Chez nous l’Europe - page 2

Découverte de l'Europe, de l'Union Européenne et de ses institutions

Chez nous l’Europe - page 2
Découverte de l'Europe, de l'Union Européenne et de ses institutions
La rentrée des volontaires européens à la maison de l'Europe

Gesa revient sur les raisons qui ont motivé son projet et Stephan nous parle de leurs nouveaux locaux.
Le dispositif Mov'Europe

Le plan européen de relance "Next generation"

REpower EU

Louisa Guy, de la maison de l'Europe Le Mans - Sarthe, nous explique ce que c'est.
Robert Schuman," l'apôtre de l'Europe"

Les ravages du XXe siècle ont marqué les terres européennes au fer rouge. La hantise contemporaine de replonger dans une violence débridée, crainte réactivée par la guerre en Ukraine, nécessite de réinvestir le discours de filiation qui légitime l’histoire de l’Europe communautaire, Europe communautaire née de figures tutélaires, en particulier, en ce mois de mai, celle de l’apôtre de l’Europe, Robert Schuman.
L’unification de l’Europe, initiée par la Déclaration Schuman du 9 mai 1950 qui proposait de placer sous une autorité commune les industries lourdes, charbonnages et sidérurgie, essentielles au secteur de l’armement, se voulait non comme une fin en soi mais comme un moyen pour garantir la paix.
En effet, la paix fût une préoccupation naturelle chez Robert Schuman, comme homme des frontières sensible à la diversité et aux particularismes, comme homme de double culture française et allemande et enfin comme homme d’éthique chrétienne attaché aux valeurs de paix, de fraternité et de solidarité.
Robert Schuman est né Allemand en 1886. Il n’acquiert la nationalité française qu’à l’âge de 32 ans, après la réintégration de l’Alsace et de la Moselle à la France, en 1919. En 1912, il devient avocat à Metz, ville lorraine alors annexée au Reich. Durant la Grande Guerre, il est enrôlé dans les services administratifs de l’armée allemande. En 1919, il débute une carrière de parlementaire français de centre-droit en tant que membre de la démocratie - chrétienne.
Entre juillet 1948 et janvier 1953, devenu ministre des Affaires étrangères, la paix est devenue son objectif principal dans le contexte de la Guerre froide. Pour Robert Schuman, la France doit renoncer à la politique punitive à l’encontre de l’Allemagne fédérale pour désormais garantir la paix par une politique de réconciliation dont l’instrument sera le projet de Communauté européenne du charbon et de l’acier du 9 mai 1950. Le traité de Paris, signé le 18 avril 1951, institue la CECA et la définit, à la fois, comme une révolution pacifique marquant la fin d’une période belliqueuse de l’histoire européenne et comme l’œuvre fondatrice, bien plus que les nombreux autres projets et organisations de l’après-guerre, tels le Conseil de l’Europe ou l’Organisation Européenne de Coopération Economique.
Mère des communautés européennes, la CECA porte les idéaux associés à la construction de l’Europe communautaire : paix, réconciliation, Etat de droit, démocratie libérale, solidarité. Ces aspirations furent partagées par les porteurs du projet européen, les Pères fondateurs : Konrad Adenauer pour l’Allemagne fédérale, Paul-Henri Spaak pour la Belgique, Alcide de Gasperi pour l’Italie, Joseph Bech pour le Luxembourg, Jan Willem Beyen pour les Pays-Bas et Robert Schuman pour la France.
Ainsi, par son initiative politique du 9 mai 1950, Robert Schuman avait affirmé une conception exigeante de la paix qui ne se voulait pas seulement absence de guerre mais processus volontariste et positif passant par la solidarité, la coopération, la compréhension mutuelle, les concessions réciproques et la bonne foi de tous les partenaires étatiques. Il estimait donc que la paix positive devait être conquise par des efforts importants car elle est la condition de la liberté, de la démocratie et de la prospérité. Il était convaincu que l’unification de l’Europe occidentale constituait un pas décisif vers cette paix positive car cette entreprise pacifique, fondée sur l’interdépendance, devait mettre un terme aux antagonismes hérités du passé et devait empêcher les résurgences du nationalisme et les volontés de revanche.
Par conséquent, les logiques philosophique et politique de Robert Schuman attestent que la réconciliation constitue l’une des caractéristiques majeures du modèle européen. C’est donc précisément la trame historique de cette réconciliation qui justifie la valeur ajoutée de l'Union européenne.
La démocratie Européenne

