FORMULE CLUB / Le retour des djihadistes français • La crise au Venezuela • Macron en Egypte • Le rapport de Transparency International

rETOUR en France DES DJIHADISTES FRANçais

Actuellement détenus par les Forces démocratiques syriennes, les djihadistes français, suite au retrait annoncé des troupes américaines de Syrie, pourraient êtes rapatriés en France. Craignant que ces djihadistes puissent s'échapper ou être dispersés, Paris semble changer de stratégie par rapport à la ligne jusqu'alors défendue, à savoir de les juger sur place . Le ministre de l'Intérieur comme le Quai d'Orsay assurent que si ces combattants islamistes devaient rentrer en France, il seraient remis immédiatement à la Justice et incarcérés. 
 

Venezuala, comprendre la crise

La tension est à son comble au Venezuela. Des milliers de manifestants sont descendus dans la rue mercredi à l'appel de Juan Guaido, le président du Parlement qui s'est autoproclamé président par interim. Malgré la répression violente, Juan Guaido demande le départ du président Nicolas Maduro dont l'élection est jugée illégitime. Ce dernier parle d'un coup d'Etat fomenté par les Etats-Unis qui ont apporté leur soutien à Juan Guaido. 
 

VISITE OFFICIELLE D'Emmanuel Macron en EGYPTE

Le président français a effectué une visite officielle de trois jours en Egypte destinée à renforcer un parternariat commercial entre Paris et le Caire. Ce fut aussi l'occasion pour Emmanuel Macron de passer quelques messages à son homologue Al Sissi, entre autres, sur la délicate question des droits de l'homme.  Le président français a évoqué les "emprisonnements de journalistes et de blogueurs" qui peuvent "abîmer l'image de l'Égypte", sucscitant quelques crispations chez son interlocuteur.
 

RAPPORT ANNUEL TRANSPARENCY INTERNATIONAL

Dans son rapport annuel sur la perception de la corruption, "Transparency International" pointe notamment les atteintes grandissantes aux contre-pouvoirs aux Etats-Unis. Les détériorations de l'Etat de droits et des institutions démocratiques en Turquie et en Hongrie sont également dénoncées par l'ONG.