Ils font vivre le sanctuaire de Rocamadour
Après la visite des différentes parties du sanctuaire, nous découvrons aujourd'hui tous ceux qui l'animent et font que Rocamadour n'est pas un musée, mais bien un haut lieu de vie spirituelle malgré le million de touristes qui le visitent chaque année.

Le château de Rocamadour, un renouveau spirituel
Après la guerre de 100 ans qui a marqué les fortifications du château de Rocamadour, il tombe en ruine avant le XIXe siècle, où a lieu "une énorme restauration et un renouveau à la fois spirituel et matériel", raconte Laurence du Peloux, responsable des guides du sanctuaire. Cette reconstruction se fait grâce à trois abbés et amis, dont l'un d'eux, l'abbé Caillau, a été guéri de sa maladie en priant la Vierge noire de Rocamadour. En signe de reconnaissance, ils entament une longue rénovation du site.
Une équipe d'accueil dévouée
Que ce soit frère Joseph de la Joie, le père Florent Millet, recteur du sanctuaire, Serge Clerget, diacre et responsable du camp d'accueil Saint-Jean-Paul II ou encore la grande équipe des guides gérée par Laurence du Peloux, tous font du sanctuaire Notre-Dame de Rocamadour un lieu d'accueil chaleureux. Des jeunes, des pèlerins, ou des personnes en grande précarité, tout est fait pour que tout le monde trouve sa place. La mission, pour Serge Clerget est "d'apprendre à vivre ensemble, se rencontrer, apprendre à connaître l'autre."