L’Union européenne est une forme particulière de la démocratie libérale à une échelle supranationale, se définissant à la fois comme démocratie représentative et démocratie participative.
En effet, le Traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1er décembre 2009, stipule dans son titre II article 10 que le fonctionnement de l’Union européenne est fondé sur la démocratie représentative, que les citoyens sont directement représentés, au niveau de l’Union, au Parlement européen et que les Etats membres sont représentés au Conseil européen par leur chef d’Etat ou de gouvernement et au Conseil de l’Union européenne par les gouvernements eux-mêmes démocratiquement responsables, soit devant leurs Parlements nationaux, soit devant leurs citoyens.
Ainsi, l’Union européenne est une démocratie doublement
représentative construite par le corps civique européen, une
représentation directe se traduisant par le Parlement européen et une représentation indirecte se manifestant par des institutions
intergouvernementales, à savoir le Conseil européen et le Conseil de
l’Union européenne.
L’Europe communautaire est donc fondée sur la coexistence de deux légitimités, celle des citoyens et celle des Etats. Par conséquent, dans la gouvernance de l’Union, le Parlement, élu, depuis 1979, tous les cinq ans, au suffrage universel direct, est l’institution majeure de la représentation politique. Il détient avec le Conseil européen, le pouvoir budgétaire. Il est, avec ce Conseil, co- législateur et il exerce un contrôle démocratique sur les autres institutions notamment sur la Commission européenne.
Il est une institution délibérative et il se veut un lien permanent avec
les citoyens par, dans chaque Etat, l’élection d’un médiateur
européen et l’établissement de bureaux d’information travaillant à la
promotion de la spécificité de la démocratie européenne, à savoir
une démocratie post-nationale fondée sur des principes partagés,
des valeurs et des libertés communes qui ne s’inscrivent plus dans le
cadre classique de l’Etat-nation mais dans celui d’une communauté
politique en devenir.
A cette démocratie représentative européenne s’ajoute une
démocratie participative avec, depuis 2012, l’Initiative citoyenne
européenne définit comme un instrument permettant à un million
de citoyens européens résidant dans un quart des Etats membres de
l’Union de demander à la Commission européenne de présenter une
proposition d’acte législatif considéré, par ces citoyens, comme
nécessaire au bien commun de l’Union européenne comme l’ont été
les initiatives “L’eau, un droit pour tous”, “Stop vivisection” ou encore
“Interdire le glyphosate” auxquelles la Commission européenne a
présenté des conclusions juridiques et politiques.
Le 9 mai 2021 avait été lancé, à Strasbourg, un vaste exercice
européen de démocratie participative sous la forme de la Conférence
sur l’avenir de l’Europe. Ce 30 avril 2022, 800 citoyens européens ont
présenté, au Parlement européen, en séance plénière, 325
propositions consensuelles. Le rapport final de cette européenne
consultation citoyenne sera remis, le 9 mai prochain, dans le
contexte de la fête de l’Europe, aux présidents des trois institutions
majeures de l’Europe communautaire ainsi qu’au Président Macron
dans le cadre de la Présidence française de l’Union européenne.
Le plan de relance de l'Union Européenne

