Sportissimo RCF - page 2

Le triathlon est une discipline olympique récente puisqu’elle a fait son apparition qu’en 2000 lors des Jeux olympiques de Sydney. Deux types de courses sont représentés : l’épreuve individuelle sur « courte distance » (1,5km de natation, 40 km en cyclisme et 10 km de course à pied) dans la catégorie femme et homme, et le relais mixte depuis les JO de Tokyo (2020). Un relais qui met en action 2 triathlètes femmes et 2 triathlètes hommes sur un parcours de 300 m, 6,8 km et 2 km.

Nous découvrons cette discipline hors norme avec notre invité Pierre Le Corre, triathlète professionnel et de haut niveau aux nombreux titres internationaux dont ceux de champion du monde de longue distance en 2022, champion d’Europe de courte distance en 2018 et récent champion du monde militaire en 2023. Trente heures d’entraînement par semaine à raison de 3 à 4 entraînements par jour, voilà le programme que s’impose Pierre Le Corre pour atteindre et rester au plus haut niveau et viser une deuxième participation aux Jeux olympiques de Paris, après ceux de Rio en 2016.

Au même titre qu’une bonne hygiène de vie, le rythme veille-sommeil est un déterminant non négligeable des performances sportives. D’ailleurs, une bonne qualité de sommeil fait partie intégrante d’une bonne hygiène de vie.
Aujourd’hui le sommeil n’est pas optimal en termes de qualité et de quantité, comment cela influence-t-il les performances sportives ? D’autre part, de plus en plus d’événements sportifs viennent défier le rythme circadien veille-sommeil en proposant des épreuves incluant la nuit et nombreux circuits compétitifs se déroulent sur l’ensemble du globe en défiant les décalages horaires. Comment le sportif peut-il gérer tous ses paramètres ?
Sportissimo a convié le professeur Damien Davenne, chronobiologiste et spécialiste du sommeil et sport, à venir traiter ce sujet dans un nouveau numéro au titre ronflant : « Silence, on dort ! ».

Le point de départ de la réflexion naturiste au XIXe siècle est le « constat » d’un affaiblissement de l’individu par rapport aux générations passées. Le défaut d'endurcissement corporel constaté et les problématiques liées à la promiscuité des personnes – dans une période agitée par la tuberculose– expliquent la proposition d’un nouveau style de vie fondé sur la volonté de suivre les lois de la
nature en plein air et de mettre ainsi le corps à nu, d’où l’apparition du nudisme intégral ou partiel.

Un phénomène largement lancé et relayé par le corps médical (docteurs Carton, Lagrange, Tissié), s’appuyant sur une philosophie médicale initiée par Hippocrate et justifiant l’emploi des agents naturels (air, eau, soleil), diététiques et bien sûr l’exercice physique pour soigner les maladies et conserver la santé. Un mouvement qui n’a pas laissé indifférent les sportifs puisque l’approche naturiste a rapidement été utilisée au service de l’optimisation de l’entrainement : l’environnement naturel comme lieu d’entrainement (Georges Hébert), préparation physique dans les bois (Jean Bouin), les techniques de récupération empruntées aux cures naturistes (Georges de Saint Clair), l’intérêt d’une hygiène de vie. Même Pierre de Coubertin plébiscitait le naturisme et plaidait ainsi pour la création de stade où les sportifs s’entraineraient nus, renouant ainsi avec les athlètes la mythique Antiquité.

Au tournant du XXe siècle, le naturisme a largement contribué à l’éveil et au réveil écologiques, d’ailleurs la « figure idéale du naturiste » est celle d’une personne investie dans la préservation de l’environnement.
Aujourd’hui le naturisme se conjugue toujours au présent : remède antifatigue à notre « société moderne », le naturisme se pratique en toute liberté en dehors même de la fédération française de naturisme qui comportent environ 15000 licenciés, puisqu’on considère que 2 millions de français et 2 millions d’étrangers profitent chaque année des centres voués à ce style de vie sain dans un environnement naturel et préservé. Le centre Héliopolis construit par les docteurs André et Gaston Durville au début des années 30 – après une première expérience avec Physiopolis quelques années plus tôt –est toujours ouvert à l’île du Levant à proximité de Hyères dans le Var. Au-delà de son implication dans de nombreux champs de la vie quotidienne, le naturisme a également facilité l’émergence de néo courants comme celui des végétariens, des végétaliens, des stages survivalistes … sans oublier au milieu de 20e siècle celui de la naturopathie.

En 1962 Michel Siffre réalise un exploit souterrain en restant deux mois claustré à 100 mètres au fond du gouffre de Scarasson dans le Marguareis. Une trentaine d’années plus tard, en 1992, Pascal Barrier s’enferme pendant 113 jours dans la grotte de la Cocalière entre Gard et Ardèche pour un exploit purement personnel. Trente ans après, en 2021, 7 femmes et 8 hommes ont participé à la mission scientifique Deep Time, 40 jours dans la grotte de Lombrives en Ariège. Qu’il soit individuel ou collectif, l’immersion sous terre sans repères temporels a toujours passionné les explorateurs de l’extrême. 
Pascal Barrier et Benoît Mauvieux, tous deux inspirés par le « voyage au centre de la terre » de Jules Verne, reviennent sur les expériences de la Cocalière et de Lombrives et nous livrent les secrets d’adaptation de l’Homme plongé hors du temps.

Dès le début du premier confinement lié à la pandémie de la covid-19, les pouvoirs publics comme le ministère des Sports ont incité le grand public à rester actif chez soi, ou à reprendre une activité physique, alors même que la pratique en dehors du domicile était limitée à une heure dans un rayon d’un kilomètre. Cette pratique a été largement relayée et incitée par les acteurs du sport et de la santé.

Mais ce phénomène n’est qu’une montée en charge d’une sportivisation des espaces particuliers déjà active.
En effet, le sport à domicile nous vient de loin, puisqu'on retrouve ses origines au milieu du XIXe siècle sous influence d’une médecine hygiéniste dominatrice sur le plan sanitaire, puis d’un retour à la nature qui va privilégier une éducation physique en jardin privatif. La presse écrite va exhorter ce nouveau mode de pratique, de leur côté les fabricants vont laisser libre court à leur imagination pour créer des ustensiles et appareils en tout genre pour favoriser une culture physique en toute autonomie.

Sylvain Villaret, maître de conférences en histoire contemporaine et auteur d'un article sur le sujet nous en parle.

Un pourcentage important de la population présente des comportements sédentaires et ne bougent pas assez. Mais comment les remettre en mouvement ? En 2017, Laura Flessel, ministre des Sports, lance l’idée de Maisons sport santé, rapidement suivie par le ministère chargé de la santé. Depuis, 65 maisons ont été reconnues en Occitanie dont 7 sur l’Hérault.
Améliorer l’état de santé de la population en favorisant l’activité physique et sportive de chacun, au quotidien, avec ou sans pathologie, à tous les moments de la vie, est le défi de ces maisons. Vous accueillir, discuter de vos objectifs, évaluer votre condition physique, vous proposer un programme personnalisé et vous orienter vers une activité physique adaptée, voilà les nombreuses missions qu’elles portent. Et s’il y en avait une proche de chez vous ?

Nous en parlons avec nos invités :
Gaëtan Nowakowski de la "Maison Sport – Santé Ster et motion" à Lamalou-les-Bains (contact : gaetan.nowakowski@cliniques-ster.fr)
Christophe Lozano de la "Maison Sport – Santé Le plaisir de bouger accessible à tous !" à Béziers (contact : contact@sports-passions.fr)
Michel Dauzat et Jean Pierre Combes : Maison Sport – Santé du Lodévois Larzac (contact : jp.combes.lodeve@orange.fr)

Et il y a aussi dans notre département :
Maison Sport Santé Balaruc-les-Bains (contact : lsoriteau@ch-bassindethau.fr)
Maison Sport Santé MSPU Pauline Lautaud (Saint Georges D'Orques, Prades le Lez, Vendargues, Castries) (contact : blognos@wanadoo.fr)
Maison sport santé MA Vie (Montpellier) (contact : celineroyes@gmail.com)
Maison Sport Santé CRIP (Castelnau le Lez) (contact : MERYL.VEZZOLI@ugecam.assurance-maladie.fr)

La coupe du monde qui se déroule au Qatar du 20 novembre au 18 décembre suscite de nombreuses polémiques : enquêtes pour corruption, droits de l'homme, atteintes à l'environnement … tant de sujets qui ne laissent pas l’opinion indifférente.
Les médias se sont donc largement emparés de ce sujet épineux qui dépasse la raison sportive. Plusieurs nations européennes qualifiées tentent de faire valoir leur position mais la FIFA a plus d’un tour dans son sac pour les ramener à la raison … sportive. Et si les footballeurs nous réservaient l’impensable à l’instar de Tommie Smith et John Carlos aux Jeux olympiques de Mexico en 1968 ?
Nicolas Kssis-Martov, auteur du livre « Qatar, le Mondial de la honte » vient nous apporter son éclairage.

Il y a les activités physiques classiques comme la natation, la marche nordique et celles pratiquées en conscience. Si elles ne sont encore très bien connues par le grand public, elles font pourtant de plus en plus d’adeptes. Ces gymnastiques dites douces, telles que la méthode Pilates ou le yoga, se caractérisent par des placements précis, des mouvements contrôlés et effectués lentement, en fluidité, avec une respiration adaptée. Elles engagent des muscles profonds inexplorés habituellement et s'appuient sur un mode respiratoire inédit impliquant le diaphragme et le muscle transverse. Ces concepts clefs définissent ces techniques et assurent aux pratiquants de nouvelles sensations. Si elles ciblent souvent un public senior, elles ont toute leur place auprès des personnes inscrites dans une dimension de performance sportive.
Vous pouvez trouver plus d'informations sur le site de notre invitée Sandrine Marty et je vous invite à découvrir de nombreux exercices qu’elle propose via sa chaîne YouTube.

De nombreux sportifs présentent des activités répétées, correspondant à des tics voire des troubles obsessionnels compulsifs (tocs), au cours ou au décours de leur pratique. Quelles sont leurs significations ? Quels risques vis-à-vis de la performance ? Réponses avec notre invité Philippe Salas, psychologue.

Rediffusion de l'émission du 27 septembre 2019

Originaire de Finlande, la marche nordique doit son existence aux skieurs de fond qui inventèrent le « ski marche » pour s’entraîner sans neige. Sa technique avec bâtons est donc proche de celle du pas alternatif.
Depuis 20 ans, cette marche venue du Nord n’a eu de cesse de contaminer le monde entier. La France n’a pas été exempt de cette ferveur comme peut en témoigner l’événement « Euro Nordic Walkin’Vercors » qui se déroule chaque année début juin. Une pandémie, qui pour une fois est synonyme de santé, car cette marche avec des bâtons un peu spéciaux revêt de nombreux atouts. Mais pour profiter de tous ces bénéfices, cela nécessite d’acquérir la bonne technique.
Pour en parler :
Frédéric Depiesse médecin du sport, membre commission athlétisme forme santé de la FFA, auteur de « Marche nordique et santé »
et Sylvie Fourdrinier coach athlé santé, entraîneur marche nordique

Le sport a pris aujourd’hui une place privilégiée dans les médias télévisés comme de la presse écrite. Les événements sportifs sont largement couverts et traités souvent avec bienveillance par les journalistes sportifs. Le traitement journalistique est-il adapté à la situation ?
Les récents Jeux olympiques d’été et d’hiver ont été abordés jour après jour par le décompte des médailles. Peut-on résumer le sport à des médailles ? Les résultats français méritent-ils un tel engouement médiatique ?
Nos deux invités, journalistes stagiaires à RCF Maguelone-Hérault, ayant un avis opposé sur la place de la France dans l’échiquier des nations sportives, vont-ils permettre de répondre aux différentes questions posées ?

