Carte Blanche de Raphaël de la Croix - page 3

L'abstention est la grande gagnante de l'élection. Un phénomène qui dépasse largement la crise politique que traverse notre pays et les députés qui seront élus ce dimanche.

Du jamais vu dans l'Eglise Catholique. Rome a suspendu 10 ordinations diaconales et sacerdotales à Toulon pour des raisons pour l'instant méconnues liées à la politique d'accueil du séminaire et à son organosation.
Une mesure d'une dureté inédite quand on compare à ce qui a pu être vécu depuis des décennies dans nombre de séminiares diocésains.

La suspension de 15 000 soignants non vaccinés est rationellement intenable quand les malades sont triés aux urgences. Emmanuel Macron s'enferme dans une posture idéologique alors que l'hôpital s'enfonce dans une crise sans précédent.

En homme de paix, le souverain pontife ne se range pas dans la position cobelligérante aux côtés de l'Ukraine.

La peinture sur une mosquée offusque. Des jets d'oeufs sur un cimetière juif scandalise. Quand ce sont les portes d'une église qui sont souillées, tout le monde s'en fout... Au delà d'une rixe entre groupuscules politisés, ce qui s'est passé dimanche dernier devrait susciter l'indignation. Mais qui s'indigne encore quand le sujet est catholique ?

Ce billet particulièrement bien senti de Monseigneur David Macaire dans sa revue diocésaine méritait d'être citée à l'antenne intégralement. C'est chose faite.

Contrairement à tous ses confrères, Mgr Ravel a décidé de révéler son soutien politique à Emmanuel Macron. Une atteinte à la synodalité, un risque misisonnaire, une erreur politique. Analyse.

La crise de défiance du politique risque de s'illustrer une nouvelle fois à la présidentielle. Sans doute que notre époque est en attente d'autres choses qu'un président.

Le retour de bâton des sanctions contre la Russie pourrait faire mal, très mal. En Occident, mais surtout en Afrique où la crise alimentaire menace dangereusement.

Signe de la brouille des repères de notre temps, la perturbation de la relation homme-femme. Le néoféminisme dont Sandrine Rousseau est l'emblème dessert en permanence la cause qu'elle croit servir. La recherche permanente de l'égalité tourne à l'absurde.

La guerre et les raisons de la guerre sont complexes. Essayons de ne pas être trop binaire dans ce conflit. Le simplifier c'est mal le comprendre. Et mal le comprendre c'est mal le résoudre.

On a le mot vivre ensemble à la bouche en permanence. Mais on refuse que l'autre puisse penser différemment. Et notre société crève de son incapacité à débattre.

Il était aux côtés du Père Jacques Hamel. Il a reçu des coups de coûteaux des mains d'un barbare. Et il pardonne à ses bourreaux en plein cour d'asises.

Merci à l'académie française de remettre l'église au milieu du village. L'invasion de l'anglais dans notre s belle langue est une soumission à laquelle rien ni personne ne nous oblige. A nous d'y mettre fin en faisant bon usage de ce trésor qu'est notre si belle langue française.

Afin de bien discerner pour qui voter lors de la prochaine élection présidentielle, RCF Anjou organise une conférence le 14 mars prochain à 20h30 à l'UCO avec Louis Manaranche, Monseigneur Dominqiue Rey et Giulio de Ligio. Entrée libre.

Le documentaire diffusé sur M6 sur l'Islam radical peut inquiéter. Et il est vrai que la situation est iquiétante. La question réside dans ce que la France est capable de proposer, y compris sur le plan religieux, domaine qu'elle a petit à petit laissé en friche...

Le pouvoir d'achat serait la priorité des Français. S'il est légitime de vouloir vivre dignement, peut-être la France aspire-t-elle à autre chose que la sacro-sainte consommaiton...

Plus confortable que de voter, l'abstention permet de rester propre, de ne pas mettre les mains dans le cambouis électoral. Un peu facile...

Etrangeté de l'époque. A l'jeure où l'on multiplie les mesures d'hygiène le parlement s'apprête à allonger la durée légale de l'IVG de 12 à 14 semaines. A 14 semaines, les photos d'un embryon sont celles d'un petit d'homme parfaitement identifiable.

Le Président de la République s'en prend d'une façon incompréhensible à une partie des Français qui revendiquent la liberté sanitiare. Cette chasse aux sorcières n'est pas digne d'un chef de l'Etat.