Maison diocésaine de Mesvin : un lieu magique en pleine nature

L’un des gros points forts de cette maison est certainement sa situation géographique.

À quelques kilomètres de Mons, elle est en effet très accessible, que l’on vienne de Tournai, Ath, Charleroi ou Beaumont. Mais la maison de Mesvin n’est pas juste un bâtiment. Plantée au cœur d’un magnifique parc de 5 hectares, cette maison regorge de pièces aux tailles et aux ambiances variées, sans oublier sa jolie chapelle, lumineuse et moderne. On peut donc s’y donner rendez-vous pour une séance de formation ouverte à plusieurs dizaines de personnes comme se réunir en petit groupe pour un moment de réflexion, de prière, ou encore pour suivre un atelier d’icônes. 

Pour faire connaissance avec cet endroit plein de charme et de ressources, nous avons rencontré quelques-unes des chevilles ouvrières du lieu.

L’abbé Michel Van Herck, d’abord. Ancien professeur de philosophie et de théologie, curé de Ciply (près de Mons) pendant 20 ans, au service des UP des 3 Vallées puis de Soignies, responsable de la revue interdiocésaine des Visiteurs, aujourd’hui encore aumônier de la maison de repos des Pauvres Sœurs à Mons, l’abbé Van Herck a été jusqu’en 2020 administrateur de l’asbl Maison diocésaine de Mesvin. 
 

Monique Thomas et Vincent Minet, eux, sont depuis des années maintenant les gardiens et même l’âme de cet endroit qu’ils habitent et dans lequel ils accueillent chaque jour les visiteurs, qu’ils soient acteurs pastoraux ou participants à l’une ou l’autre activité organisée ici.

Davy Le Corvaisier travaille depuis 2019 pour l’évêché de Tournai comme coordinateur technique au service du Temporel et également comme conseiller en prévention. Les travaux de grande ampleur menés à Mesvin font partie de ses missions… et de ses passions. Enfin, Sylvie Paesmans, déléguée épiscopale et responsable du Temporel dans le diocèse de Tournai, imagine déjà l’avenir de la maison de Mesvin.