Sapeur-pompier volontaire : un engagement moins attractif
Objectif : trouver 50 000 volontaires pour devenir sapeur-pompier. Un engagement en manque d'attractivité : or, les besoins sont grandissants avec des incendies plus fréquents et plus intenses. L'État et les départements lancent des plans de communication : mais ne faut il pas aussi revoir les revenus ? Toucher aux retraites de ces volontaires ? Les réponses de Christophe Guilloteau, président du conseil départemental du Rhône et président du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires.