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RCF A Clermont-Ferrand, la vente de sapins démarre bien !
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A Clermont-Ferrand, la vente de sapins démarre bien !

Un article rédigé par Thomas Loret, RCF Puy-de-Dôme - RCF Puy de Dôme,  -  Modifié le 4 décembre 2020
Malgré le contexte sanitaire, l'engouement pour les sapins ne se dément pas. Les arbres de noël devraient trôner fièrement dans les salons clermontois encore cette année.
2020 - RCF Puy-de-Dôme - Anthony (à droite) et son collègue apprenti vendent les sapins de Dubost Forêt sur la place Delille de Clermont 2020 - RCF Puy-de-Dôme - Anthony (à droite) et son collègue apprenti vendent les sapins de Dubost Forêt sur la place Delille de Clermont

Pour trouver son arbre, il y a plusieurs options. Certains feront le choix d'aller directement chez le producteur, d'autres iront en jardinerie. Quoiqu'il en soit, il y a plusieurs possibilité pour promouvoir la filière horticole auvergnate.

REPORTAGE :

Pour la vente directe du pépiniériste au particulier, rendez-vous sur la place Delille de Clermont. Le pépiniériste Dubost Fôret (Celles-sur-Durolle) propose chaque année de la vente directe durant le mois de décembre.

Place Delille, la vente directe en cœur de ville

C'est sur cette place stratégique en plein cœur de Clermont qu'il vient écouler une partie de sa production. « Pour un sapin classique de 1m50 il faut compter 7 ans » précise Antony, salarié de Dubost Fôret.

Le producteur vent principalement du Nordmann (80%) et de l'épicéa (15%). « On vent aussi du Nobilis. Il tient aussi bien que le Nordmann mais a en plus une bonne odeur de résine » poursuit Antony.

Dubost Forêt espère vendre 10 000 arbres cette année. Cela comprend les ventes aux particuliers et aux communes, comme pour le centre ville d'Issoire. Décembre, c'est 30% du chiffre d'affaires.

Les sapins, un enjeu majeur pour les jardineries

Pour ceux qui ne veulent pas venir en centre-ville, il y a les jardineries en périphérie. « Les sapins c'est très important pour nous car en hiver on vent beaucoup moins de plantes » souligne Bruno Sarkis, directeur du Botanic de Beaumont.

Le gérant espère vendre 3000 sapins d'ici au 20 décembre. Ici aussi on fait tout pour promouvoir la filière locale. « 80% de nos arbres viennent de chez Digonet à Tence en Haute-Loire », indique Bruno Sarkis.

Et malgré le contexte sanitaire, on constate un très bon démarrage des ventes. « Depuis samedi dernier c'est limite de l'achat compulsif » se réjouit le directeur de Botanic. La Covid 19 n'aura donc pas eu raison de cette tradition.

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