Il finance des programmes nationaux dans l’ensemble des États membres, sous forme de subventions et de prêts, avec une priorité accordée à
l’environnement, au numérique et à l’économie.
Ce plan de relance européen est baptisé « Next Generation EU », puisque son objectif est notamment de préparer un avenir meilleur pour la prochaine génération.
Le caractère exceptionnel et novateur de ce plan de relance tient à la fois de son montant - 750 milliards (360 milliards de prêts et 390 milliards de subventions) - et à son mode de financement par un emprunt au nom de l’Union européenne.
Chaque pays peut compter sur une enveloppe partiellement définie à partir de sa population, de son PIB par habitant et de son taux de chômage avant le début de la pandémie.
Pour bénéficier de ces fonds, chaque État membre doit soumettre un plan national de relance pour en détailler l’utilisation.
Les demandes de subventions doivent respecter un certain nombre de critères. 37% des dépenses doivent être alloués aux objectifs européens dont la neutralité carbone à horizon 2050, 20% destinés à la digitalisation de l’économie. Il convient également d’investir dans la cohésion sociale (soutien à l’emploi, formation des jeunes, modernisation du système de santé…).
Enfin des financements supplémentaires pourront renforcer la politique de cohésion, cette initiative étant baptisée REACT – EU.
Le plan de relance français présenté à l’Union européenne a été validé en juillet 2021 pour un montant total de 100 milliard d’euros avec une subvention de 39,7milliards de l’Union européenne.
Les plans de relance européens et français sont donc étroitement liés, l’Union européenne finance le plan de relance français quasiment à hauteur de 40%.
Sur les 100 milliards d’euros, 30 milliards sont destinés au financement de la transition écologique, 34 milliards pour la compétitivité et l’innovation et 36 milliards pour la cohésion sociale et territoriale, notamment au profit des communes sarthoises.
La relance sociale et territoriale permettra de mieux soutenir et accompagner les jeunes et aussi de protéger les plus modestes.
Le plan de relance concerne tous les territoires. Il s'agit d’une solidarité
au sens large : entre les générations, les territoires, les entreprises de toutes tailles et tous les Français.
Toutes les régions françaises bénéficieront donc de ces fonds qui viendront, pour certains, en complément des programmes opérationnels existants dans le soutien au marché du travail, de l’emploi, des PME et des familles à faible revenu.
Il ne peut avoir de double financement sur un même projet. Pour bénéficier du plan de relance européen, les Etats membres doivent également proposer des réformes pour tenir compte des recommandations, par pays, du Semestre européen qui fournissent des orientations sur les réformes structurelles à mener.
Selon cette procédure, la Commission européenne adresse, tous les ans, à chacun des 27 pays membres une série de recommandations, dans lesquelles elle suggère un certain nombre de réformes économiques et sociales à mettre en œuvre.
La pandémie de Covid-19, survenue au printemps 2020, a chamboulé le processus du Semestre européen.
L'Europe de l'après COVID-19 doit être plus verte, plus numérique et mieux adaptée aux défis actuels et à venir. Les Etats devront s'assurer que l'argent européen est dépensé dans le respect de l’Etat de droit.
Par ailleurs, une dérogation aux exigences budgétaires telles que le déficit limité à 3% du PIB a été actée afin de préserver les emplois et aider les entreprises, et plus largement préserver la stabilité économique.
La France a perçu le 19 août 2021 un premier versement du plan de
relance européen d'un montant de 5,1 milliards. Il est prévu en 2022
un second versement de 5 milliards.
La politique culturelle de l'Union Européenne

