisant cette stimulation pour améliorer des capacités sportives… Mais cela reste aujourd’hui un problème de société. Un autre lieu d’intervention porte encore les réactions au stress.


L'Église catholique face aux abus sexuels sur mineurs, publié chez Bayard en 2019 propose un tour exhaustif de la douloureuse crise qui ébranle l'Église. Son auteure, Marie-Jo-Thiel, médecin, philosophe, théologienne, éclaire chaque semaine cette lecture de façon très pédagogique. Au-delà des Abus, chaque lundi à partir de 19h10 sur RCF Alsace.

 

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