Actualités des Églises orthodoxes

En cette période de l’Avent, je vous propose de découvrir ensemble les traditions de Noël en Bulgarie – un pays où cette fête est célébrée avec une profondeur spirituelle et une grande douceur familiale.

Tatiana vous emmène dans une tradition profondément enracinée dans la culture spirituelle serbe : le Carême de Noël, appelé en serbe Boži?ni post.
Ce jeûne commence le 28 novembre et dure quarante jours, jusqu’au 6 janvier selon le calendrier julien. C’est l’un des quatre grands carêmes de l’Église orthodoxe, et pour beaucoup de Serbes, il marque une période de calme, de recentrage, presque un nouveau départ intérieur.

En Géorgie, le jeûne de la Nativité, commence le 28 novembre et se termine le 6 janvier selon le calendrier julien. C’est une période de quarante jours que les fidèles orthodoxes vivent comme un temps de purification, de sobriété et de paix intérieure.

Alors que dans de nombreux pays, le temps de l’Avent est associé aux lumières, aux marchés et aux préparatifs festifs, en Bulgarie, cette période prend une tout autre tonalité. C’est un temps de silence intérieur, de purification et d’attente spirituelle.
Un temps pour préparer le cœur à la lumière qui vient.

Dans la tradition orthodoxe, l’année liturgique est rythmée par plusieurs périodes de jeûne. Le plus connu est celui qui précède Pâques, mais en Grèce, il existe d’autres périodes de purification tout aussi importantes, appelées « Sarakostès », c’est-à-dire « quarante jours ». Ces temps de jeûne ont pour but d’aider le croyant à retrouver l’équilibre entre le corps, l’esprit et le cœur.

Aujourd’hui, je vous invite à un voyage un peu particulier : à la découverte des plus belles églises orthodoxes de France. On associe souvent l’orthodoxie à la Grèce, à la Géorgie ou aux Balkans… Et pourtant, ici même, en France, se trouvent de magnifiques sanctuaires. Ils sont devenus un refuge spirituel pour des générations d’émigrés, mais aussi de véritables joyaux architecturaux qui témoignent de la richesse d’un patrimoine spirituel partagé.

Aujourd’hui, je vous propose un voyage à Thessalonique, au cœur de la Grèce, pour découvrir saint Démétrius, un des saints les plus vénérés du christianisme oriental. Protecteur de la deuxième ville de Grèce, figure militaire et spirituelle, il est fêté le 26 octobre. Mais au-delà de l’histoire religieuse, cette fête s’est enracinée dans la vie quotidienne des peuples orthodoxes, de la Grèce aux Balkans, en passant par la Russie, la Roumanie ou la Bulgarie.

Aujourd’hui, nous allons plonger dans l’univers fascinant de Sainte Paraskeva, connue aussi sous le nom de Vendredi Sainte. Nous découvrirons son histoire, mais aussi les coutumes qui entourent cette sainte dans les pays orthodoxes.

Chaque 1er octobre, les Églises orthodoxes célèbrent le Pokrov, fête marquée par la mémoire d’une apparition de la Vierge Marie à Constantinople au Xe siècle. Symbole de protection spirituelle, elle a aussi nourri la culture populaire en annonçant l’hiver et en portant des vœux d’espérance pour les familles.

Le 24 septembre, selon l’ancien calendrier, est un jour IMPORTANT pour les chrétiens orthodoxes.
Ce jour-là, l’Église honore Sainte Théodora d’Alexandrie, connue pour sa foi, son humilité et son courage, ainsi que d’autres saints inspirants.

Le 17 septembre est un jour IMPORTANT pour les chrétiens orthodoxes.
Ce jour-là, l’Église honore Sainte Sophie et ses trois filles : Foi, Espérance et Charité.

Aujourd’hui, Tatiana vous propose de revenir au mois d’août, un mois particulièrement festif. Outre la Dormition, il ne compte pas une, mais trois fêtes du Christ : la Procession de la Sainte et Vivifiante Croix à Constantinople, la Transfiguration et la fête de l’icône de la Face du Christ « non faite de main d’homme ».
Dans la tradition slave, on les appelle le Premier Sauveur, le Deuxième Sauveur et le Troisième Sauveur.

Le Monastère de Solan, niché au cœur des collines du Gard, près d’Uzès.
Imaginez un paysage méditerranéen : des vignes baignées de soleil, des oliviers argentés, le chant des cigales… Et, au milieu de cette nature généreuse, une petite communauté de moniales orthodoxes qui vit depuis quarante ans dans la prière et le travail de la terre.

Le 29 juin l’église orthodoxe honore la mémoire des saints apôtres Pierre et Paul. Les principaux apôtres chrétiens ont été martyrisés à Rome le 29 juin. Les saints apôtres Pierre et Paul, deux piliers de la fois, deux personnages complètement opposés arrivent au même bout de leur chemin terrestre.

Il existe une bonne tradition dans l'Orthodoxie : créer des images iconographiques basées sur des chants théologiques. Cette tendance s'observe particulièrement souvent dans l'application aux icônes de la Mère de Dieu, qui sont très nombreuses.

Le 8 juin les chrétiens orthodoxes ont célébré la fête de la Très Sainte Trinité. Aujourd’hui parlons des traditions populaires de cette fête.
Il y a des traditions religieuses et folkloriques.

À l'Église orthodoxe, cette fête est célébrée pendant trois jours. Les prêtres portent des vêtements verts, qui symbolisent la vie éternelle.

Le 8 juin 2025 les orthodoxes célèbrent la fête de la Très Sainte Trinité, ou simplement la Trinité. C’est une fête consacrée à la descente du Saint-Esprit sur les apôtres.

Elle tombe le cinquantième jour après la résurrection du Christ, d'où un autre nom : Pentecôte.

L’Ascension est une fête chrétienne célébrée le quarantième jour à partir de Pâques. Elle marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après sa résurrection et son élévation au ciel. Elle exprime un nouveau mode de présence du Christ, qui n'est plus visible dans le monde terrestre, mais demeure présent dans les sacrements. Elle annonce également la venue du Saint-Esprit dix jours plus tard. Elle préfigure enfin pour les chrétiens la vie éternelle.

Le 21 mai, l’Eglise orthodoxe honore la mémoire de l’empereur romain Saint Constantin et de sa mère – Sainte Hélène. Initialement souverain des territoires du Nord-Ouest de l’empire romain (à partir de 306), il parvient à réunifier toutes les provinces sous son règne et devient seul et unique empereur en 324. Né dans la ville de Niš, qui se trouve aujourd’hui en Serbie, il grandit dans une époque marquée par les persécutions contre les chrétiens. L’édit de Milan, qu’il promulgue en 313, met fin aux persécutions des communautés chrétiennes dans l’Ouest de l’empire.