Cette avancée politique s’est inscrite dans l’une des vocations
fondatrices de l’Europe communautaire, à savoir protéger, régénérer,
ressourcer, développer et réincarner la démocratie libérale.
Ainsi, très éloigné de l’ordre du subsidiaire ou du superflu, la culture a paru
être l’occasion de rendre au projet européen une dimension en profonde résonance avec son fondement démocratique.
Pleinement reconnue comme élément de l’action extérieure et
intérieure conduite par l’Union européenne, la culture devient, grâce
au Traité de Maastricht, à la fois une compétence communautaire à
part entière, un véritable opérateur politique de l’Union et une force
transformatrice pour la régénération des communautés.
Le programme « Culture 2000 » fût le premier support explicite de cette « action » culturelle volontariste avec pour objectif de mettre en valeur un espace culturel commun et la promotion de la diversité culturelle, en favorisant la coopération dans le respect du principe de subsidiarité.
Depuis 2007, la culture s’est affirmée comme un domaine d’intérêt stratégique par l’adoption d’un premier texte cadre européen sur la culture, l’Agenda culturel européen, qui définissait pour la première fois des objectifs culturels d’intérêts communs et qui se renouvelle tous les quatre ans à l’initiative de la Commission européenne.
Le dernier agenda, formulé, en 2018, dans la cadre de l’année européenne du patrimoine culturel, stipule d’exploiter le potentiel de la culture et la diversité culturelle en faveur de la cohésion sociale et du bien-être par la poursuite de divers programmes comme celui des Capitales européennes de la culture ou encore celui des villes et espaces culturels et créatifs.
Il met aussi en exergue la nécessité de soutenir la créativité fondée sur la culture dans l’éducation, l’innovation, l’emploi et la croissance en particulier par la promotion de la musique et des arts dans le programme Erasmus + ou encore par les soutiens au projet « Enseigner, apprendre et évaluer la pensée
créative et critique » de l’OCDE, au forum du fim européen et au
programme Music Moves Europe.
Enfin, cet agenda affirme l’impératif développement d’une diplomatie culturelle par notamment la promotion des secteurs de la culture et de la culture dans les Balkans occidentaux, l’implantation de maisons européennes de la culture dans des Etats partenaires et la mise en place de coopération culturelle avec des Etats d’Amérique Latine, du Maghreb et du Moyen-Orient.
Pour réaliser l’ensemble des objectifs ainsi définis, deux instruments sont activés, le programme polymorphe Europe créative visant à promouvoir et à renforcer la coopération artistique et culturelle au niveau européen, visant à encourager la compétitivité, l’innovation et la durabilité du secteur audiovisuel
européen ainsi que la stratégie numérique de l’Union européenne,
Digital4Culture.
L'éveil géopolitique de L'Union Européenne

En ce tragique 24 février, en violation de ses engagements et du droit
international, la Russie poutinienne a engagé des offensives contre
l’Ukraine, offensives dans les quatre dimensions (air, terre, mer, cyberespace) qui ont ainsi mis l’Union européenne en première ligne en raison de la réalité géographique, celle de frontières communes avec la Russie et avec l’Ukraine, ainsi que de l’amplification de la menace nucléaire russe, en particulier celle émanant de l’enclave de Kaliningrad.
Face à la multiplication des risques, dans une phase d’inflexion
idéologique, l’Union européenne s’approfondit avec des décisions
politiques fortes pour pouvoir, à la fois, répondre au retour des
guerres de haute intensité et consolider une communauté de destins, attachés à la démocratie libérale, système politique considéré par
Vladimir Poutine comme décadent et obsolète.
Face à la guerre, la rapide, intense et unitaire réaction européenne se
fait sur un plus petit dénominateur commun celui de l’interdiction
des viols par la Russie de la souveraineté ukrainienne et d’une dizaine
de traités internationaux. Cette inédite convergence communautaire
sur des sujets westphaliens est aussi le résultat d’une maturation
depuis le traité de Maastricht qui a marqué l’entrée du processus
communautaire dans les compétences régaliennes (monnaie, justice, diplomatie, police et défense). Parmi celles-ci, la volonté commune
d’édifier une Europe de la défense est accélérée par l’agression russe comme l’avait déjà permis le Brexit par la levée de la réticence britannique à une armée européenne par loyauté à l’égard de l’OTAN.
Dans un moment schmittien caractérisé par l’apparition brutale d’un ennemi commun, la Russie, la gouvernance de l’Union européenne, outre l’affirmation d’un esprit de défense européen, a choisi de façon coordonnée et en vertu du principe de solidarité, l’aide militaire et humanitaire d’urgence à la nation ukrainienne, victime de l’hubris du Président russe, un panel de sévères sanctions économiques, financières et diplomatiques visant à l’affaiblissement stratégique de l’économie et de la base industrielle russes, l’octroi d’une protection aux réfugiés ukrainiens, l’activation de la Facilité européenne pour la paix, l’interdiction temporaire des media d’Etat russes Russia Today
et Sputnik et une réponse positive à l’interpellation du Président
Zelensky à savoir la reconnaissance à l’Ukraine du statut d’Etat
candidat officiel à l’Union européenne, première étape d’ une
procédure d’adhésion longue, complexe et protectrice des Etats
membres (article 49 du traité de l’Union européenne) qui suppose de
continuer à œuvrer, dans l’intervalle, à l’intégration de l’Ukraine dans
le marché unique européen, conformément à l’accord d’association
entre l’Ue et l’Ukraine de septembre 2017.
La guerre en Ukraine offre ainsi tragiquement à l’Union européenne
l’opportunité de se muer en puissance géopolitique majeure, à
stratégie de défense multiple, dans un nouvel ordre mondial qu’elle
devra co-construire après le rétablissement de la paix.
2022 : Année Européenne de la jeunesse