Le monde sportif et institutionnel commence à prendre réellement conscience des problèmes de violences sexuelles au sein de la pratique sportive. Cette prise de conscience aura nécessité plusieurs étapes jalonnées de témoignages plus ou moins médiatisés. On retient bien évidemment 4 lanceuses et lanceur d’alerte : Catherine Moyon de Baecque, lanceuse de marteau, qui fut la première à parler au milieu des
années 1990, Isabelle Demongeot, joueuse de tennis, qui a forcé son destin pour révéler ce qui lui était arrivé au début des années 2000, Sébastien Boueilh, rugbyman, il y a une dizaine d’années et enfin après un long silence, Sarah Abitbol, patineuse artistique, en 2020.
Au-delà de la prise de conscience, certaines fédérations sont devenues actives en mettant en place des actions voire un vrai projet de prévention et de lutte. Parmi elles, la fédération française de sports de glace emmenée par sa présidente Nathalie Péchalat a initié un projet européen intitulé « SAYES » (SAfeguarding for Young European Skaters).
Dans le cadre des championnats du monde de patinage artistique qui se déroulent cette semaine au Sud France Arena, la fédération française organise une conférence intitulée « la lutte contre les violences sexuelles dans le sport : une ambition européenne, l’exemple des sports de glace », conférence qui signe le lancement officiel de ce projet.

Le ski de fond est une activité méconnue, pratiquée en famille ou par un public connaisseur. Et pourtant, son histoire est millénaire. Utilisée à des fins utilitaires ou militaires, cette discipline d’origine scandinave a subi de profondes évolutions le siècle dernier au niveau du matériel. Aujourd’hui, le « fond » est une pratique sportive à la portée de tous. Le faible coût de location de matériel, d’accès aux pistes et un équipement à minima sont des éléments qui devraient faciliter sa démocratisation et concurrencer son grand rival, le ski alpin.
Outre sa déclinaison en compétition ou en loisirs, cette activité présente des atouts insoupçonnés en termes de santé et permet d’améliorer de nombreuses aptitudes physiques (endurance cardiovasculaire, force, équilibre, coordination).
Si l’Hérault n’est pas une région de ski, les Cévennes ne sont pas très loin, et le Mont Aigoual nous propose parfois un magnifique tapis neigeux nous permettant de glisser dans une nature élégante. Mais avant de se lancer corps perdu dans cette activité, rien ne vaut quelques conseils avisés afin que cette randonnée enneigée soit un véritable plaisir. Nous en parlons avec Guillaume Millet, physiologiste du sport, université Jean Monet Saint Etienne.

Le 26 octobre 2019, s'est déroulé à Montpellier, le 30ème Battle of the year International à l' Arena de Montpellier. Lors de cette émission déjà diffusée en octobre 2019, Olivier Coste recevait Mounir Biba, nonuple champion du Monde de BreakDance, pour découvrir cette discipline.
Une occasion unique pour revenir sur l'événement et la culture Hip Hop, future discipline olympique, horizon 2024.

Sportissimo vous invite à une plongée au cœur des Jo de Tokyo, des Jeux olympiques uniques du fait de conditions sanitaires également uniques.

Gaëlle Nayo Ketchanke pratique l’haltérophilie depuis son plus jeune âge dans un cadre familial voué à cette discipline olympique depuis les premiers JO à Athènes en 1896. Après une carrière de haut-niveau en tant que camerounaise, Gaëlle devient française en 2013 après avoir rejoint le célèbre club de Clermont l’Hérault. Elle entame une deuxième carrière et porte haut les couleurs bleu-blanc-rouge avec à son actif plusieurs médailles dans les grands championnats internationaux et participe aux deux derniers Jeux olympiques. La 5 e place obtenue à Tokyo dans une catégorie qui n’était pas la sienne vient clôturer une magnifique carrière, à moins que l’appel des JO de Paris de 2024 vienne la convaincre à reprendre le chemin de l’entraînement.