le Parlement européen et les Etats-membres, a fait de 2022 l’année
européenne de la jeunesse pour impliquer les jeunes européens dans
l’édification d’un avenir meilleur, plus égalitaire, plus écologique, plus
inclusif, plus résilient et plus numérique.
En d’autres termes, la gouvernance européenne veut, au cours de
cette année, mettre à l’honneur la génération qui a fait le plus de
sacrifices pendant la pandémie, encourager les jeunes à devenir des
citoyens actifs et des acteurs de changements positifs, les soutenir
dans leur développement personnel, social et professionnel ainsi que
s’inspirer de leurs actions, de leur vision et de leurs connaissances
pour renforcer et dynamiser le projet communautaire.
Ces objectifs s’inscrivent dans la stratégie de l’Union européenne
pour la jeunesse pour la période 2019 -2027, stratégie qui constitue
la cadre de coopération européenne en matière de politique de la
jeunesse.
Ces buts sont aussi associés au programme Next Generation EU,
programme visant à la construction de l’Europe communautaire de
demain par la participation active de la jeunesse à la définition d’une
Europe plus verte, d’une Europe plus digitale, d’une Europe plus
forte, d’une Europe plus juste et enfin d’une Europe plus sanitaire.
Pour réaliser les orientations posées, la gouvernance européenne
active divers programmes complémentaires ciblant les jeunes dans
des domaines d’actions spécifiques, de façon à créer des synergies
qui fassent sens pour une jeunesse européenne en quête de
perspectives.
Quels sont les programmes mis en œuvre ?
Erasmus + le programme de l’Union européenne pour soutenir l’éducation, la formation, la jeunesse et le sport pour la période 2021 – 2027.
Le programme du Corps européen de solidarité.
La garantie renforcée pour la jeunesse ie l’engagement communautaire à faire bénéficier les jeunes âgés de moins de trente ans d’une offre de qualité pour un emploi, une formation continue, un apprentissage ou un stage dans les quatre mois suivant la perte de leur emploi ou après la fin de leurs études.
L’initiative pour l’emploi des jeunes ie l’octroi d’une ressource financière aux jeunes jusqu’à 25 ans vivant dans des territoires où le taux de chômage des jeunes était supérieur à 25%.
Le programme ALMA d’encouragement à la mobilité professionnelle transfrontalière de jeunes européens défavorisés.
Outre ces programmes, la gouvernance européenne incite les jeunes
à participer, en particulier, à la procédure de consultation associée à la Conférence sur l’avenir de l’Europe.et ainsi leurs permettre d’exercer leur citoyenneté européenne et de prendre conscience de l’existence d’un « Nous » européen.
L'euro fête ses 20 ans en janvier 2022

Rendre l'Union Européenne plus concrète pour les Sarthois, c'est notre travail quotidien à la Maison de l'Europe. On l'oublie souvent, mais l'Europe est plus présente dans notre quotidien que ce que l'on pense. En ce mois de janvier, l'euro fête ses 20 ans.
Le 1er janvier 2002, 12 pays de l'UE ont troqué leurs billets de banque et leurs pièces contre la monnaie européenne : l'euro. C'était même le plus grand changement de monnaie de l'histoire.
Au cours de ces deux décennies, l'euro a contribué à la stabilité, à la compétitivité et à la prospérité des économies européennes.
Surtout, il a facilité la vie des citoyens et permis de faire plus facilement du commerce dans toute l'europe et au-delà.
Grâce à l'euro, il est devenu bien plus simple d'épargner, d'investir, de voyager et de faire des affaires.
La Présidence de la France au conseil de l'Union Européenne

Erasmus+ nomme un bureau territorial au Mans

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11 nouveaux volontaires européens sont arrivés en Sarthe
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Quel impact ont les élections en Allemagne au niveau européen ?

Déplacements doux, mobilité durable à l'honneur en Europe

Une rentrée européenne chargée