Victor Koretzky pratique depuis la catégorie cadet le VTT cross-country, une des 3 disciplines en VTT mais la seule au programme olympique. Lodévois d’origine, Victor a dans toutes les catégories d’âge traversées atteint le plus haut niveau. Après des premiers JO de Rio en 2016, 10 e sur crevaison, Victor aborde ses 2 e JO de la meilleure des manières en rapportant sa première victoire sur le circuit de coupe de monde lors de la première manche. La 5 e place obtenue à Tokyo lors d’une course pleine vient faire place à des précédents JO frustrants. Il clôture une superbe année 2021 en terminant 2 e de la coupe du monde et médaille de bronze lors des championnats du monde. Victor entame une carrière de cycliste sur route dès 2022 mais ne délaisse pas pour autant sa discipline de prédilection, avec l’espoir de décrocher une médaille à Paris.

Le triathlon, discipline sportive qui trouve ses origines au bord de la Marne dans les années 20, s’est fait connaître dans les années 80 à travers entre autre le triathlon de Nice. La longueur de l’épreuve et les états de fatigue avancés de certains participants à l’arrivée lui ont établi une « mauvaise réputation ». Depuis cette époque, l’accès à l’olympisme, la multitude des distances, la création a participé à la démocratisation de ce sport moderne et des disciplines associées (duathlon, raid, aquathlon …). Aujourd’hui, le triathlon se pratique de manière pluriel : souvent compétitif, de plus en plus en version loisirs et depuis peu sous un format sport santé. La pratique féminine est particulièrement développée et un réel effort d’ouverture vers les personnes présentant un handicap physique ou sensoriel est à noter. Avec nos invités : Anne-Charlotte Dupont, médecin, FFTRI Claude Marblé, médecin, FFTRI Philippe Fattor,i cadre technique national, FFTRI

La covid-19, au-delà de provoquer des drames dus au décès, se caractérise aussi par des symptômes persistants. La description après 4 semaines de nombreux symptômes comme la fatigue chez des personnes ayant contracté la maladie ont été décrits très rapidement après le début de la pandémie. D’une maladie initialement aiguë, la covid peut devenir dans environ 10% des cas une maladie chronique nommée covid long ou post covid. Comme pour toute maladie chronique et devant la fatigue et le déconditionnement à l’effort, le sport, ou l’activité physique a été rapidement proposée pour essayer de contrecarrer les symptômes. Les différents travaux réalisés montrent que cette activité montrent des résultats intéressants, cependant elle doit être utilisée avec prudence car elle a tendance à accentuer le symptôme fatigue. Avec nos invités : François CARRE, physiologiste, cardiologue Alexandre LEON, enseignant en activités physiques adaptées

La 108e édition du Tour de France prend son envol le 26 juin. Nous découvrons cette épreuve mythique à travers le parcours d’un des coureurs les plus populaires de France, ex-maillot jaune, Thomas Voeckler.

Depuis une vingtaine d'années, le monde du sport est secoué avec des révélations de violences sexuelles; dernière en date le livre de la patineuse Sarah Abitbol et un reportage - enquête "Violences sexuelles dans le sport". Du coté de l'Église, face à de nombreux scandales et de cas de pédophilie, la conférence des évêques de France a décidé de lutter avec la mise en place de plusieurs plans de prévention.

A l'occasion du décollage de Thomas Pesquet vers l' ISS, Sportissimo vous propose aujourd'hui un rendez vous dans l'espace avec deux invités Yannick Guezennec, ancien médecin et physiologiste à l’Institut de médecine aérospatiale du service de santé des armées de Bretigny Sur Orge Bernard Comet, médecin et ingénieur aérospatial, Institut de médecine et physiologie spatiales, Toulouse.